jeudi 17 novembre 2016

Miss Bobbi

Ooh, comme tu es belle maintenant pour aller voir ta chère vieille tante, Robert chérie. Tu as fini par renoncer à toutes tes  protestations et finalement admis que tatie avait toujours raison que tu fais une meilleure fille qu'un garçon débraillé, n'est-ce pas? Je peux voir l'acceptation de ce fait reflété sur ton visage très joliment maquillé et même dans ton langage corporel.

Mais à la vu de ce que tu es maintenant, nous commencerons à t'appeler Mlle Bobbi, n'est-ce pas? Oui, c'est même sûr, ma chérie.

La lotion va apaisée tout ce que nous avons ciré ou rasé et tu es maintenant aussi lisse qu'un nouveau-né ce qui est juste ce que tu es Mlle Bobbi. Tu as rené récemment en ce que tu étais toujours censé être, n'est-ce pas?

Tatie a toujours su que tu as toujours été trop jolie pour être autorisé à grandir jusqu'à devenir une grosse brute d'homme. tu ne veux jamais avoir toutes ces responsabilités désagréables et t'inquiètes-tu d'être chéri ?

Non, tu ne veux pas, tu veux une de ces grandes bêtes poilues pour prendre soin de toi et te traiter comme une reine. Tatie va te montrer exactement comment en prendre et en garder un.

Les gros seins que tu vas recevoir la semaine prochaine est certainement la première étape, nous allons voir si nous allons passer à la deuxième étape selon le type d'homme que tu attire premier, si tu désirs un beau vagin humide profonde ou pas, ma chérie.

Peu importe qu'on te demande en mariage, je vais avoir cette hypnothérapeute que tu as été voir tous ces mois pour les petits ajustements mentales nécessaires pour que tu sois absolument sa compagne.

jeudi 6 octobre 2016

Photo




Charles devient Charène 2 : Perspective d'une mère

DanaKatherine


J'avais en réalité prévu le sujet ma soeur a voulu discuter, donc je n'ai pas été aussi étonné de voir mon fils paré dans des vêtements de femme. Après tout, Je suis pleinement conscient du penchant de Charles dans les raids boudoir de dame. Donc, je ne pouvais pas vraiment blâmer ma soeur pour avoir féminisé mon fils, comme je l'ai souvent fait moi-même.

C'est vrai, chaque fois que j'ai trouvé mes sous-vêtements planqué dans sa chambre, je de ais fait lui porter une de mes robes pour la journée comme punition. Je savais que mes tentatives pour le guérir de son comportement en l'humiliant dans mes vêtements était erronée, mais j'ai toujours voulu garder "notre petit secret".

Cette fois c'est différent.

Maintenant que Maggie et les filles savent pour Charles, je soupçonne que ça se répandra comme une traînée de poudre dans la famille et la ville. Je ne suis pas sûr qu'il veut vraiment être une fille, mais pour le reste de la journée, il va l'être.

Je dois admettre, qu'entre la perruque et le maquillage que ma soeur lui a fait, il fait vraiment une petite dame convaincante. Une inspection approfondie, tout en soulevant sa robe, a suggéré qu'il avait les jambes galbées et la croupe ronde et généreuse d'une jeune femme aussi.

Je me demandais à haute voix comment il ferait en plein jour, défilant dans la rue principale, montrant "ses" atouts dans un ensemble accrocheur. Je me suis allouée les services de mes nièces, car elles pourraient reconstituer une tenue appropriée pour son age, et bien préparer avec la connaissance de la manière d'attirer les garçons.

Cette déclaration leur plaisait énormément, car elles emmenaient gaiement leur cousin pétrifié à l'étage pour lui présenter les trésors féminins interdits qui demeuraient dans leurs tiroirs. Une vrai lutte a suivi, comme en témoigne le martèlement émanant du plancher de l'étage, mais les rires des filles a suggéré qu'elles avaient bien le contrôle de la situation.

Après un moment, Meredith et Marilyn sont descendus avec une voluptueuse diablesse entre elles, digne des pages d'un magazine de pin-up. Nous avons unanimement décidé que Charlene devrait modeler, assurer "qu'elle" pourrait gérer "sa" démarche en hauts talons d'une façon féminine. Maggie voulait le voir se tortiller et se trémousser, et a chargé ses filles d'emmener leur cousin travesti pour les imiter dans une promenade de fille.

Au milieu elles poussaient ses hanches et secouaient ses fesse, le pinçaient et le mordaient, il a réussi. Les ballons d'eau qu'elles lui ont fournis pour faire croire a une poitrine se bousculaient  dans les bonnets du soutien-gorge à chaque pas. Notre nouvelle fille allait certainement donner un spectacle le long de la rangée de fraternité, sur la route en faisant des courses en ville.


Je soupçonne que ma fille sera tout à fait populaire, au moins parmi les garçons. Charlene peut juste avoir un rendez-vous pour danser au retour prochain, avec collier tendu autour de son cou.

mardi 4 octobre 2016

Harriett



Ca faisait environ 6 mois, depuis la soirée que Nathan passait Suzanne, où il s'était fait pour  une fille gothique aux cheveux bleu, trompant tout le monde qui n'était pas au courant de sa transformation dans les mains d'une sœur vengeresse. Maintenant, Nathan était assis sur le plancher de sa chambre et prit une photo devant le grand miroir qu'il a récemment raccroché pour vérifier ses tenues avant de quitter la maison.

Ce soir, cependant, il n'a pas été obligé de se travestir par Suzanne. Il avait tout fait de lui-même.

La nuit ou la jeune fille aux cheveux bleus a été Nathan réalisait à quel point c'était plaisant d'être une fille. Maintenant, il sort régulièrement comme une fille. Le maquillage a été édulcorée et les cheveux sont les siens pour la plupart. Bien sûr, il doit emprunté quelques vêtements de sa sœur, mais sa propre garde-robe féminine grandissait en taille. il a maîtrisé la marche en talons et il avait à peine demander à Suzanne pour l'aidait quand il se préparait.

Nathan avait pris le nom d'"Harriett" quand il était en mode fille. Harriett avait un grand succès avec les amis de Suzanne et les traits féminins étaient encore visible quand Nathan était en mode garçon. Il était beaucoup plus poli avec Suzanne et la respectait plus que jamais. Nathan était à peine reconnaissable maintenant que le jeune frère gênant avait essentiellement disparu. Bien sûr, il était encore moins reconnaissables portant du latex et le rouge à lèvres rouge.

Suzanne a frappé à la porte de Nathan et lui a dit de se dépêcher. Il s'est vite mit ses pieds et saisit son sac, disant à Suzanne d'arrêter de geindre. Il ne pouvait pas attendre pour se laisser aller ce soir. Chaque soir, comme Harriett semblait partir pour une aventure. Peut-être que Harriett devrait faire plus d'apparitions régulières ...

dimanche 18 septembre 2016

Soubrette Sissy Boy 06 et fin

De Brusselx

Chapitre 06

Le lendemain, après m’être habillée (string et soutien dentelle rouge, bas noirs, robe habituelle), je me rendis chez ma maîtresse. Kristina s’y trouvait déjà, elles discutaient du traitement hormonal. Le traitement n’influencerait pas sa voix, mais ralentirait la pousse de la pilosité, et ferait grossir sa poitrine. Ses cheveux pousseront plus vite aussi, et elle risquerait d’avoir des érections plus difficile. Les hormones changeraient son caractère, le rendant plus sensible, plus émotionnel. Pour sa pilosité, Kristina devrait passer par une électrolyse ou une épilation laser.

Je lui montrais où était le monte-plat, et le plateau déjeuner. Je l’apportais à notre maîtresse, Kristina sur mes pas. Puis, après avoir déposé le plateau, je passais sous la table, comme d’habitude… Elle portait sous sa robe de chambre un pyjama en satin, couleur mauve. Un petit bouton fermait la fente d’une ouverture, au niveau du sexe… décoration, fait par elle, ou pyjama masculin ? Je ne sus, et cela n’avait pas d’importance ! Je défis fébrilement le bouton, tout en caressant par-dessus le tissu la petite bosse où je devinais son sexe. Le bouton ouvert, je sortis son sexe à moitié bandé, et commença à le lécher, avec délectation. Il ne me fallut que quelques coups de langues et de caresses pour le faire bander rapidement, pour une bonne mise en bouche ! Tandis que ma bouche allait et venait le long de son sexe, j’entendis qu’elle posa sa tasse sur l’assiette, et se recula un peu…

-          Aline, Kristina ne sait rien voir comme cela. Attend, viens par ici, montre-lui le service matinal qu’une excellente soubrette comme toi peut apporter !

Elle écarta la chaise de la table, et resta assise, jambe écartée, son superbe sexe mouillé de ma salive tendu orgueilleusement, au grand désarroi de Kristina. Ses yeux exorbités et sa bouche qui restait entr’ouverte de surprise valaient le détour ! Bon, je fus moi-même très étonnée quand je découvris le sexe de Mrs. Benson… je me demandai si j’avais tiré une tête pareille ! A quatre pattes, je sortis de dessous la table et allais jusqu’à la chaise, où je repris ma fellation. Quelques coups de langue, et je remis en bouche sa verge. Je sentis sur moi le regard de Kristina. Elle devait être confuse, surtout après les vidéos éducatives regardées la veille !

-          Kristina, il faut que tu apprennes cela aussi. Mets-toi à quatre patte, et viens voir comment Aline fait !

Je sentis peu après une présence près de moi. Son épaule touchait la mienne. Je sortis le sexe de Mrs. Benson de ma bouche, et lui montrais comment le caresser, les lécher, la hampe, le gland, les testicules, avant de l’enfourner dans ma bouche, puis d’aller et venir jusqu’à ce que le gland touche le fonds de mon palais…

-          Mmmm, tu es trop bonne Aline, arrête où je risque déjà d’arriver ! A toi Kristina, essaye !

Je sortis son sexe de ma bouche, et me reculais pour laisser la place à Kristina. Elle donna quelques coups de langues hésitants et maladroits, avant d’enfourner comme elle pouvait le gland… puis de nouveaux coups de langues, puis le gland, un peu de hampe… je devinais que ce n’était pas terrible… je vins l’aider, léchant le bas de la hampe tandis qu’elle léchait le haut… puis nous changions… à un moment, j’accélérais la fellation, et ma Maîtresse éjacula son sperme en moi.

- Mmmmmm ouiiii, ce que tu es douée Aline ! Kristina, embrasse Aline, pour t’habituer au goût du sperme !

Elle hésita, je pris donc l’initiative, l’embrassant sur les lèvres, puis ma langue se fraya un chemin dans sa bouche. Elle l’ouvrit un peu, ma langue alla caresser la sienne, passant un peu de sperme dans sa bouche. Le baiser devint plus passionné, nos langues tournoyèrent, jusqu’au moment où elle interrompit le contact, pour reprendre de l’oxygène !

-          Kristina, tu n’es pas encore très douée, il faudra t’entraîner, beaucoup t’entraîner ! Aline, il faudra que tu la chapeautes à ce sujet. Entraîne-là aussi à porter des chaussures à talon. Et montre-lui pour le ménage. J’ai du travail, vous pouvez disposer, les filles !

Nous la laissâmes donc et allèrent dans la chambre de Kristina, où elle prit des escarpins noirs, avec les talons de 5 cm. Je lui montrais ensuite pour le ménage. A un moment, elle trébucha en avant, à cause des talons. Sa jupe remontant, je pus voir qu’elle avait choisi un string noir, qui lui allait bien. Je ne pus m’empêcher de caresser ses jolies fesses avant de l’aider à se relever. Elle était rouge pivoine ! Après, tandis que je lui avais confié une tâche ou deux à faire, j’eus une idée, pour améliorer sa technique. Je la laissais travailler, et alla trouver notre maîtresse pour lui expliquer l’idée. Elle approuva, et me donna carte blanche. Je bricolais donc tout l’après-midi, pendant que Kristina et notre maîtresse réglaient des détails administratifs. Le soir nous dinâmes ensemble, puis je la laissais regagner ses appartements, où l’attendait une autre « vidéo éducative »…

Le lendemain, elle porta elle-même le plateau déjeuné sur la table, devant notre maîtresse, et à côté de moi sous la table, me regarda attentivement la sucer pendant qu’elle mangeait, sa jupe retroussée, et me délecter de son jus. De nouveau, après qu’elle m’ait remplit la bouche de son sperme chaud, j’embrassais Kristina à pleine bouche, nos langues se mélangeant, le sperme de notre maîtresse passant d’une bouche à l’autre…

Ensuite nous descendîmes toutes les trois, pour que je puisse leur montrer ce que j’avais préparé la veille. Nous nous rendîmes dans les toilettes des garçons côté école, celles du rez-de-chaussée, en général les plus fréquentées. Celles-là même où Danny et ses amis m’avaient attachée il y a peu. Les cinq urinoirs étaient là, et à côté, il y avait trois cabines WC, fermant avec un loquet, dont les parois étaient en bois. Je leur montrais la cabine du milieu… Kristina y entra la première, suivie de Mrs. Benson. Il y avait un trou de chaque côté, sur la paroi de gauche et celle de droite. Juste assez grands pour laisser passer une verge…

-          Et croyez-moi, les textes ou dessins sur les parois de l’autre côté sont assez évocateurs !
-          Et comment tu vas le faire savoir dans l’école ?
-          Oh pas de soucis, le bouche à oreille va très vite fonctionner…

Kristina nous regardait, ne comprenant pas encore ce qui l’attendait.

-          Vous devriez allez maîtresse, je vais lui montrer !

Elle acquiesça et nous laissa. Lorsqu’elle fut partie, je fermais la porte de la toilette, avec le loquet. Kristina voulut poser une question, mais je lui fis signe de se taire. Peu après, nous entendîmes la porte des toilettes s’ouvrir, puis un bruit du côté des urinoirs. Il ne viendrait pas par ici. Cinq minutes plus tard nouveau bruit de porte, de nouveau un pour les urinoirs. Mais quelques secondes après, nouveau bruit de porte, et cette fois le bruit s’approcha, et l’on entendit la porte de la cabine sur notre gauche s’ouvrir puis se refermer. Un bruit de braguette qui s’ouvre, de liquide déversé, de papier WC pris, puis de chasse tirée… ensuite un bruit de braguette qui remonte, puis une hésitation… « oui, vas-y, pensais-je, ose ! »

Kristina commençait à comprendre, je la fis asseoir sur le WC… quelques secondes après la braguette se refait entendre et un gland apparut par le trou, puis la hampe. Un sexe pas très grand, à moitié bandé. Kristina hésita, alors je me penchai, et enfournai le sexe dans ma bouche… frémissement de surprise de l’autre côté… ma bouche parcourut cette hampe, dans un sens, puis dans l’autre, je léchai le gland et lorsqu’il fut bien bandé, je commençai une fellation dont j’avais le secret… il ne lui fallut pas cinq minutes pour éjaculer dans ma bouche…

J’approchais ensuite ma bouche de celle de Kristina… elle ouvrit la sienne… mais plutôt que de poser mes lèvres sur les siennes, à sa grande surprise, je fis couler le sperme de ma bouche dans la sienne, avant de lui rouler un de ces patins ! Je la préparais ainsi à savourer ce qui allait suivre…

Sur ces entrefaites, le sexe avait disparu du trou.

-          Le prochain est pour toi. Lui murmurai-je.

Et effectivement, cinq minutes après, un nouveau sexe se présenta. Directement, sans passer par la case ‘petit besoin’. Donc certainement un copain du premier, déjà averti. Et la rumeur allait se répandre bien vite, j’en étais sûr ! Kristina hésita cinq minutes, puis lécha le gland avant d’enfourner le sexe dans la bouche. Elle le suça du mieux qu’elle put, et après une dizaine de minutes, le gars lui éjacula dans la bouche. Elle fut surprise, et voulu retirer sa tête… mais je la maintin bien pour qu’elle ne puisse faire autrement qu’avaler, tout en lui susurrant à l’oreille « Savoure-le… savoure son goût salé, son épaisseur, sa chaleur… savoure ce sperme, ce nectar qu’ils te donnent ! » Elle avala tout en rougissant. J’avais bien l’impression que ça lui plaisait. Je me souvins moi-même de l’effet qu’avaient eu sur moi les « vidéos éducatives » de notre maîtresse !

Ce fut calme un certain temps, avant qu’un autre sexe apparaisse. Elle se pencha dessus et commença à le sucer. Un autre apparu par le second trou. Je pris sa main et la posa sur ce nouveau sexe… elle commença à le masturber, tandis qu’elle suçait le premier. Celui qu’elle masturbait éjacula le premier, sur sa main, au sol. Quelques minutes après, le second vint dans sa bouche. Cette fois je n’eus pas à intervenir, elle ne se retira pas, savourant le chaud nectar qui coulait dans sa gorge. Je souris, pensant qu’elle ne fut pas difficile à convaincre… comme moi en somme !

 Deux autres sexes se présentèrent quelques minutes après. Elle en enfourna un dans sa bouche et allait prendre l’autre en main, mais… ce second… quelle monstre ! Au moins 20 cm sur 5… ou même 6 cm ! Un tel calibre, ça ne pouvait être que pour moi ! Je me baissais donc et commençais à le sucer… Mais l’angle n’était pas facile. Je m’assis donc sur les genoux de Kristina. Sur elle et face à elle. Elle frémit, tout en continuant à sucer le sexe sur sa droite. Je pus bien sucer le monstre qui était de l’autre côté. Nos mouvements de bouches et de têtes, faisaient se balancer nos corps, nos bas glissant l’un sur l’autre. A un moment je sentis mon entrejambe tout contre le sien. Elle bandait ferme. Moi aussi.

Soudain, je sentis le monstre se cabrer dans ma bouche, et il éjacula une telle quantité de sperme que je ne sus presque pas tout avaler ! Elle était toujours occupée. Excitée, je passais ma main sous sa robe, et commença à caresser l’avant de son string, tendu par son sexe bandé… sexe qui dépassait du string… Le type éjacula dans sa bouche, et fut bien vite remplacé par une autre, qu’elle recommença à sucer sans se poser de question.

Moi je descendis d’un étage, me mettant à genoux sur le sol, entre ses jambes, et passa ma tête sous sa robe. Son gland et un bout de hampe dépassaient de son string, et il était hyper mouillé, tellement sucer des verges l’excitait ! Je léchais tout son pré-sperme, son gland, avant de l’enfourner dans ma bouche… il ne lui fallut que quelques secondes pour éjaculer, tandis qu’elle-même avalait le sperme du gars qu’elle suçait et qui venait lui aussi d’exploser dans sa bouche…

La récréation devait être finie, car plus aucun sexe ne se montra. Nous en profitâmes pour reprendre notre souffle. Je me levai et la regardai.

-          Notre maîtresse veut que tu t’entraînes ici 2h chaque après-midi. Je viendrai de temps en temps avec toi pour être sûr que tu fais cela avec sérieux !

Elle hocha de la tête. Puis je la laissais là, et quittais la pièce. J’avais mes propres tâches à faire. Le soir, nous dînâmes ensemble, elle me raconta le nombre de verges qu’elle avait sucé pendant la journée. J’étais certaine que sa technique s’améliorerait ainsi.

Lorsque nous sortîmes du réfectoire, nous croisâmes Mrs. Benson nous attendait. Nous la suivîmes jusqu’à la chambre de Kristina.

-          Je t’ai acheté un petit cadeau Kristina, pour te préparer.

Un paquet était sur le bureau. Kristina le pris, déballa et me montra la boîte. C’était un gode anal !

-          J’ai remarqué comme tu es serrée à ce niveau. Pour plaire à tes maîtres, tu devras y passer, alors autant te préparer pour qu’il y ait plus de plaisir que de douleur. Profites-en bien, Aline n’a pas eu cette chance ! D’ailleurs elle va t’aider à le mettre. Je veux que tu le portes chaque fois que tu fais le ménage !

Elle pâlit un peu, mais acquiesça de la tête. Nous nous assîmes sur le lit et elle me passa la boîte. J’enlevai complètement l’emballage. Je retirais le jouet, un petit gode noir, de forme légèrement conique, assez doux au toucher, sans doute imitant la texture et la sensation de la peau… Il n’était pas très grand, une dizaine de centimètre avec le pied, plus ou moins huit centimètres pénétrable. Il n’était pas trop large non plus, pus fin au-dessus, plus large en dessous puis encore plus fin pour le pied, une largeur progressive qui ne devait pas dépasser les trois centimètres. Il y avait aussi un tube de lubrifiant dans la boîte. Je regardai Kristina et lui demandai d’enlever sa robe. Elle ne portait plus que ses bas résilles, ses escarpins à talon, et son string noir. Je lui demandai de se mettre à quatre pattes sur le lit, ce qu’elle fit.

Je me mis derrière elle, et lui caressa sensuellement les fesses. Ma main parfois s’égarait vers l’avant, sentant son sexe mi-bandé derrière le tissu noir à dentelle… puis mes mains repassèrent sur ses jolies fesses, et écartèrent la fine bande de tissu noir qui me cachait son œillet. Je le caressais doucement, le flattant de mon doigt. Puis je mis une noisette de lubrifiant sur mon doigt, et je l’appliquais doucement sur sa rondelle, tournant, caressant. J’en remis un peu plus, son anus luisant à cause du lubrifiant. Je passais mon doigt sur son sillon, son anus, jusqu’à ce que mon doigt soit lui aussi luisant de lubrifiant.

Puis il recommença à tournoyer sur son anus, ensuite le bout de mon doigt pressa légèrement… jusqu’à ce qu’il passa le muscle serré de son anus… petit à petit, tout en tournoyant, j’enfonçais mon doigt en lui… c’était chaud et tout serré ! Je ressortis mon doigt, remis du lubrifiant et recommençais, jusqu’à ce que mon doigt entre et sorte facilement de son petit trou… Il bandait comme un fou, et notre maîtresse se branlait en nous voyant faire…

Je remis un peu de lubrifiant, et passa à deux doigts, qui tournoyèrent en lui, massant, caressant… De mon autre main, je pris le gode, et le mis dans ma bouche, comme si c’était un pénis que je suçais. Lorsqu’il fut mouillé, je sortis mes doigts de son petit trou, et fis passer le gode sur ses fesses, le long de son sillon, comme si c’était un sexe… lorsqu’il fut mouillé autant du lubrifiant que de ma salive, je pressais le bout contre son anus… Je me mis bien sur mes genoux, derrière lui, poussant doucement, et c’est comme si son anus goba le bout du jouet, qui entra en lui.

D’une main j’enfonçais doucement le jouet, de l’autre j’attrapais son sexe qui sortait maintenant du triangle de tissu noir, et le caressais fermement. Au plus j’enfonçais le gode, parfois reculant un peu pour mieux avancer, au plus je le branlais vigoureusement… Je réussis à enfoncer le gode jusqu’à la base, un petit rond noir masquant son anus, quand je sentis notre maîtresse venir elle aussi sur le lit, remontant ma robe, bougeant le tissu rouge de mon string, et présentant son gland mouillé à mon anus. Je collais mon bassin contre les fesses de Kristina, enlaçant sa taille de mes bras, présentant un angle de pénétration à notre maîtresse… elle me pénétra en une fois, jusqu’à la garde ! Elle devait être super excitée !

Je continuais à branler Kristina, tandis qu’elle allait et venait en moi… le lit grinçait, et les mouvements de ma main accéléraient au rythme des coups de boutoirs de notre maîtresse… Kristina poussa un petit cri rauque, et éjacula dans ma main. Tandis que je portais mes doigts à ma bouche, ma maîtresse éjacula en moi, remplissant mon rectum de son foutre tout chaud, qui me fit venir moi aussi, dans mon string…

Ma maîtresse n’étant pas encore satisfaite, je le sentais, sitôt qu’elle sortit son sexe de mon petit trou, je le suçais, le nettoyant complètement avec ma langue. Nous nous déshabillèrent, elle me présenta ses seins, que je léchais, caressais, suçais les tétons… Nous avions basculé sur le lit, moi au-dessus d’elle, et tandis que je m’occupais de ses si beaux elle seins, elle me caressait les fesses, et un ou deux de ses doigts s’enfoncèrent dans mon anus. Ils en ressortaient mouillé de son sperme, et elle les portais jusqu’à sa bouche… sentant que son membre reprenait doucement vigueur, je descendis un peu, pour aller le lécher, la hampe, ses jolies testicules, sa hampe, son gland, puis je le mis en bouche, et le suçais avec passion.

Lorsqu’il fut à nouveau bandé, elle me retourna, et me pris en levrette… Kristina nous regardait, prise par la luxure qui emplissait la pièce. Elle retira son string, ses jambes écartées face à moi… je me bougeais un peu, ma tête venant entre ses jambes, et attrapais son sexe de nouveau bandé avec ma bouche… M’accrochant à ses fesses, je la suçais, montant ma croupe pour un angle nouveau. Notre maîtresse, ses mains m’agrippant fortement par les hanches, se déchaînaient en moi, son gros sexe entrant et sortant de mon petit cul, mouillé par son sperme qui remplissait de moins en moins mon rectum, coulant le long de mes jambes à cause des allers et venues de sa verge en moi… Plus elle s’enfonçait en moi, plus loin, plus fort j’aspirais la bite de Kristina dans ma bouche…

A un certain moment, je jouais même avec le gode le faisant tournoyer dans son cul, tout en la suçant et en me faisant prendre par derrière… Je jouis le premier, maculant les draps de mon sperme, avant que Kristina ne se vide dans ma bouche… Après encore quelques minutes, notre maîtresse me remplit une nouvelle fois le cul de son foutre chaud… Il nous fallut quelques minutes pour reprendre notre souffle. Puis, son sexe débandant, elle sortit doucement de moi. Je me redressais un peu, et du sperme coula de mon cul béant, se mélangeant au mien déjà su les draps. Elle nous fit lécher le sperme, avant de nous caresser encore… Nous nous endormirent toutes les trois côtes à côtes, enlacées…

Le lendemain, lorsque je m’éveillais, il n’y avait plus que moi et Kristina dans le lit. Je m’en extirpais doucement, mais Kristina se réveilla. Elle me sourit, avant que nous réalisions que nous étions en retard. Je vis qu’elle avait toujours le petit rond noir du gode entre les fesses, prouvant que le jouet était bien enfoncé en elle… Nous nous habillâmes en vitesse, je passais juste par mon appartement pour changer de string, avant de rejoindre Kristina près de notre maîtresse. Elle déjeunait silencieusement, lisant les nouvelles. Kristina était déjà sous la table, je l’y rejoins, l’aidant, léchant les testicules et le bas de la hampe de notre maîtresse, tandis que Kristina s’occupait du gland et du haut de la hampe. Lorsque notre maîtresse éjacula, c’est elle qui prit le nectar dans sa bouche, et le partagea avec moi dans un long baiser passionné…

Nous passâmes ensuite à nos tâches ménagères. Kristina passa encore deux heures dans le cabinet transformé en Glory Hole, je vérifiais qu’elle faisait bien ce qu’elle devait (en en profitait par la même occasion pour en sucer un ou deux moi aussi). Le soir, notre Maîtresse lui offrit un gode plus long et plus épais. Je l’aidais à faire le changement, et ce fut plus facile que la première fois, son petit cul s’habituant à avoir quelque chose de dur en lui… Ensuite elle eut sa séance de vidéos éducatives, essentiellement basées sur les plaisirs de prendre un sexe bien dur et chaud dans le cul.

Le lendemain, nous nous rendîmes à une clinique, où elle et moi bénéficièrent d’une épilation laser. Elle commença aussi le traitement hormonal, je pus en profiter également mais à moins forte dose qu’elle, juste pour un peu faire pousser plus ma poitrine. Effet collatéral au traitement, mes tétons, sans grossir, devinrent néanmoins plus sensible, ainsi que mon anus. Lorsque ma maîtresse enfonçait en moi sa verge bandée, j’avais l’impression que le plaisir était doublé, des sensations tellement fortes que j’en devenais complètement accro !

Ce matin-là, nous étions comme d’habitude sous la table du petit déjeuner, léchant et suçant à tour de rôle notre maîtresse, qui portait une nuisette moitié transparente, moitié dentelles, très seyante, lorsque celle-ci nous demanda d’arrêter.

-          Le Conseil d’administration se réunit demain, ici. Ils voudraient voir les progrès de Kristina. Nous devons donc passer à la vitesse supérieure. Et voir si Kristina est prête ! Pour tout ce qui concerne les tâches ménagères, je n’ai rien à dire elle a appris très vite. Pour l’apparence, elle est jolie comme tout.

Et c’est vrai que maintenant qu’elle n’avait plus de poils aux jambes et aux bras, qu’elle avait trouvé « son » maquillage, et qu’elle avait un peu de poitrine en plus, elle était très jolie, ses cheveux court encadrant son visage, ses yeux si bleus vous touchant en plein cœur. Sa robe de soubrette lui allait à ravir, et elle marchait sans problème avec des escarpins ayant un talon de 10 cm…

-          Et pour le reste… elle suce de mieux en mieux. Il nous reste une dernière chose à vérifier… Viens ici Kristina.

Docilement, elle obéit, et ne fit lorsque ma Maîtresse la retourna, frottant son bassin – et donc son sexe bandé – contre ses fesses… elle la plaqua alors doucement contre la table, et releva sa robe de soubrette, dévoilant ses deux petites fesses qui tenaient dans une très petite culotte, d’un jaune été, constituée de deux triangles de tissus retenus sur ses hanches par deux petites ficelles du même jaune… Ma maîtresse, toujours caressant son sexe en érection contre le tissu jaune, défit un à un les petits nœuds des ficelles, et la culotte tomba au sol… Moi qui étais toujours sous la table, je vis les morceaux de tissus tomber près de moi, et j’avais une jolie vue sur le sexe déjà dressé de Kristina !

Ma maîtresse lui caressa les fesses, puis alla jusqu’au petit rond en plastique noir, la bas du sextoy enfoncé dans le cul de Kristina. Elle l’enleva doucement. Puis le fit tomber sur le sol, juste sur le tissu jaune de sa culotte… il était encore mouillé de lubrifiant et de mouille anale de Kristina… je ne résistais pas, le pris, et par-dessous ma robe, poussant la ficelle du string, je me le mis moi-même… le bout plus fin fut absorbé sans problème par mon anus, et tout le gode par mon petit cul qui aimait tant à être remplit ! Pendant ce temps, ma maîtresse jouait avec deux de ses doigts dans le cul de Kristina, dont la respiration s’accélérait au même rythme que son excitation…

-          C’est mieux… bien mieux…

Puis elle frotta son gland, déjà mouillé d’excitation contre l’anus de Kristina… ce dernier, habitué à avoir quelque chose de calé en lui durant ces derniers jours, happa le gland, et notre Maîtresse s’enfonça doucement dans le cul de Kristina… puis, elle commença à aller et venir, doucement d’abord, puis de plus en plus vite, au fur et à mesure que le conduit anal de Kristina se faisait à la grosseur du sexe qui la pénétrait. A chaque coup de boutoir, je voyais le sexe de Kristina qui s’ébrouait, tressautait devant moi, luisant de mouille, c’était trop tentant !

Je m’approchais donc, et léchais ce gland, puis l’avalais, suçant ce sexe pendant que ma maîtresse la prenait de plus en plus vite par derrière… ce double plaisir fit gémir Kristina, qui fit de plus en plus de bruit au fur et à mesure que son plaisir montait… elle gémissait, râlait de plaisir, en demandait plus, plus fort… au moment où notre maîtresse éjacula son sperme chaud au plus profond d’elle, elle me lâcha dans la bouche de ces giclées de sperme, plus liquide que d’habitude, sa prostate étant bien massée et le plaisir donné par la verge de notre maîtresse étant si fort…

-          Bien, je vois que tu as aimé, Kristina. Je pense que tu es prête !

Le lendemain, c’est Kristina et moi qui avons aidé notre maîtresse à préparer son bureau pour le conseil d’administration. Nous étions prêtes, surtout que notre maîtresse nous avait offert un beau cadeau, la veille au soir : de nouveaux sous-vêtements, très coquins ! Le tissu est noirs transparent, avec des roses rouges. Au niveau du soutien-gorge, une fente est pratiquée de chaque cotée, qui laisse le téton apparent… au niveau du slip, c’est un peu comme un string, sauf qu’au lieu d’un fin morceau au milieu, il y a deux morceaux, un sur chaque fesse, avec une ouverture au niveau de notre petit trou ! Je bandais, rien qu’à me voir dans le miroir comme ça !

Les membres du Conseil d’Administration arrivèrent en trois vagues. M. Striker arriva en premier, et il n’en revint pas quand il vit Kristina… il chuchota un « C’est lui ? » à notre maîtresse en le voyant… Elle acquiesça, il était complètement bluffé ! Puis le maire arriva avec la dame, et enfin les deux derniers, l’homme barbu et le moustachu.

La réunion commença, et pendant que notre maîtresse faisait la lecture des comptes de l’école, nous passions entre eux Kristina et moi, servant le café, chacune d’un côté de la table. Des mains passaient sous ma jupe, caressait mes fesses, mes seins plus développés que la dernière fois qu’ils les avaient vus… Lorsque j’eus déposé la cafetière, je vis que Kristina était assise sur les genoux de M. Striker. Sa main était sous sa robe, et au mouvement qu’elle faisait, je devinais qu’il palpait son petit trou, avant de gentiment le doigter, tout en écoutant la suite de la réunion…

Moi, le monsieur barbu m’attira à lui, vers sa braguette déjà ouverte. Je sortis son membre bandé, que je suçais avec application, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. Puis, après avoir bu son sperme jusqu’à la dernière goutte, je passais au monsieur moustachu, à qui je fis le même traitement. L’ayant bu lui aussi, je passais à la dame, lui léchant le sexe, alternant doigtage et coup de langue, jusqu’à la sentir venir et mouiller ma langue et mes doigts de son jus féminin.

Ayant fini de m’occuper des trois personnes de mon côté de la table, je vis que de l’autre côté, Kristina était toujours sur les genoux de M. Striker, allant et venant le long de son sexe, il la guidait le long de son pieux en tenant fermement les fesses et en imprimant direction et vitesse… Le maire s’astiquait le manche, n’ayant encore eu personne qui s’était occupé de lui. Je m’en approchais donc, et vint le mettre en bouche, le suçant jusqu’à ce que lui aussi me remplisse la bouche de son jus chaud.

Il ne fallut pas longtemps pour que Kristina et moi quittions nos robes ! Toutes les deux en escarpins à talons noirs, bas noirs, sous-vêtements noirs transparents et ouverts, aux tétons et au petit trou, ce qu’on devait être sexy !

La dame plongea sur Kristina, et son sexe bandé dont le gland sortait du slip… les autres me firent m’agenouiller derrière elle, et pendant que la dame la suçait, ils me firent lui lécher le petit trou, remplit du sperme de M. Striker, pour que j’en lape le plus possible. Stimulé par devant et par derrière, ce n’est que grâce au traitement hormonal (qui ralentit l’éjaculation) que Kristina ne vint pas dans la bouche de la dame ! Puis ils la firent coucher sur la table, et tandis que la dame s’empalait sur son sexe bandé, le maire vint lui fourrer le cul, tout en pelotant vigoureusement les seins de la dame… moi je suçais alternativement M. Striker, le barbu et le moustachu, puis, j’en suçais deux pendant que le troisième me fourrait le cul à son tour… ces grosses bites qui me remplissaient, allaient et venaient en moi… pendant que j’en suçais d’autre… quel pied !

Je réussis même à prendre en même temps deux verges dans la bouche, malgré la douleur que cela me fit à la mâchoire ! Soudain, tandis que M. Striker enfonçait sa verge dans mon petit trou, il passa sa main sur mon petit sexe, et l’agrippant, il le masturba tout en me sodomisant… je ne tardais pas à jouir, étant ainsi stimuler par devant, par derrière et dans la bouche… il sortit sa main plein de sperme de mon slip, et la porta à mon visage. Le monsieur barbu sortit son sexe de ma bouche, je pu lécher mon sperme sur la main de M. Striker… il en étala également sur mon visage… je devenais de plus en plus affamée de sperme !

Ils nous firent mettre en 69 Kristina et moi, pour nous voir nous lécher le sperme qui avait éclaboussé sur nos fesses, qui coulait de nos fions… puis nous nous retrouvâmes accoudées à la table, et ils nous sodomisèrent encore toutes les deux à tours de rôles…

-          Lubrifiez-les biens, je passe après !

La dame avait revêtu un gode ceinture noir, avec un sexe en plastique vibrant, plus gros que les sexes des messieurs présents, et parcourus de nervures et de petite boules… Elle passa en effet après ces messieurs, heureusement que nos culs étaient remplis de sperme et de notre propre mouille anale ! Son gode s’introduisit dans nos culs, avec un bruis de succion mouillé tout à fait indécent, faisant couler encore plus de sperme le long de nos jambes… nous terminâmes cette réunion par une douche de sperme de ces quatre messieurs, inondant nos deux visages de leur sperme chaud, nous demandant ensuite de nous lécher l’une l’autre…
Ces après-midi de gangbang étaient pour moi merveilleuse. Oui, nos corps étaient utilisés comme vide-couilles, mais j’étais dans un état orgasmique quasiment permanent à cause du plaisir que cela me donnait… je ne connais pas de plus grand plaisirs que d’être utilisée par plusieurs hommes à la fois, d’être remplie de sperme, dans le cul, dans la bouche, sur ma peau…

Kristina nous quitta peu après, entrant au service d’un des hommes le plus riche de la ville, et même du pays selon certaines rumeurs. La séparation ne fut pas si facile, mais nous le savions dès le début qu’elle ne resterait pas longtemps avec nous. L’école fut largement rétribuée pour cette formation donnée.

Ma maîtresse et moi ne restâmes pas longtemps seules, nous eûmes bien vite d’autres élèves à « former ». Féminiser puis former, pour être précise. Jamais ma maîtresse ne s’attendait à une telle demande. Mais elle refusa d’en former plus d’une à la fois, une par semestre scolaire. Et elle refusa de travailler pour des gens pas nets, ou des bordels. Moi, je restais toujours avec elle. De temps en temps, et avec mon consentement, elle me prêtait à un des membres du conseil d’administration, pour une soirée, pour une fête… je faisais bien mon service, et cela se terminait toujours en orgie, ce qui satisfaisait à chaque fois mon envie de sexe, jamais éteinte.

Oui, je suis une soubrette. Oui, j’appartiens à ma maîtresse, et ne passe pas une journée sans avoir ma bouche ou mon cul remplis de sperme. Mais, pour rien au monde, je ne changerais, tellement j’aime ça ! J’aime ma maîtresse, j’aime le sexe, surtout, je suis caressée, aimée, désirée, et ai toujours du sexe, où et quand je le veux. Même si je fais mon travail très consciencieusement, ma vie n’est qu’une suite de plaisirs. Pourquoi en changerai-je ?



-- THE END --

Soubrette Sissy Boy 05

De BrusselX

Chapitre 05

Le lendemain matin, je m’éveillais tôt, comme d’habitude, me lavais, me maquillais, et choisis un de remettre des bas blancs, j’avais trouvé cela très seyant, avec un string blanc en dentelle et le soutien assorti. Lorsque je fus habillée, j’allais retrouver ma Maîtresse.

Je pris le plateau déjeuner dans le monte plat, puis l’apportais dans la salle à manger. Après l’avoir mis devant elle, sur la table, je plongeais sous la table. Elle portait une robe de chambre en satin rose pâle, très légère, très courte aussi, et en dessous un petit string à ficelle du même rose. Son sexe était déjà gros, soulevant le triangle du string comme une voile triangulaire attachée au mât de certains voiliers filant sous le vent… me sentant coquine, j’embrassais ses pieds, puis ma langue suivi toute sa jambe, sa cuisse, pour arriver aux petits nœuds sur sa taille qui retenait les ficelles du string… je tirais avec mes dents, défaisant le nœud, puis ma langue couru le long de sa cuisse vers sa hampe dure et tiède… je descendis vers ses testicules, que je léchais, puis gobais en douceur, l’une puis l’autre, avant que ma langue remonte le long de la hampe, tournoie autour du gland, et que ma bouche finisse par aspirer le gland, la hampe, pour une petite sucette du matin…

Elle semblait plus excitée que d’habitude, et bougeais son bassin, au rythme des vas et viens de ma bouche le long de sa verge tendue… je pus profiter de ses mouvements pour lui caresser les fesses… mon doigt s’aventure jusqu’à son sillon, que je flattais doucement... Elle en éjacula son jus chaud dans ma bouche… j’avalais consciencieusement le tout, avant de remonter de dessous la table. Elle me regardait en souriant.

-          J’ai reçu un appel de M. Striker hier soir, tard. Le nouveau matériel informatique sera déjà livré aujourd’hui… ça ne traîne pas avec les gens qui ont des moyens !
-          Vous voulez que j’aide à le décharger ?
-          Heu non, je ne préfère pas ! Le jardinier vient faire les pelouses aujourd’hui, comme il est costaud, je vais lui demander de faire ce travail, pour un petit supplément. Par contre ils ont livré trois palettes de rames de papiers pour les photocopieuses et imprimantes. Tu pourrais décharger les palettes et empiler les caisses dans la réserve, ça m’aiderait beaucoup !
-          Oui Maîtresse !

Dans le temps j’aurais soufflé et repoussé cette tâche, dure et que je n’aimais vraiment pas… ici j’étais heureuse de pouvoir servir ma Maîtresse… quel changement !

Après mes tâches matinales, je me rendis dans la réserve, attenante à l’internat, où étaient stockés tout le matériel d’entretien, de jardinage et les réserves de l’intendance. Il y avait un coin réservé pour empiler les caisses de rames à papiers. Je commençais par la première palette, coupant avec un ciseau le plastique qui maintenait les caisses les unes aux autres, puis, caisse par caisse, je vidais la palette et empilais les caisses à l’endroit voulu. Il ne faisait pas trop chaud dehors, heureusement, sinon la réserve devenait un vrai sauna !

La robe de soubrette était facile à porter, et à chaque fois que je me baissais et me relevais, un courant d’air bienfaisant s’engouffrait sous la jupe, jusqu’à mes fesses, c’était assez plaisant, mieux que lorsque j’étais en jeans ou en jogging ! J’avais juste dû faire l’impasse sur les talons aiguilles de 10 cm, je m’étais rabattue sur les 5 cm, mais j’avoue que ce n’était pas facile, j’aurais mieux fait de mettre les ballerines. Je travaillais au rythme du bruit de la tondeuse, que j’entendais pas si loin. Le jardinier était occupé. Je vidais la première palette, puis la seconde. Je ne fis pas attention au fait que le bruit de la tondeuse s’était arrêté depuis un moment. Je ma penchais sur la troisième palette lorsqu’un sifflement retenti derrière moi…

Le jardinier m’avait sifflée, c’est qu’il avait eu une vue sur mes jambes et peut être même le début de mes fesses…

-          Jolies jambes M’dame. J’ai terminé, je viens ranger le matériel.

C’était un grand black. Le crâne rasé, une barbe entourant ses lèvres, il avait la peau très foncée, et il était très grand et très costaud. Le genre qu’on imagine sans peine dans une équipe de football américain … je me sentais troublée, il se dégageait de lui une de ces virilités !

Je hochais la tête et replongeais sur mes caisses de rames de papier, troublée. Je n’arrivais pas à me concentrer sur autre chose que cette question existentielle : était-ce vraiment vrai cette histoire sur la grosseur des sexes des blacks ? Où n’était-ce qu’une légende ? J’avais du mal à me concentrer sur les rames de papier, et un moment, je glissais en portant une des caisses…

-          Holà, ça va ? Vous ne vous êtes pas fait mal ?

Il vint m’aider à me relever, et je sentis sa présence très masculine contre moi… et sa main caresser mes fesses ! Je ne pus m’empêcher de rougir. Il devait sentir comment il m’impressionnait, me dominait. D’ailleurs, lorsque je fus relevée, il ne retira pas sa main de ma fesse.

-          Faut dire que ça doit être pas facile à faire avec de tels talons aiguilles. J’ai fini de ranger le matériel de jardin, ainsi que le matériel informatique. La directrice m’a dit que je pouvais voir avec vous pour le petit supplément.
-          Mais… mais… je n’ai pas d’argent…

Il serra mes fesses un peu plus fort dans sa grande main.

-          J’ai l’impression qu’elle ne pensait pas à de l’argent…

Il avait le sourire aux lèvres… Il continuait de caresser mes fesses voyant que je me laissais faire. Son doigt suivi la dentelle du string, avant de passer sur l’avant. Il palpa mon entrejambe avec sa main, serrant mes boules et mon sexe déjà en érection…

-          D’accord, je vois… tu es pleine de surprises, hein… très intéressant… et ça n’a pas l’air de te déplaire du tout…

Je rougis, ne pouvant cacher mon excitation et surtout ne pouvais détourner mon regard de son jeans, espérant deviner la taille de son sexe à travers le tissu, ce qu’il remarqua. Sa main se posa fermement sur mon épaule.

-          Je vois que tu te poses la question que se pose tous les petits blancs… va donc vérifier par toi-même...

Il appuya sur mon épaule, me forçant à m’agenouiller… A genoux face à lui, sans qu’il ne dise ou ne face rien, je commençais à caresser son entrejambe… oh, la bosse semblait fameuse ! Me mordillant les lèvres, j’ouvris le bouton de son jeans… puis descendit doucement sa braguette… je vis tout de suite qu’il ne portait pas de caleçon… et un colosse jaillit de son pantalon, à moitié bandé… J’en restais bouche bée… il devait faire au moins 23 cm sur 6 cm ! Quelle monstre ! Il sourit… et plaqua mon visage contre son sexe, ma bouche au niveau de ses grosses boules noires… sa hampe passait sur mon nez, mon front, son gland atteignant mes cheveux ! Il avait une forte odeur de mâle, de mâle en rut, qui m‘excitait tellement !

Je commençais alors à lui lécher les testicules, ce qu’il sembla apprécier… je léchais tout autour, au milieu, l’une puis l’autre, avant de doucement les gober, l’une puis l’autre… Il bandait ferme maintenant, et je ne m’étais pas trompée, il devait bien faire 23 bon centimètres ! Son gros gland avait la couleur des tablettes de chocolat au lait, tandis que sa hampe puissante avait la couleur des tablettes de chocolats noirs. Je pris son sexe en main, par le bas de la hampe, et commença à lécher son gland, tout autour, puis son méat, recueillant son abondant pré-sperme avec ma langue gourmande.

Puis j’avalais doucement le gland, le léchant tout en le faisant entrer dans ma bouche, puis le début de sa hampe… quelle grosseur ! Quelle raideur ! Je ne pus faire entrer que la moitié de la hampe et toute ma bouche était remplie… Je n’osais pas lui laisser les commandes, j’avais peur qu’il essaye de m’enfoncer tout ça dans le gosier, je le suçais donc, ne lâchant pas le début de sa hampe de ma main… son sexe durcirait encore, et soudain il me releva… costaud comme il était, ce n’était pas difficile… et me fit me courber sur les caisses de rames de papier qui restaient sur la troisième palette. Ma croupe lui tant ainsi offerte, il souleva ma robe, admirant mes fesses pâles, le string blanc en dentelle qui passait entre mes fesses… il caressa encore mes fesses, puis me donna une petite fessée… il recommença à me caresser les fesses, puis nouvelle fessée…

-          Tu as vraiment un beau cul de petit blanc… et le string te va si bien… je vais me régaler !

Sa main me fessa à nouveau, avant de suivre la dentelle du string, entre mes fesses… il l’écarta un peu, et caressa ma rondelle, avant d’y enfoncer un doigt… son doigt tournoya, dansa en moi, avant d’être rejoins par un second…

-          Tu es assez ouverte dis-moi, c’est pas ta première fois, hein !

Puis il se redressa, et présenta son gland à l’entrée de mon petit trou… J’étais à la fois excitée de sentir son mandrin en moi, et à la foi apeurée par sa taille ! Je sentis son gland écarter mon anus, et entrer en moi… puis sa hampe… il alla doucement, laissant le temps à mon rectum de se faire à la taille de son membre. Il faisait preuve d’une virilité forte et d’une certaine douceur en même temps… puis il se poussa encore… et encore… j’en eu le souffle coupé, j’avais l’impression qu’il allait me déchirer en deux ! Il commença alors à aller et venir en moi, pas rapidement, mais par des coups de boutoirs très secs, très puissants !

A chaque passage il frottait ma prostate comme jamais, ce qui me fit bien vite éjaculer dans mon string. J’étais totalement remplie et dominée… Il allait et venait toujours aussi sèchement, mais en accélérant la cadence, jusqu’à me pistonner fortement… quels coups de boutoirs ! J’étais dans une sorte d’état orgasmique permanent… bavant, poussant des cris de plaisirs, disant des insanités, sans aucune retenue… J’étais sa chose, son vide-couille, et je voulais qu’il me baise, encore, plus fort, plus vite… Ce colosse qui me ramonait le cul, ces mains puissantes qui me tenait par la taille, son odeur virile, je jouis encore et encore…

Soudain, je sentis un vide énorme… il n’était plus là, plus en moi… mon anus palpitait, comme la bouche d’un poisson hors de l’eau…

-          Hé hé hé, ton cul en redemande, il faudra que j’appelle un pote la prochaine fois… Retourne-toi !

Je me retournais, il descendit tout à fait mon string, et le jeta au sol, avant de me faire coucher sur les boites à papier… il écarta et remonta mes jambes, et son mandrin immense replongea en moi… cette fois ci en une fois… jusqu’à la garde ! Mon petit sexe éjacula encore une fois, le plaisir d’être à nouveau aussi remplis…

Il me redonna ses coups de boutoirs puissants, rapides, de plus en plus rapides, jusqu’au moment où il se retira, me laissant de nouveau l’anus palpitant et les entrailles toutes vides, et me fit me remettre à genoux par terre. Son sexe tressauta, à quelques centimètres de mon visage, sa grande main noire le branlant rapidement… puis il éjacula une giclée comme je n’en avais jamais vue, en plein sur mon visage. Je sentis le sperme chaud atterrir sur mon front, mes joues, les lèvres, puis couler le long de mon visage… une seconde giclée arriva sur mes yeux, que je fermais instantanément, puis encore sur mes lèvres... j’ouvris la bouche, pourléchant mes lèvres, faisant glisser le sperme vers ma bouche affamée… il le vit, et mit son gland sur ma langue, où la troisième et quatrième giclée me remplirent la bouche de ce sperme épais et chaud. Je fermais la bouche, et suçais ce colosse jusqu’à ce qu’il débande, le nettoyant proprement…

Je restais assise au sol, mes jambes étant toutes flageolantes. Le black me remercia, me disant qu’on se reverrait bientôt, un grand sourire aux lèvres. Il me fallut presqu’un quart d’heure pour me remettre. Je pus me relever, et grâce à la bouteille d’eau que j’avais apportée (au cas où j’aurais soif en travaillant), je pus un peu me rincer le visage. Mon anus était encore tout palpitant… quel plaisir !

Je marchais doucement vers le bureau de ma Maîtresse. Elle était occupée à écrire un mail lorsque j’entrais.

-          Tout s’est bien passé dans la réserve ?
-          Il… il reste la troisième palette à finir… mais là… je n’en peux plus maîtresse… puis-je aller prendre un bain ?
-          Oui, tu l’as bien mérité. Je demanderai aux élèves de l’étude de terminer le travail. Tu m’as fait gagner pas mal d’argent aujourd’hui, tu sais ?
-          Le supplément du jardinier ?
-          Non seulement ça, mais en plus il m’a proposé de diminuer ses tarifs si tu l’aidais à ranger le matériel comme tu l’as fait aujourd’hui !
-          Quel homme bien monté… heu… bien sympathique…
-          Oui, je vois ça… ton maquillage est… à refaire !

Elle me fit un clin d’œil et retourna à son mail. Je montais dans la chambre, pris un bon bain chaud qui me fit un bien fou… Le soir, je descendis souper au réfectoire. Quelque chose était posée sur ma chaise… Je m’en approchais, hésitante. Puis je reconnus la boule de tissu… mon string en dentelle blanc, maculé de tâche douteuse, mon sperme certainement… je l’avais oublié dans la remise et les élèves de l'étude qui ont terminé le travail avaient dû le trouver… je le rangeais discrètement dans la poche de mon tablier, sentant quelques regards sur moi et quelques rires et plaisanteries salaces étouffés…

Le lendemain, ma journée débuta comme d’habitude, le petit rituel du matin avec ma maîtresse, puis quelques tâches domestiques. Je portais les chaussures à talon 10 cm sans problèmes maintenant, et pouvait même passer à l’aspirateur en les ayant aux pieds. C’est d’ailleurs ce que je faisais dans l’appartement lorsque le téléphone de service sonna… Ma maîtresse me demandait dans son bureau. Je m’y rendis sans tarder, réfléchissant en moi-même… nous n’avions pas de rendez-vous prévu aujourd’hui, pas que je connaissais en tout cas !

Après avoir toqué à la porte et attendu qu’elle m’invite à entrer, je me retrouvais dans son bureau. Elle était assise, stricte, comme toujours, et face à elle se tenait un garçon. Au début je pensais que c’était un de nos étudiants de dernière année, mais je remarquais vite qu’il ne portait pas la chemise ni le pull de l’uniforme de l’école.

-          Viens par ici Aline, et dis-moi ce que tu en penses.

Je m’approchais d’elle, en dévisageant le garçon. Il avait des cheveux très noirs, qui lui retombait sur les yeux, et aussi sur la nuque. Ils étaient sales, me dis-je intérieurement. Son visage aussi était assez sale, mais il avait des yeux d’un bleu ciel craquant. Il était habillé d’un T-shirt sale, un jeans troué, des chaussures en tissu, elles aussi trouées. Il avait des ongles longs, sales, pas entretenus. Il était glabre, bien qu’il devait avoir 17-18 ans…

Je vins me placer à côté de ma maîtresse, avec un regard interrogateur, me demandant qui il était et ce qu’il faisait ici. Mais je n’aurais jamais osé poser de question à ma maîtresse, ç’aurait été trop inconvenant. Elle se tourna vers moi.

-          C’est M. Striker qui me l’a amené ce matin. Il revenait d’une fête assez tard, et l’a trouvé occupé à cambrioler son appartement. Tu sais pourquoi il l’a amené ici plutôt que d’appeler la police ?

Je fis non de la tête, curieuse tout en sentant la suite venir. J’avais aussi remarqué que ma maîtresse avait sa badine à la main, avec laquelle elle se tapotait le genou tout en parlant.

-          Raconte-lui Christian !
-          Vous allez m’aider, pour de vrai ?
-          Nous verrons cela après. Raconte-lui d’abord.
-          Lorsque j’ai été surpris par ce monsieur, je… je l’ai imploré de ne pas appeler la police. J’étais prêt à tout, même à le sucer, pour pas aller en tôle que je lui ai dit.
-          Et cela ne t’aurais pas gêné s’il avait accepté ?
-          Bah non, on jouait souvent à ça à l’orphelinat. Touche-zizi et autre jeux entre garçons… de toute façon le monsieur a refusé, sa femme était là. Mais au lieu d’appeler la police, il m’a offert à boire et à manger, et m’a demandé de raconter mon histoire. Après il m’a amené ici, en disant que vous m’aideriez, que je ne dormirai plus jamais dans la rue…

J’écoutais silencieusement l’échange entre ma maîtresse et le dénommé Christian.

-          Raconte encore une fois ton histoire, Aline ne la connait pas encore…
-          Bof, y’a pas grand-chose à dire. Tout ce que je me souviens c’est l’orphelinat pour garçon. J’y ai passé toute ma vie. On s’amusait bien entre copain, mais la vie y était assez dure. La discipline stricte, et l’orphelinat n’avait pas beaucoup d’argent… on mangeait pas toujours bien. Surtout que le cuisinier de la cantine était pas très doué en cuisine, pour sûr ! Alors j’ai commencé par voler quelques pâtisseries, ou des sucreries, aux surveillants. Pour partager avec les copains. Puis ça a été les réponses des interros, des produits de bains, des parfums… jusqu’au jour où j’ai voulu voler la caisse de l’intendance. Je me suis fait prendre. Comme j’allais presque être majeur, le directeur m’a dit qu’il appellerait la police. Que j’irais en prison et que ce sera bien fait pour moi. Il m’a raconté la vie que j’aurais en prison… j’en fais encore des cauchemars ! Alors je me suis enfui. Comme je n’ai rien ni personne, j’ai couché en rue. Sur des bancs, dans des gares, sous des ponts. Mais je n’aime pas ça, les autres de la rue me regardent bizarrement, j’avais peur. Alors quand j’ai vu cette fenêtre ouverte dans ce bel immeuble, un immeuble de riche pour sûr, fenêtre facilement atteignable, je n’ai pas résisté. J’ai grimpé sur l’arbre, puis sauté sur le balcon. Je suis entré. Au début, je voulais juste voir, sentir ce que ça faisait d’être dans un appartement de riche. Puis après, j’me suis dit que tant que j’étais là, rien ne m’empêchais de prendre quelques petites choses, pour améliorer mon train de vie… c’est là que le gars m’a surpris, et que me voilà ici.
-          Nous pouvons t’aider. Te faire changer de vie, te donner un nouveau départ. Tu auras toujours un toi, de bonnes choses à manger, un vrai travail. Et tu vivras certainement dans des maisons de riche !
-          Vrai ? Vous ne vous moquez pas de moi ?
-          Vrai ! Je te le promets. Mais, pour avoir cela il va falloir que tu fasses des efforts, que tu changes…
-          Je suis prêt à tout pour ça !
-          On va voir. D’abord, fini de voler. Plus jamais. Cela mettrait fin immédiatement à notre entente, et tu retournerais immédiatement à la rue, compris ?

Il hocha de la tête.

-          Ensuite, pour y arriver, tu vas devoir apprendre à obéir. Une obéissance et un abandon total. La règle d’or c’est : j’obéis, je suis récompensé, je désobéis, je suis immédiatement puni. Et plus je désobéis, plus la punition augmente.

Elle s’était levée tout en parlant. Il ne nous quittait pas des yeux. S’il avait l’habitude de jouer des jeux sexuels entre garçon, les filles ne lui déplaisaient pas non plus, je le voyais à sa façon de nous regarder.

-          Punis ? Punis comment ?

Schlap ! Schlap !

Un coup de badine sur chaque fesse répondit à sa question.

-          Aïe, aïe, je crois… je crois que je comprends… fit-il en se frottant le derrière.
-          Bon maintenant déshabille-toi complètement !
-          Co… comment ? Devant vous ? C’est un peu…

Schlap ! Schlap !

Avec une petite larme à l’œil, il obéit. Il enleva son T-shirt, ses chaussures trouées, ainsi que son jeans. Il ne portait ni caleçon, ni chaussette. Son corps était bien proportionné. Quelques bleus sur le bras et les cuisses témoignaient de son passé difficile, ou de son passage dans la rue… Il avait de petits poils foncés sur les bras et les jambes, et une toison très foncée sur son pénis. Son sexe était au repos, assez petit sous l’effet de la honte de se montrer nu à nous. Mais je craignais qu’il n’en ait un plus grand que moi s’il devenait excité (ce qui en soit n’est pas très difficile…)

Ma maîtresse l’observait, sa badine caressant parfois certaine partie de son corps.

-          Mmm… il y aura plus de travail qu’avec toi. Christian, je vais t’offrir un nouveau départ.

Il semblait assez gêné d’être nu devant nous.

-          M… merci. Avec vous je vais être un homme nouveau !
-          Mmmm… pas tout à fait !

Je vis une vague d’incompréhension passer dans son regard. Je jubilais intérieurement en songeant que j’étais à sa place il y avait un certain temps déjà… Je jubilais un peu moins quand le regard de ma maîtresse se posa sur moi et qu’elle dit :

-          Aline, soulève ta robe, s’il te plaît ! Dis-moi Christian, comment tu trouves Aline ?
-          J… jolie !

Je levais doucement ma robe, dévoilant mes cuisses gainées de noir, le haut des bas élastiques avec leur habituelle dentelle, la chair pâle du haut de mes cuisses, puis mon string noir, en tissu ressemblant à du satin, mais plus léger, légèrement transparent. Ma Maîtresse vint près de moi. Mais je vis au regard de Christian qu’il avait déjà compris… Pourtant, avec sa badine, elle fit doucement rouler mon slip, le descendant sur mes cuisses, dévoilant mon petit sexe et mes petites boules…

-          Tu la trouves toujours aussi jolie, hein ?

Il hocha de la tête, un oui timide. Mais nous le savions déjà, son sexe prenant quelques centimètres de plus. Il ne bandait pas encore vraiment, mais déjà comme ça il était plus grand que le mien !

-          Bientôt tu seras comme elle. Jolie, douée pour servir, tu vas apprendre le métier de soubrette. Tu vas vivre dans le luxe, sans les soucis que cela demande aux patrons. Tu les serviras, certes, mais ils te récompenseront pour ça. Tu seras habillée, nourrie, logée. Tu seras aussi désirée tellement tu seras jolie, et crois-moi, tu en connaîtras même du plaisir comme jamais tu ne puisses croire que cela existe.

Il restait bouche bée, sans savoir quoi dire…

-          Mais avant cela, il faut te renommer… Mmmm Christian… ça fait Christine. Mmm un peu classique, non ?

Je fis oui de la tête. Lui ne réagis pas, encore un peu sonné, son regard passant de mon sexe aux visages de ma (heu… de notre) maîtresse…

-          Disons Christina, ça fait plus exotique. Avec un K, ça va faire plus sensuel… Kristina ! Dès aujourd’hui, Christian est mort, il n’existe plus. Il est mort dans la rue. Kristina commence son existence.

Il hocha la tête, toujours un peu hébété.

-          Je… je vivrai dans le luxe ???

Elle fit oui de la tête. Il sourit, encore timide.

-          Alors je serai Kristina !
-          Bien ! Aline, amène-le dans ma salle de bain, et fait lui prendre un bain. Elle est trop sale. Explique-lui l’importance de l’hygiène pour une bonne soubrette. Après, fait détruire ses vêtements, elle n’en aura plus jamais besoin.

Mrs Benson retourna à son bureau. Kristina renfila vite son jeans, pour traverser les couloirs. Je pris le reste de ses vêtements (puant) puis la conduisis jusqu’à l’appartement de Mrs. Benson, puis dans la salle de bain. Il écarquilla les yeux, j’imagine qu’il n’avait jamais vu de salle de bain aussi grande de sa vie ! Il me montra la baignoire.

-          Je… je n’en ai jamais utilisé de ma vie… à l’orphelinat on avait que des douches communes…

J’eus une vague de sympathie pour lui, et lui souriant, je lui caressais doucement la joue. Il me regarda de ses yeux bleus pâles…

-          Je serai aussi jolie que toi ?

Une petite vague de jalousie me pinça le cœur en même temps…

- Presque aussi jolie ! Allez, enlève ton jeans et grimpe dans la baignoire.

Il enleva son jeans, je lui fis une petite tape sur les fesses, et il rentra dans la baignoire. Je fis couler l’eau, lui expliqua comment choisir la bonne température, puis mis ses loques dans un sac poubelle, que je descendit immédiatement dans le local aux poubelles… puis je remontais dans la salle de bain. Il était à la même place dans la baignoire, sans avoir bougé… Ma maîtresse y était aussi, et lui expliqua qu’elle avait commandé via internet un traitement hormonal. Il perdrait sa pilosité, et sa poitrine se développerait un peu. Puis elle me demanda de lui montrer comment je prenais soins de moi. Je m’agenouillais à côté de la baignoire, près de lui, et lui montra le shampoing, le savon de corps, le lait peau douce… Comme il regardait tout cela avec un mélange de curiosité et de méfiance, je passais aux actes !

Je commençais par lui faire un shampoing, lui montrant bien comment il fallait faire, puis je passais au savon de corps, je passais sur son visage, ses épaules, ses aisselles, ses bras, son dos, son ventre,… mes mains sur ce corps m’excitaient ! Lui aussi d’ailleurs, je vis à travers l’eau (pourtant déjà assez sale) comment il bandait ! Elle faisait une bonne quinzaine de centimètre, et avait une épaisseur normale. Ses boules étaient aussi poilues. Je regardais ma maîtresse qui acquiesça de la tête… je luis demandais de surélever son bassin, et ayant mis du savon sur ma main, je finis de savonner son ventre, son pubis… le savon moussait fort dans ses poils ! Puis ma main pleine de savon passa sur sa hampe, que je caressais de bas en haut et de haut en bas, le savonnant, faisant mousser le savon, avant de doucement caresser son gland… puis je redescendit sur sa hampe, jusqu’à ses boules, que je caressais doucement. Là aussi, le savon moussa avec ses poils… Il mordait sur ses lèvres, apparemment, il aimait ça… Ma main se perdit sous son derrière, savonnant ses fesses, son sillon, son petit trou…

L’eau du bain était quasi noire maintenant, je fis donc couler l’eau, et tandis que la baignoire se vidait doucement, je pris le pommeau de douche. Avec l’eau tiède, je rinçais ses cheveux, puis son corps. Une main tenait le pommeau de douche et le dirigeait dans la direction que je voulais, tandis que de l’autre je le caressais encore, enlevant la mousse laissée par le savon, ses cheveux d’abord, ses aisselles, son dos, son ventre… puis son sexe… ses boules, ses fesses, son petit trou, je remontais sur sa hampe… Il était rouge écarlate dans son visage, je souris, il ne tiendrait plus longtemps… ma main caressa son gland, ses boules, puis sa hampe, en même temps que l’eau tiède s’y posait doucement… soudain je pris fermement sa hampe entre mes doigts, et accéléra les mouvements, le branlant de plus en plus vite… Il lâcha un petit cri, avant de jaillir dans ma main…

-          Aaaaaah… Oooooh… oh ! Je suis désolé, je…
-          Pas de soucis Kristina, c’est ce que je voulais !

Je lui fis un petit clin d’œil, avant de porter ma main à mes lèvres, et de lécher le sperme qu’il y avait dessus, m’en régalant. Il était très léger de goût. Ma maîtresse caressa doucement la joue de Kristina.

-          Oui, ne te fais pas de soucis… ce n’est qu’une infime partie des plaisirs que tu connaîtras avec nous ! Bien, maintenant que tu es propre, je vais m’occuper de tes cheveux, pendant qu’Aline nettoie la baignoire !

Tandis que je nettoyais la baignoire, je vis ma maîtresse, un peigne et un ciseau à la main, couper les cheveux de Kristina. Elle lui fit une coupe au carré « plongeant », les cheveux encadrant son visage. Nous lui apprîmes à se coiffer pour garder cette coupe qui lui allait vraiment bien. Ensuite, ma maîtresse rasa les poils de son pubis, de sa verge et ce qu’elle pouvait de ses boules, tandis que j’arrangeais ses ongles, les nettoyant, et leur donnant une coupe très féminine, avec un peu de verni. Nous lui apprîmes ensuite à se maquiller, les yeux, les sourcils, les joues, les lèvres, le teint, le décolleté (même s’il n’y avait encore que des « œufs sur le plat » dessous !). Ensuite, après trois essais question taille, nous lui montrâmes comment mettre un soutient gorge, un string, et des bas de femme.

Elle était très jolie, même si les poils sur les bras et les jambes gâchaient un peu l’effet. Comme elle avait plus que moi côté sexe, elle dut prendre des strings un peu plus grands, mais avec des soutiens d’une taille en dessous de ce que je portais. Ma maîtresse alla lui commander des robes à sa taille, ainsi que des chaussures. Elle était un peu plus petite que moi, je pus donc lui prêter une de mes robes en attendant. Elle n’arrêtait pas de se regarder dans le miroir, n’en revenant pas de cette transformation. Elle tourna même plusieurs fois sur elle-même, voyant l’effet que cela faisait dans le miroir… Ma Maîtresse revint à ce moment.

-          Bien, c’est déjà mieux ! Ce sera encore mieux après le traitement hormonal. Bon, comme la chambre contiguë à la mienne est déjà occupée par Aline, on va te faire coucher dans la chambre de notre ancien homme à tout faire, Alain. J’ai déjà appelé la société avec qui je travaille pour mon intérieur, la chambre sera déjà totalement réarrangée à la fin de cet après-midi. Non, Aline, elle ne dort pas avec toi. Je connais cette sale manie que tu as, vous risquer de faire l’amour toute la nuit, et ne serez pas en forme le lendemain pour le service.

Kristina rougit à cette remarque, et moi-même ne pus m’empêcher de rougir un peu. Même si dans tout ce qui était arrivé, rien n’était de ma faute, faut dire que oui, j’aimais le sexe. Et je ne savais plus résister à un sexe bandé !

-          Bien, j’ai du travail maintenant, Aline fais-lui visiter les bâtiments, et explique lui déjà le travail qu’elle aura à faire !

Nous traversâmes donc l’école, je lui montrais les classes (sans y pénétrer, vu qu’on était au milieu de l’après-midi et qu’il y avait cours), les wc, la salle de gym, les cours de récréations, les salles d’étude et de détente. Je lui montrais où nous devions travailler, et où nous n’avions rien à faire, car c’était le service d’entretien extérieur qui s’en occupait. Puis nous passâmes à l’internat. Elle connaissait déjà le bureau de notre maîtresse, je lui montrais le réfectoire et les salles de détentes. Au moment où nous sortîmes dans le couloir, nous rencontrâmes les étudiants qui revenaient des cours, et qui allaient à l’étude. Certains nous dévisageaient, surtout la nouvelle, avec des regards pleins de désir. Kristina rougit, je pensais que, comme moi, elle ressentait ce que c’était d’être vu avec du désir, plutôt que du dégoût. Même le surveillant la regarda de haut en bas…

-          Une nouvelle femme de ménage ? Notre établissement est si riche que ça ???
-          Non, non, ne vous en faites pas, elle est en formation !

Je lui répondis instinctivement cela. Il hocha de la tête. Il n’osait plus trop discuter avec moi depuis ce qui c’était passé dans l’infirmerie, il était un peu gêné. Je dois dire que je trouvais ça trop chou !

Nous visitâmes les étages des chambres, avant de terminer par l’appartement de Mrs. Benson, notre maîtresse. Je lui montrais pour le plateau, puis lui expliquais pour les différents nettoyages. Enfin, l’heure du souper étant arrivée, nous descendîmes à deux au réfectoire, et prirent notre repas ensemble. Puis je l’emmenais au dernier étage, où se trouvait mon ancienne chambre, la sienne à présent !

Mrs. Benson nous y attendait. Je ne reconnaissais pas la chambre ! C’était les mêmes murs (quoi qu’ils avaient été bien nettoyés), mais tout mon mobilier avait disparu. Un nouveau lit était dans un coin, une armoire et une bibliothèque à côté. Un bureau contre le mur, avec le même écran que chez moi. Et un coin douche.

-          La douche ne fonctionne pas encore, mais les plombiers viendront terminer cela demain. Alors, pour l’écran… pas de touches, pas de télécommande, pas de boutons d’aucune sorte… c’est moi qui t’envoie un programme, quand je le juge utile. Tu dois le regarder jusqu’à la fin. Quoi que je te passe, interdis de te masturber… si je t’y prends…

Schlap ! Schlap !

Elle lui fit le même laïus qu’à moi… je souris intérieurement, me replongeant une nouvelle fois quelques temps en arrière… et j’étais si fière d’aider ma maîtresse à cela maintenant !

-          N’oublie jamais la règle d’or Kristina, c’est maintenant ta règle de vie : j’obéis, je suis récompensé, je désobéis, je suis immédiatement puni. Et plus je désobéis, plus la punition augmente… Maintenant tu as été très sage, très obéissante… tu mérites donc encore une récompense…

Tout en disant cela, elle s’approcha d’elle, et sa main caressa sa joue, avant de descendre le long de sa robe… puis passa sous sa robe… pour aller lui caresser l’entrejambe, doucement, sensuellement… petit à petit le sexe commença à se dresser, dépassant du petit string en coton noir… la main se posa sur le gland, le caressant doucement, avant de descendre le long de sa hampe… et de la branler doucement… Kristina soupira de plaisir…

-          Aline, montre-lui un autre de tes dons !

Elle avait relevé la robe, et tenait fermement le pénis dressé de Kristina dans son autre main. Je m’approchais, m’agenouillais, et commençais à lui lécher le gland. Ma langue se posa sur le gros bout de chair, tournoya autour, vint lécher le pré-sperme qui y perle… avant de descendre le long de sa hampe… puis de remonter, puis de redescendre, lentement, jusqu’à ses testicules que je léchouillai doucement… puis ma langue remonta le long de la hampe, pour tournoyer autour du gland… avant de doucement l’attirer vers ma bouche, de la gober…

Il soupira d’aise au moment où il se posa contre mon palais, ma bouche chaude et moite l’entourant, mes lèvres caressant sa hampe… Mrs. Benson l’avait lâché, laissant cette verge dure et bandée au max aux bons soins de ma bouche experte… Elle tenait toujours la robe relevée d’une main, que je puisse pratiquer la fellation tout à mon aise… de son autre main, elle descendait vers ses fesses, qu’elle caressait sensuellement, avant de se promener le long de son sillon… son doigt tournoyant autour de sa rondelle, la caressant, avant d’y entrer un tout petit peu…

-          Je sens que tu es vierge de ce côté-là… et très serrée… il faudra préparer le terrain, pour t’éviter toute douleur… on va bien s’occuper de toi, Kristina…

A ce moment, j’accentuais ma fellation, et dans un râle de plaisir, elle éjacula dans ma bouche, son sperme blanc et léger, que j’avalais avec délice. Je continuais à garder son sexe en bouche et à le lécher jusqu’à ce qu’il débande…

Kristina avait le rouge aux joues, et dût s’asseoir sur le lit… à mon avis elle était vierge de partout, à part « touche zizi » elle ne devait pas connaître grand-chose !

-          Nous allons te laisser maintenant ! Tous les soirs je te passerai une vidéo « éducative ». Mais n’oublie pas, interdit de te toucher !

Vu qu’il ne s’était absolument pas opposé à devenir une fille, la première partie de son « entraînement » serait de l’amener à accepter de faire une fellation. J’imaginais donc que notre maîtresse allait lui passer le premier ‘programme éducatif’… Je me rappelais encore du tire : « Sissy’s training », avec ces images de jolies filles qui se trémoussent, toutes en lingerie fine, toute ayant un pénis, comme nous. Tandis que des images de sexes bandés, de fellations défilent à l’écran, je me souviens des mots qui apparaissent en flash : « Sissy » (effeminé) « Whore » (pute) « Slut » (fille facile, aimant le sexe) « Pleasure » (plaisir), et « mouth » (bouche), « fucking » (baiser), « cum » (sperme)… Puis viennent les images de ces grosses verges qui éjaculent, répandant leur sperme dans des bouches gourmandes, qui ne demandent qu’à avaler ce nectar, qui en redemandent, qui s’en pourlèchent les babines… et elles reçoivent du sperme dans la bouche, sur la bouche, sur la langue, sur les lèvres… Elles-mêmes en éjaculent de plaisir ! Rien que le fait de me rappeler de ces vidéos me fait rebander, le triangle de satin de mon string se tendant comme une vole sous le petit mât qu’est mon sexe…

Et imaginer Kristina bander comme une folle en voyant ces images, ses boules regorgeant de ce délicieux sperme, et ne pouvant se toucher, me mettait dans tous mes états… pour un peu, je me serais branler moi-même, tellement toutes ces pensées m’excitaient ! Mais je ne pouvais pas, que c’était dur de résister !


Tandis que j’allais rentrer dans ma chambre, j’entendis ma maîtresse m’appeler. Je la rejoins dans sa chambre. Elle était nue, à l’exception d’une nuisette couleur pêche, quasi transparente. Comme je le pensais et comme moi, tout ça l’avait excitée, et son gros sexe bandé sortait du bas de sa nuisette, pointant fièrement et orgueilleusement vers moi. Elle me regardait d’un air de défi, sa main massant doucement sa verge, de bas en haut… sans la quitter du regard, et un sourire aux lèvres sachant le plaisir qui allait pouvoir exploser, je me déshabillais entièrement devant elle, avant de me mettre à quatre pattes sur le lit et d’écarter légèrement les fesses, lui présentant mon petit trou tout ouvert pour elle…