De BrusselX
Chapitre 05
Le lendemain matin, je
m’éveillais tôt, comme d’habitude, me lavais, me maquillais, et choisis un de
remettre des bas blancs, j’avais trouvé cela très seyant, avec un string blanc
en dentelle et le soutien assorti. Lorsque je fus habillée, j’allais retrouver
ma Maîtresse.
Je pris le plateau déjeuner dans
le monte plat, puis l’apportais dans la salle à manger. Après l’avoir mis
devant elle, sur la table, je plongeais sous la table. Elle portait une robe de
chambre en satin rose pâle, très légère, très courte aussi, et en dessous un
petit string à ficelle du même rose. Son sexe était déjà gros, soulevant le
triangle du string comme une voile triangulaire attachée au mât de certains
voiliers filant sous le vent… me sentant coquine, j’embrassais ses pieds, puis
ma langue suivi toute sa jambe, sa cuisse, pour arriver aux petits nœuds sur sa
taille qui retenait les ficelles du string… je tirais avec mes dents, défaisant
le nœud, puis ma langue couru le long de sa cuisse vers sa hampe dure et tiède…
je descendis vers ses testicules, que je léchais, puis gobais en douceur, l’une
puis l’autre, avant que ma langue remonte le long de la hampe, tournoie autour
du gland, et que ma bouche finisse par aspirer le gland, la hampe, pour une
petite sucette du matin…
Elle semblait plus excitée que
d’habitude, et bougeais son bassin, au rythme des vas et viens de ma bouche le
long de sa verge tendue… je pus profiter de ses mouvements pour lui caresser
les fesses… mon doigt s’aventure jusqu’à son sillon, que je flattais
doucement... Elle en éjacula son jus chaud dans ma bouche… j’avalais
consciencieusement le tout, avant de remonter de dessous la table. Elle me
regardait en souriant.
-
J’ai reçu un appel de M. Striker hier soir, tard. Le
nouveau matériel informatique sera déjà livré aujourd’hui… ça ne traîne pas
avec les gens qui ont des moyens !
-
Vous voulez que j’aide à le décharger ?
-
Heu non, je ne préfère pas ! Le jardinier vient faire
les pelouses aujourd’hui, comme il est costaud, je vais lui demander de faire
ce travail, pour un petit supplément. Par contre ils ont livré trois palettes
de rames de papiers pour les photocopieuses et imprimantes. Tu pourrais
décharger les palettes et empiler les caisses dans la réserve, ça m’aiderait
beaucoup !
-
Oui Maîtresse !
Dans le temps j’aurais soufflé et
repoussé cette tâche, dure et que je n’aimais vraiment pas… ici j’étais
heureuse de pouvoir servir ma Maîtresse… quel changement !
Après mes tâches matinales, je me
rendis dans la réserve, attenante à l’internat, où étaient stockés tout le
matériel d’entretien, de jardinage et les réserves de l’intendance. Il y avait
un coin réservé pour empiler les caisses de rames à papiers. Je commençais par
la première palette, coupant avec un ciseau le plastique qui maintenait les
caisses les unes aux autres, puis, caisse par caisse, je vidais la palette et
empilais les caisses à l’endroit voulu. Il ne faisait pas trop chaud dehors,
heureusement, sinon la réserve devenait un vrai sauna !
La robe de soubrette était facile
à porter, et à chaque fois que je me baissais et me relevais, un courant d’air
bienfaisant s’engouffrait sous la jupe, jusqu’à mes fesses, c’était assez
plaisant, mieux que lorsque j’étais en jeans ou en jogging ! J’avais juste dû
faire l’impasse sur les talons aiguilles de 10 cm, je m’étais rabattue
sur les 5 cm,
mais j’avoue que ce n’était pas facile, j’aurais mieux fait de mettre les
ballerines. Je travaillais au rythme du bruit de la tondeuse, que j’entendais
pas si loin. Le jardinier était occupé. Je vidais la première palette, puis la
seconde. Je ne fis pas attention au fait que le bruit de la tondeuse s’était
arrêté depuis un moment. Je ma penchais sur la troisième palette lorsqu’un
sifflement retenti derrière moi…
Le jardinier m’avait sifflée,
c’est qu’il avait eu une vue sur mes jambes et peut être même le début de mes
fesses…
-
Jolies jambes M’dame. J’ai terminé, je viens ranger le
matériel.
C’était un grand black. Le crâne
rasé, une barbe entourant ses lèvres, il avait la peau très foncée, et il était
très grand et très costaud. Le genre qu’on imagine sans peine dans une équipe
de football américain … je me sentais troublée, il se dégageait de lui une de
ces virilités !
Je hochais la tête et replongeais
sur mes caisses de rames de papier, troublée. Je n’arrivais pas à me concentrer
sur autre chose que cette question existentielle : était-ce vraiment vrai cette
histoire sur la grosseur des sexes des blacks ? Où n’était-ce qu’une légende ?
J’avais du mal à me concentrer sur les rames de papier, et un moment, je
glissais en portant une des caisses…
-
Holà, ça va ? Vous ne vous êtes pas fait mal ?
Il vint m’aider à me relever, et
je sentis sa présence très masculine contre moi… et sa main caresser mes fesses
! Je ne pus m’empêcher de rougir. Il devait sentir comment il m’impressionnait,
me dominait. D’ailleurs, lorsque je fus relevée, il ne retira pas sa main de ma
fesse.
-
Faut dire que ça doit être pas facile à faire avec de
tels talons aiguilles. J’ai fini de ranger le matériel de jardin, ainsi que le
matériel informatique. La directrice m’a dit que je pouvais voir avec vous pour
le petit supplément.
-
Mais… mais… je n’ai pas d’argent…
Il serra mes fesses un peu plus
fort dans sa grande main.
-
J’ai l’impression qu’elle ne pensait pas à de l’argent…
Il avait le sourire aux lèvres…
Il continuait de caresser mes fesses voyant que je me laissais faire. Son doigt
suivi la dentelle du string, avant de passer sur l’avant. Il palpa mon
entrejambe avec sa main, serrant mes boules et mon sexe déjà en érection…
-
D’accord, je vois… tu es pleine de surprises, hein…
très intéressant… et ça n’a pas l’air de te déplaire du tout…
Je rougis, ne pouvant cacher mon
excitation et surtout ne pouvais détourner mon regard de son jeans, espérant
deviner la taille de son sexe à travers le tissu, ce qu’il remarqua. Sa main se
posa fermement sur mon épaule.
-
Je vois que tu te poses la question que se pose tous
les petits blancs… va donc vérifier par toi-même...
Il appuya sur mon épaule, me
forçant à m’agenouiller… A genoux face à lui, sans qu’il ne dise ou ne face
rien, je commençais à caresser son entrejambe… oh, la bosse semblait fameuse !
Me mordillant les lèvres, j’ouvris le bouton de son jeans… puis descendit
doucement sa braguette… je vis tout de suite qu’il ne portait pas de caleçon…
et un colosse jaillit de son pantalon, à moitié bandé… J’en restais bouche bée…
il devait faire au moins 23 cm
sur 6 cm
! Quelle monstre ! Il sourit… et plaqua mon visage contre son sexe, ma bouche
au niveau de ses grosses boules noires… sa hampe passait sur mon nez, mon
front, son gland atteignant mes cheveux ! Il avait une forte odeur de mâle, de
mâle en rut, qui m‘excitait tellement !
Je commençais alors à lui lécher
les testicules, ce qu’il sembla apprécier… je léchais tout autour, au milieu,
l’une puis l’autre, avant de doucement les gober, l’une puis l’autre… Il
bandait ferme maintenant, et je ne m’étais pas trompée, il devait bien faire 23
bon centimètres ! Son gros gland avait la couleur des tablettes de chocolat au
lait, tandis que sa hampe puissante avait la couleur des tablettes de chocolats
noirs. Je pris son sexe en main, par le bas de la hampe, et commença à lécher
son gland, tout autour, puis son méat, recueillant son abondant pré-sperme avec
ma langue gourmande.
Puis j’avalais doucement le
gland, le léchant tout en le faisant entrer dans ma bouche, puis le début de sa
hampe… quelle grosseur ! Quelle raideur ! Je ne pus faire entrer que la moitié
de la hampe et toute ma bouche était remplie… Je n’osais pas lui laisser les
commandes, j’avais peur qu’il essaye de m’enfoncer tout ça dans le gosier, je
le suçais donc, ne lâchant pas le début de sa hampe de ma main… son sexe
durcirait encore, et soudain il me releva… costaud comme il était, ce n’était
pas difficile… et me fit me courber sur les caisses de rames de papier qui
restaient sur la troisième palette. Ma croupe lui tant ainsi offerte, il
souleva ma robe, admirant mes fesses pâles, le string blanc en dentelle qui
passait entre mes fesses… il caressa encore mes fesses, puis me donna une
petite fessée… il recommença à me caresser les fesses, puis nouvelle fessée…
-
Tu as vraiment un beau cul de petit blanc… et le string
te va si bien… je vais me régaler !
Sa main me fessa à nouveau, avant
de suivre la dentelle du string, entre mes fesses… il l’écarta un peu, et
caressa ma rondelle, avant d’y enfoncer un doigt… son doigt tournoya, dansa en
moi, avant d’être rejoins par un second…
-
Tu es assez ouverte dis-moi, c’est pas ta première
fois, hein !
Puis il se redressa, et présenta
son gland à l’entrée de mon petit trou… J’étais à la fois excitée de sentir son
mandrin en moi, et à la foi apeurée par sa taille ! Je sentis son gland écarter
mon anus, et entrer en moi… puis sa hampe… il alla doucement, laissant le temps
à mon rectum de se faire à la taille de son membre. Il faisait preuve d’une
virilité forte et d’une certaine douceur en même temps… puis il se poussa
encore… et encore… j’en eu le souffle coupé, j’avais l’impression qu’il allait
me déchirer en deux ! Il commença alors à aller et venir en moi, pas
rapidement, mais par des coups de boutoirs très secs, très puissants !
A chaque passage il frottait ma
prostate comme jamais, ce qui me fit bien vite éjaculer dans mon string.
J’étais totalement remplie et dominée… Il allait et venait toujours aussi
sèchement, mais en accélérant la cadence, jusqu’à me pistonner fortement… quels
coups de boutoirs ! J’étais dans une sorte d’état orgasmique permanent… bavant,
poussant des cris de plaisirs, disant des insanités, sans aucune retenue…
J’étais sa chose, son vide-couille, et je voulais qu’il me baise, encore, plus
fort, plus vite… Ce colosse qui me ramonait le cul, ces mains puissantes qui me
tenait par la taille, son odeur virile, je jouis encore et encore…
Soudain, je sentis un vide
énorme… il n’était plus là, plus en moi… mon anus palpitait, comme la bouche
d’un poisson hors de l’eau…
-
Hé hé hé, ton cul en redemande, il faudra que j’appelle
un pote la prochaine fois… Retourne-toi !
Je me retournais, il descendit tout
à fait mon string, et le jeta au sol, avant de me faire coucher sur les boites
à papier… il écarta et remonta mes jambes, et son mandrin immense replongea en
moi… cette fois ci en une fois… jusqu’à la garde ! Mon petit sexe éjacula
encore une fois, le plaisir d’être à nouveau aussi remplis…
Il me redonna ses coups de
boutoirs puissants, rapides, de plus en plus rapides, jusqu’au moment où il se
retira, me laissant de nouveau l’anus palpitant et les entrailles toutes vides,
et me fit me remettre à genoux par terre. Son sexe tressauta, à quelques
centimètres de mon visage, sa grande main noire le branlant rapidement… puis il
éjacula une giclée comme je n’en avais jamais vue, en plein sur mon visage. Je
sentis le sperme chaud atterrir sur mon front, mes joues, les lèvres, puis
couler le long de mon visage… une seconde giclée arriva sur mes yeux, que je
fermais instantanément, puis encore sur mes lèvres... j’ouvris la bouche,
pourléchant mes lèvres, faisant glisser le sperme vers ma bouche affamée… il le
vit, et mit son gland sur ma langue, où la troisième et quatrième giclée me
remplirent la bouche de ce sperme épais et chaud. Je fermais la bouche, et
suçais ce colosse jusqu’à ce qu’il débande, le nettoyant proprement…
Je restais assise au sol, mes
jambes étant toutes flageolantes. Le black me remercia, me disant qu’on se
reverrait bientôt, un grand sourire aux lèvres. Il me fallut presqu’un quart
d’heure pour me remettre. Je pus me relever, et grâce à la bouteille d’eau que
j’avais apportée (au cas où j’aurais soif en travaillant), je pus un peu me
rincer le visage. Mon anus était encore tout palpitant… quel plaisir !
Je marchais doucement vers le
bureau de ma Maîtresse. Elle était occupée à écrire un mail lorsque j’entrais.
-
Tout s’est bien passé dans la réserve ?
-
Il… il reste la troisième palette à finir… mais là… je
n’en peux plus maîtresse… puis-je aller prendre un bain ?
-
Oui, tu l’as bien mérité. Je demanderai aux élèves de
l’étude de terminer le travail. Tu m’as fait gagner pas mal d’argent
aujourd’hui, tu sais ?
-
Le supplément du jardinier ?
-
Non seulement ça, mais en plus il m’a proposé de
diminuer ses tarifs si tu l’aidais à ranger le matériel comme tu l’as fait
aujourd’hui !
-
Quel homme bien monté… heu… bien sympathique…
-
Oui, je vois ça… ton maquillage est… à refaire !
Elle me fit un clin d’œil et
retourna à son mail. Je montais dans la chambre, pris un bon bain chaud qui me
fit un bien fou… Le soir, je descendis souper au réfectoire. Quelque chose
était posée sur ma chaise… Je m’en approchais, hésitante. Puis je reconnus la
boule de tissu… mon string en dentelle blanc, maculé de tâche douteuse, mon
sperme certainement… je l’avais oublié dans la remise et les élèves de l'étude
qui ont terminé le travail avaient dû le trouver… je le rangeais discrètement
dans la poche de mon tablier, sentant quelques regards sur moi et quelques
rires et plaisanteries salaces étouffés…
Le lendemain, ma journée débuta
comme d’habitude, le petit rituel du matin avec ma maîtresse, puis quelques
tâches domestiques. Je portais les chaussures à talon 10 cm sans problèmes
maintenant, et pouvait même passer à l’aspirateur en les ayant aux pieds. C’est
d’ailleurs ce que je faisais dans l’appartement lorsque le téléphone de service
sonna… Ma maîtresse me demandait dans son bureau. Je m’y rendis sans tarder,
réfléchissant en moi-même… nous n’avions pas de rendez-vous prévu aujourd’hui,
pas que je connaissais en tout cas !
Après avoir toqué à la porte et
attendu qu’elle m’invite à entrer, je me retrouvais dans son bureau. Elle était
assise, stricte, comme toujours, et face à elle se tenait un garçon. Au début
je pensais que c’était un de nos étudiants de dernière année, mais je
remarquais vite qu’il ne portait pas la chemise ni le pull de l’uniforme de
l’école.
-
Viens par ici Aline, et dis-moi ce que tu en penses.
Je m’approchais d’elle, en
dévisageant le garçon. Il avait des cheveux très noirs, qui lui retombait sur
les yeux, et aussi sur la nuque. Ils étaient sales, me dis-je intérieurement.
Son visage aussi était assez sale, mais il avait des yeux d’un bleu ciel
craquant. Il était habillé d’un T-shirt sale, un jeans troué, des chaussures en
tissu, elles aussi trouées. Il avait des ongles longs, sales, pas entretenus.
Il était glabre, bien qu’il devait avoir 17-18 ans…
Je vins me placer à côté de ma
maîtresse, avec un regard interrogateur, me demandant qui il était et ce qu’il
faisait ici. Mais je n’aurais jamais osé poser de question à ma maîtresse,
ç’aurait été trop inconvenant. Elle se tourna vers moi.
-
C’est M. Striker qui me l’a amené ce matin. Il revenait
d’une fête assez tard, et l’a trouvé occupé à cambrioler son appartement. Tu
sais pourquoi il l’a amené ici plutôt que d’appeler la police ?
Je fis non de la tête, curieuse
tout en sentant la suite venir. J’avais aussi remarqué que ma maîtresse avait
sa badine à la main, avec laquelle elle se tapotait le genou tout en parlant.
-
Raconte-lui Christian !
-
Vous allez m’aider, pour de vrai ?
-
Nous verrons cela après. Raconte-lui d’abord.
-
Lorsque j’ai été surpris par ce monsieur, je… je l’ai
imploré de ne pas appeler la police. J’étais prêt à tout, même à le sucer, pour
pas aller en tôle que je lui ai dit.
-
Et cela ne t’aurais pas gêné s’il avait accepté ?
-
Bah non, on jouait souvent à ça à l’orphelinat.
Touche-zizi et autre jeux entre garçons… de toute façon le monsieur a refusé,
sa femme était là. Mais au lieu d’appeler la police, il m’a offert à boire et à
manger, et m’a demandé de raconter mon histoire. Après il m’a amené ici, en
disant que vous m’aideriez, que je ne dormirai plus jamais dans la rue…
J’écoutais silencieusement
l’échange entre ma maîtresse et le dénommé Christian.
-
Raconte encore une fois ton histoire, Aline ne la
connait pas encore…
-
Bof, y’a pas grand-chose à dire. Tout ce que je me
souviens c’est l’orphelinat pour garçon. J’y ai passé toute ma vie. On
s’amusait bien entre copain, mais la vie y était assez dure. La discipline
stricte, et l’orphelinat n’avait pas beaucoup d’argent… on mangeait pas
toujours bien. Surtout que le cuisinier de la cantine était pas très doué en
cuisine, pour sûr ! Alors j’ai commencé par voler quelques pâtisseries, ou des
sucreries, aux surveillants. Pour partager avec les copains. Puis ça a été les
réponses des interros, des produits de bains, des parfums… jusqu’au jour où
j’ai voulu voler la caisse de l’intendance. Je me suis fait prendre. Comme
j’allais presque être majeur, le directeur m’a dit qu’il appellerait la police.
Que j’irais en prison et que ce sera bien fait pour moi. Il m’a raconté la vie
que j’aurais en prison… j’en fais encore des cauchemars ! Alors je me suis
enfui. Comme je n’ai rien ni personne, j’ai couché en rue. Sur des bancs, dans
des gares, sous des ponts. Mais je n’aime pas ça, les autres de la rue me
regardent bizarrement, j’avais peur. Alors quand j’ai vu cette fenêtre ouverte
dans ce bel immeuble, un immeuble de riche pour sûr, fenêtre facilement
atteignable, je n’ai pas résisté. J’ai grimpé sur l’arbre, puis sauté sur le
balcon. Je suis entré. Au début, je voulais juste voir, sentir ce que ça
faisait d’être dans un appartement de riche. Puis après, j’me suis dit que tant
que j’étais là, rien ne m’empêchais de prendre quelques petites choses, pour
améliorer mon train de vie… c’est là que le gars m’a surpris, et que me voilà
ici.
-
Nous pouvons t’aider. Te faire changer de vie, te
donner un nouveau départ. Tu auras toujours un toi, de bonnes choses à manger,
un vrai travail. Et tu vivras certainement dans des maisons de riche !
-
Vrai ? Vous ne vous moquez pas de moi ?
-
Vrai ! Je te le promets. Mais, pour avoir cela il va
falloir que tu fasses des efforts, que tu changes…
-
Je suis prêt à tout pour ça !
-
On va voir. D’abord, fini de voler. Plus jamais. Cela
mettrait fin immédiatement à notre entente, et tu retournerais immédiatement à
la rue, compris ?
Il hocha de la tête.
-
Ensuite, pour y arriver, tu vas devoir apprendre à
obéir. Une obéissance et un abandon total. La règle d’or c’est : j’obéis, je
suis récompensé, je désobéis, je suis immédiatement puni. Et plus je désobéis,
plus la punition augmente.
Elle s’était levée tout en
parlant. Il ne nous quittait pas des yeux. S’il avait l’habitude de jouer des
jeux sexuels entre garçon, les filles ne lui déplaisaient pas non plus, je le
voyais à sa façon de nous regarder.
-
Punis ? Punis comment ?
Schlap ! Schlap !
Un coup de badine sur chaque
fesse répondit à sa question.
-
Aïe, aïe, je crois… je crois que je comprends… fit-il
en se frottant le derrière.
-
Bon maintenant déshabille-toi complètement !
-
Co… comment ? Devant vous ? C’est un peu…
Schlap ! Schlap !
Avec une petite larme à l’œil, il
obéit. Il enleva son T-shirt, ses chaussures trouées, ainsi que son jeans. Il
ne portait ni caleçon, ni chaussette. Son corps était bien proportionné.
Quelques bleus sur le bras et les cuisses témoignaient de son passé difficile,
ou de son passage dans la rue… Il avait de petits poils foncés sur les bras et
les jambes, et une toison très foncée sur son pénis. Son sexe était au repos,
assez petit sous l’effet de la honte de se montrer nu à nous. Mais je craignais
qu’il n’en ait un plus grand que moi s’il devenait excité (ce qui en soit n’est
pas très difficile…)
Ma maîtresse l’observait, sa
badine caressant parfois certaine partie de son corps.
-
Mmm… il y aura plus de travail qu’avec toi. Christian,
je vais t’offrir un nouveau départ.
Il semblait assez gêné d’être nu
devant nous.
-
M… merci. Avec vous je vais être un homme nouveau !
-
Mmmm… pas tout à fait !
Je vis une vague
d’incompréhension passer dans son regard. Je jubilais intérieurement en
songeant que j’étais à sa place il y avait un certain temps déjà… Je jubilais
un peu moins quand le regard de ma maîtresse se posa sur moi et qu’elle dit :
-
Aline, soulève ta robe, s’il te plaît ! Dis-moi
Christian, comment tu trouves Aline ?
-
J… jolie !
Je levais doucement ma robe,
dévoilant mes cuisses gainées de noir, le haut des bas élastiques avec leur
habituelle dentelle, la chair pâle du haut de mes cuisses, puis mon string
noir, en tissu ressemblant à du satin, mais plus léger, légèrement transparent.
Ma Maîtresse vint près de moi. Mais je vis au regard de Christian qu’il avait
déjà compris… Pourtant, avec sa badine, elle fit doucement rouler mon slip, le
descendant sur mes cuisses, dévoilant mon petit sexe et mes petites boules…
-
Tu la trouves toujours aussi jolie, hein ?
Il hocha de la tête, un oui timide.
Mais nous le savions déjà, son sexe prenant quelques centimètres de plus. Il ne
bandait pas encore vraiment, mais déjà comme ça il était plus grand que le mien
!
-
Bientôt tu seras comme elle. Jolie, douée pour servir,
tu vas apprendre le métier de soubrette. Tu vas vivre dans le luxe, sans les
soucis que cela demande aux patrons. Tu les serviras, certes, mais ils te
récompenseront pour ça. Tu seras habillée, nourrie, logée. Tu seras aussi
désirée tellement tu seras jolie, et crois-moi, tu en connaîtras même du
plaisir comme jamais tu ne puisses croire que cela existe.
Il restait bouche bée, sans
savoir quoi dire…
-
Mais avant cela, il faut te renommer… Mmmm Christian…
ça fait Christine. Mmm un peu classique, non ?
Je fis oui de la tête. Lui ne
réagis pas, encore un peu sonné, son regard passant de mon sexe aux visages de
ma (heu… de notre) maîtresse…
-
Disons Christina, ça fait plus exotique. Avec un K, ça
va faire plus sensuel… Kristina ! Dès aujourd’hui, Christian est mort, il
n’existe plus. Il est mort dans la rue. Kristina commence son existence.
Il hocha la tête, toujours un peu
hébété.
-
Je… je vivrai dans le luxe ???
Elle fit oui de la tête. Il
sourit, encore timide.
-
Alors je serai Kristina !
-
Bien ! Aline, amène-le dans ma salle de bain, et fait
lui prendre un bain. Elle est trop sale. Explique-lui l’importance de l’hygiène
pour une bonne soubrette. Après, fait détruire ses vêtements, elle n’en aura
plus jamais besoin.
Mrs Benson retourna à son bureau.
Kristina renfila vite son jeans, pour traverser les couloirs. Je pris le reste
de ses vêtements (puant) puis la conduisis jusqu’à l’appartement de Mrs.
Benson, puis dans la salle de bain. Il écarquilla les yeux, j’imagine qu’il
n’avait jamais vu de salle de bain aussi grande de sa vie ! Il me montra la
baignoire.
-
Je… je n’en ai jamais utilisé de ma vie… à l’orphelinat
on avait que des douches communes…
J’eus une vague de sympathie pour
lui, et lui souriant, je lui caressais doucement la joue. Il me regarda de ses
yeux bleus pâles…
-
Je serai aussi jolie que toi ?
Une petite vague de jalousie me pinça le cœur en même temps…
- Presque aussi jolie ! Allez, enlève ton jeans et grimpe
dans la baignoire.
Il enleva son jeans, je lui fis
une petite tape sur les fesses, et il rentra dans la baignoire. Je fis couler
l’eau, lui expliqua comment choisir la bonne température, puis mis ses loques
dans un sac poubelle, que je descendit immédiatement dans le local aux
poubelles… puis je remontais dans la salle de bain. Il était à la même place
dans la baignoire, sans avoir bougé… Ma maîtresse y était aussi, et lui
expliqua qu’elle avait commandé via internet un traitement hormonal. Il
perdrait sa pilosité, et sa poitrine se développerait un peu. Puis elle me
demanda de lui montrer comment je prenais soins de moi. Je m’agenouillais à
côté de la baignoire, près de lui, et lui montra le shampoing, le savon de
corps, le lait peau douce… Comme il regardait tout cela avec un mélange de
curiosité et de méfiance, je passais aux actes !
Je commençais par lui faire un
shampoing, lui montrant bien comment il fallait faire, puis je passais au savon
de corps, je passais sur son visage, ses épaules, ses aisselles, ses bras, son
dos, son ventre,… mes mains sur ce corps m’excitaient ! Lui aussi d’ailleurs,
je vis à travers l’eau (pourtant déjà assez sale) comment il bandait ! Elle
faisait une bonne quinzaine de centimètre, et avait une épaisseur normale. Ses
boules étaient aussi poilues. Je regardais ma maîtresse qui acquiesça de la
tête… je luis demandais de surélever son bassin, et ayant mis du savon sur ma
main, je finis de savonner son ventre, son pubis… le savon moussait fort dans
ses poils ! Puis ma main pleine de savon passa sur sa hampe, que je caressais
de bas en haut et de haut en bas, le savonnant, faisant mousser le savon, avant
de doucement caresser son gland… puis je redescendit sur sa hampe, jusqu’à ses
boules, que je caressais doucement. Là aussi, le savon moussa avec ses poils…
Il mordait sur ses lèvres, apparemment, il aimait ça… Ma main se perdit sous
son derrière, savonnant ses fesses, son sillon, son petit trou…
L’eau du bain était quasi noire
maintenant, je fis donc couler l’eau, et tandis que la baignoire se vidait
doucement, je pris le pommeau de douche. Avec l’eau tiède, je rinçais ses
cheveux, puis son corps. Une main tenait le pommeau de douche et le dirigeait
dans la direction que je voulais, tandis que de l’autre je le caressais encore,
enlevant la mousse laissée par le savon, ses cheveux d’abord, ses aisselles,
son dos, son ventre… puis son sexe… ses boules, ses fesses, son petit trou, je
remontais sur sa hampe… Il était rouge écarlate dans son visage, je souris, il
ne tiendrait plus longtemps… ma main caressa son gland, ses boules, puis sa
hampe, en même temps que l’eau tiède s’y posait doucement… soudain je pris
fermement sa hampe entre mes doigts, et accéléra les mouvements, le branlant de
plus en plus vite… Il lâcha un petit cri, avant de jaillir dans ma main…
-
Aaaaaah… Oooooh… oh ! Je suis désolé, je…
-
Pas de soucis Kristina, c’est ce que je voulais !
Je lui fis un petit clin d’œil,
avant de porter ma main à mes lèvres, et de lécher le sperme qu’il y avait
dessus, m’en régalant. Il était très léger de goût. Ma maîtresse caressa
doucement la joue de Kristina.
-
Oui, ne te fais pas de soucis… ce n’est qu’une infime
partie des plaisirs que tu connaîtras avec nous ! Bien, maintenant que tu es propre,
je vais m’occuper de tes cheveux, pendant qu’Aline nettoie la baignoire !
Tandis que je nettoyais la
baignoire, je vis ma maîtresse, un peigne et un ciseau à la main, couper les
cheveux de Kristina. Elle lui fit une coupe au carré « plongeant », les cheveux
encadrant son visage. Nous lui apprîmes à se coiffer pour garder cette coupe
qui lui allait vraiment bien. Ensuite, ma maîtresse rasa les poils de son pubis,
de sa verge et ce qu’elle pouvait de ses boules, tandis que j’arrangeais ses
ongles, les nettoyant, et leur donnant une coupe très féminine, avec un peu de
verni. Nous lui apprîmes ensuite à se maquiller, les yeux, les sourcils, les
joues, les lèvres, le teint, le décolleté (même s’il n’y avait encore que des «
œufs sur le plat » dessous !). Ensuite, après trois essais question taille,
nous lui montrâmes comment mettre un soutient gorge, un string, et des bas de
femme.
Elle était très jolie, même si
les poils sur les bras et les jambes gâchaient un peu l’effet. Comme elle avait
plus que moi côté sexe, elle dut prendre des strings un peu plus grands, mais
avec des soutiens d’une taille en dessous de ce que je portais. Ma maîtresse
alla lui commander des robes à sa taille, ainsi que des chaussures. Elle était
un peu plus petite que moi, je pus donc lui prêter une de mes robes en
attendant. Elle n’arrêtait pas de se regarder dans le miroir, n’en revenant pas
de cette transformation. Elle tourna même plusieurs fois sur elle-même, voyant
l’effet que cela faisait dans le miroir… Ma Maîtresse revint à ce moment.
-
Bien, c’est déjà mieux ! Ce sera encore mieux après le
traitement hormonal. Bon, comme la chambre contiguë à la mienne est déjà
occupée par Aline, on va te faire coucher dans la chambre de notre ancien homme
à tout faire, Alain. J’ai déjà appelé la société avec qui je travaille pour mon
intérieur, la chambre sera déjà totalement réarrangée à la fin de cet
après-midi. Non, Aline, elle ne dort pas avec toi. Je connais cette sale manie
que tu as, vous risquer de faire l’amour toute la nuit, et ne serez pas en
forme le lendemain pour le service.
Kristina rougit à cette remarque,
et moi-même ne pus m’empêcher de rougir un peu. Même si dans tout ce qui était
arrivé, rien n’était de ma faute, faut dire que oui, j’aimais le sexe. Et je ne
savais plus résister à un sexe bandé !
-
Bien, j’ai du travail maintenant, Aline fais-lui
visiter les bâtiments, et explique lui déjà le travail qu’elle aura à faire !
Nous traversâmes donc l’école, je
lui montrais les classes (sans y pénétrer, vu qu’on était au milieu de
l’après-midi et qu’il y avait cours), les wc, la salle de gym, les cours de
récréations, les salles d’étude et de détente. Je lui montrais où nous devions
travailler, et où nous n’avions rien à faire, car c’était le service
d’entretien extérieur qui s’en occupait. Puis nous passâmes à l’internat. Elle
connaissait déjà le bureau de notre maîtresse, je lui montrais le réfectoire et
les salles de détentes. Au moment où nous sortîmes dans le couloir, nous
rencontrâmes les étudiants qui revenaient des cours, et qui allaient à l’étude.
Certains nous dévisageaient, surtout la nouvelle, avec des regards pleins de
désir. Kristina rougit, je pensais que, comme moi, elle ressentait ce que
c’était d’être vu avec du désir, plutôt que du dégoût. Même le surveillant la
regarda de haut en bas…
-
Une nouvelle femme de ménage ? Notre établissement est
si riche que ça ???
-
Non, non, ne vous en faites pas, elle est en formation
!
Je lui répondis instinctivement
cela. Il hocha de la tête. Il n’osait plus trop discuter avec moi depuis ce qui
c’était passé dans l’infirmerie, il était un peu gêné. Je dois dire que je
trouvais ça trop chou !
Nous visitâmes les étages des
chambres, avant de terminer par l’appartement de Mrs. Benson, notre maîtresse.
Je lui montrais pour le plateau, puis lui expliquais pour les différents
nettoyages. Enfin, l’heure du souper étant arrivée, nous descendîmes à deux au
réfectoire, et prirent notre repas ensemble. Puis je l’emmenais au dernier
étage, où se trouvait mon ancienne chambre, la sienne à présent !
Mrs. Benson nous y attendait. Je
ne reconnaissais pas la chambre ! C’était les mêmes murs (quoi qu’ils avaient
été bien nettoyés), mais tout mon mobilier avait disparu. Un nouveau lit était
dans un coin, une armoire et une bibliothèque à côté. Un bureau contre le mur,
avec le même écran que chez moi. Et un coin douche.
-
La douche ne fonctionne pas encore, mais les plombiers
viendront terminer cela demain. Alors, pour l’écran… pas de touches, pas de
télécommande, pas de boutons d’aucune sorte… c’est moi qui t’envoie un
programme, quand je le juge utile. Tu dois le regarder jusqu’à la fin. Quoi que
je te passe, interdis de te masturber… si je t’y prends…
Schlap ! Schlap !
Elle lui fit le même laïus qu’à
moi… je souris intérieurement, me replongeant une nouvelle fois quelques temps
en arrière… et j’étais si fière d’aider ma maîtresse à cela maintenant !
-
N’oublie jamais la règle d’or Kristina, c’est
maintenant ta règle de vie : j’obéis, je suis récompensé, je désobéis, je suis
immédiatement puni. Et plus je désobéis, plus la punition augmente… Maintenant
tu as été très sage, très obéissante… tu mérites donc encore une récompense…
Tout en disant cela, elle
s’approcha d’elle, et sa main caressa sa joue, avant de descendre le long de sa
robe… puis passa sous sa robe… pour aller lui caresser l’entrejambe, doucement,
sensuellement… petit à petit le sexe commença à se dresser, dépassant du petit
string en coton noir… la main se posa sur le gland, le caressant doucement,
avant de descendre le long de sa hampe… et de la branler doucement… Kristina
soupira de plaisir…
-
Aline, montre-lui un autre de tes dons !
Elle avait relevé la robe, et
tenait fermement le pénis dressé de Kristina dans son autre main. Je
m’approchais, m’agenouillais, et commençais à lui lécher le gland. Ma langue se
posa sur le gros bout de chair, tournoya autour, vint lécher le pré-sperme qui
y perle… avant de descendre le long de sa hampe… puis de remonter, puis de
redescendre, lentement, jusqu’à ses testicules que je léchouillai doucement…
puis ma langue remonta le long de la hampe, pour tournoyer autour du gland…
avant de doucement l’attirer vers ma bouche, de la gober…
Il soupira d’aise au moment où il
se posa contre mon palais, ma bouche chaude et moite l’entourant, mes lèvres
caressant sa hampe… Mrs. Benson l’avait lâché, laissant cette verge dure et
bandée au max aux bons soins de ma bouche experte… Elle tenait toujours la robe
relevée d’une main, que je puisse pratiquer la fellation tout à mon aise… de
son autre main, elle descendait vers ses fesses, qu’elle caressait
sensuellement, avant de se promener le long de son sillon… son doigt tournoyant
autour de sa rondelle, la caressant, avant d’y entrer un tout petit peu…
-
Je sens que tu es vierge de ce côté-là… et très serrée…
il faudra préparer le terrain, pour t’éviter toute douleur… on va bien
s’occuper de toi, Kristina…
A ce moment, j’accentuais ma
fellation, et dans un râle de plaisir, elle éjacula dans ma bouche, son sperme
blanc et léger, que j’avalais avec délice. Je continuais à garder son sexe en
bouche et à le lécher jusqu’à ce qu’il débande…
Kristina avait le rouge aux
joues, et dût s’asseoir sur le lit… à mon avis elle était vierge de partout, à
part « touche zizi » elle ne devait pas connaître grand-chose !
-
Nous allons te laisser maintenant ! Tous les soirs je
te passerai une vidéo « éducative ». Mais n’oublie pas, interdit de te toucher
!
Vu qu’il ne s’était absolument
pas opposé à devenir une fille, la première partie de son « entraînement »
serait de l’amener à accepter de faire une fellation. J’imaginais donc que
notre maîtresse allait lui passer le premier ‘programme éducatif’… Je me
rappelais encore du tire : « Sissy’s training », avec ces images de jolies
filles qui se trémoussent, toutes en lingerie fine, toute ayant un pénis, comme
nous. Tandis que des images de sexes bandés, de fellations défilent à l’écran,
je me souviens des mots qui apparaissent en flash : « Sissy » (effeminé) «
Whore » (pute) « Slut » (fille facile, aimant le sexe) « Pleasure » (plaisir),
et « mouth » (bouche), « fucking » (baiser), « cum » (sperme)… Puis viennent
les images de ces grosses verges qui éjaculent, répandant leur sperme dans des
bouches gourmandes, qui ne demandent qu’à avaler ce nectar, qui en redemandent,
qui s’en pourlèchent les babines… et elles reçoivent du sperme dans la bouche,
sur la bouche, sur la langue, sur les lèvres… Elles-mêmes en éjaculent de
plaisir ! Rien que le fait de me rappeler de ces vidéos me fait rebander, le
triangle de satin de mon string se tendant comme une vole sous le petit mât
qu’est mon sexe…
Et imaginer Kristina bander comme
une folle en voyant ces images, ses boules regorgeant de ce délicieux sperme,
et ne pouvant se toucher, me mettait dans tous mes états… pour un peu, je me
serais branler moi-même, tellement toutes ces pensées m’excitaient ! Mais je ne
pouvais pas, que c’était dur de résister !
Tandis que j’allais rentrer dans
ma chambre, j’entendis ma maîtresse m’appeler. Je la rejoins dans sa chambre.
Elle était nue, à l’exception d’une nuisette couleur pêche, quasi transparente.
Comme je le pensais et comme moi, tout ça l’avait excitée, et son gros sexe
bandé sortait du bas de sa nuisette, pointant fièrement et orgueilleusement
vers moi. Elle me regardait d’un air de défi, sa main massant doucement sa
verge, de bas en haut… sans la quitter du regard, et un sourire aux lèvres
sachant le plaisir qui allait pouvoir exploser, je me déshabillais entièrement
devant elle, avant de me mettre à quatre pattes sur le lit et d’écarter
légèrement les fesses, lui présentant mon petit trou tout ouvert pour elle…