mercredi 16 septembre 2015

Soubrette Sissy Boy 03

De BrusselX

Chapitre 03

Après toutes ces émotions, ma Maîtresse me donna l’après-midi. Je pus me reposer, et elle me passa même via l’écran quelques épisodes de ma série préférée. Puis l’avant-soirée se termina par l’habituel programme éducatif. Toujours le même principe, sauf que ce film-là avait moins de scène de fellation, et beaucoup plus de sodomies. Je me rappelai le doigt de M. Striker dans mon anus… Au début l’insertion m’avait fait un peu mal, mais la sensation n’était pas désagréable du tout… je me demandais même ce qui m’avait fait éjaculer : le fait d’être dominé ou d’avoir le cul doigté ? Ou les deux ? Et mon esprit fantasma, je me demandais quelle sensation ça faisait une bite chaude qui éjacule dans le cul ?

L’heure du souper me ramena à la réalité, et je descendis vers le réfectoire. Tandis que je mangeais, le surveillant du réfectoire vint me voir.

-          Mlle Aline, Mrs. Benson me demande de vous transmettre ce message. Le professeur de gymnastique s’est plaint parce que des élèves ont renversé la vasque de talc dans la remise de la salle de sport. Il a ramassé le plus gros, mais il demande que la remise soit balayée. Comme le service d’entretien ne repassera que demain soir, elle demande si vous auriez l’obligeance de vous en occuper ?

Son ton condescendant m’énervait un peu, surtout qu’en parlant, il tentait de zyeuter dans mon décolleté.

-          Pas de souci, je m’en occupe immédiatement.

Je laissais mon souper là et partis. Je sentis son regard sur mon cul. J’accentuais un peu le dandinement, rien que pour le faire baver, le vieux vicieux ! Je traversais le couloir, passais devant le bureau fermé de ma Maîtresse, et pris le couloir menant à l’aile ‘école’ du bâtiment. Je traversais le couloir principal, et tout au bout arrivais aux vestiaires. Il n’y avait personne à cette heure-ci tout était calme et sombre. J’actionnais les interrupteurs, la lumière se fit dans les vestiaires et la salle de gym attenante. Je traversais la salle de gym pour aller jusqu’à la remise. Mes talons faisaient un bruit agréable à entendre contre le parquet de cette salle. J’entrais dans la remise, où il faisait assez sombre. La vasque devait être au milieu de la pièce près du cheval d’arçon. J’allumais la lumière et m’y rendit.

-          Bon y’en a pas tant que ça… où se trouve le balais ?

Soudain, la lumière s’éteignit ! Je sursautais, dans la semi-pénombre de la pièce.

-          Y’a… Y’a quelqu’un ?

Je sentais une présence, et vis une ombre venir vers moi. Je reculais… et me cognais à quelqu’un !

-          Salut, beauté ! Après 17h, ils ne pouvaient envoyer que toi pour nettoyer. J’en étais sûr… et nous voilà en tête à tête…

Danny me souriait. Il m’énervait par sa suffisance, mais en même temps son aura virile me faisait frissonner. Je voulus m’enfuir, mais ses deux copains étaient là, entre moi et la porte… et puis de toute façon, je n’aurais jamais pu courir avec des talons de 5 cm !

Il se rapprocha de moi, je reculais et butais sur le cheval d’arçon. Il plongea sans hésiter sur ma bouche, collant ses lèvres aux miennes… le contact de ses lèvres contre les miennes m’électrisa… lorsque je sentis sa langue contre mes lèvres, je me repris et gardais mes lèvres fermées… il caressait mes fesses de ses deux mains…

-          Tu es encore en string… putain, ce que tu m’excites…

Ses doigts jouaient avec la ficelle du string… puis doucement, je les sentis faire le tour de ma taille… s’il touchait l’avant de mon string il comprendrait que je ne suis pas une fille ! Il comprendrait tout, et ma Maîtresse serait en difficulté ! Catastrophe ! Il fallait agir et vite !

Il m’embrassa encore… je chassais ses mains… sa langue vint de nouveau lécher mes lèvres… je devais jouer le tout pour le tout, la semi-pénombre m’aiderait ! Doucement, j’ouvrais mes lèvres… sa langue passa dans ma bouche, je sentis son contentement… nos langues se joignirent, se caressèrent, dansant ensemble dans ma bouche…

-          Et bien voilà ! Tu comprends vite ! Maintenant enlève ta robe, et écarte les cuisses, si je te prends pas maintenant, je vais éclater ! Vous deux, montez la garde à la porte…

Catastrophe, catastrophe ! Je devais agir, et vite ! Je le repoussais et me mis à genoux… je défis le bouton de son jeans, et descendit le jeans et le caleçon, sa bite était raide, droite vers moi… Elle était plus petite que celles de ma Maîtresse, mais bien proportionnée… je trouvais même le gland élégant… je commençais donc tout de suite à le lécher, puis à sucer son membre dur avec ma bouche qui devenait de plus en plus experte…

-          Aaaaaaah… mmmmm… oui, tu es une gourmande, hein, je le savais… mmmmm… oh tu es experte en plus… ouiiiii… mmmm… non, non, pas si vite ma belle… pas si vite… je ne veux pas juter dans ta bouche, ce sera pour une autre fois, gourmande, je veux te prendre !

Catastroooophe ! Et je n’étais pas de taille à lutter contre lui ! Et toujours impossible de m'encourir! Il ne me restait qu’une solution, une dernière option, qui pouvait marcher, toujours grâce à cette pénombre… je le repoussais doucement, essayant de prendre un air coquin…

-          Non Danny, non. Je suis encore vierge, et ne veut pas perdre ma virginité comme ça, ici, à la va vite dans cette salle puante. Je veux la préserver… et je ne veux pas tomber enceinte, je ne prends pas la pilule… Par contre…

Je me retournais, ventre contre le cheval d’arçon, remarquant ainsi que ses deux copains regardaient la scène avec envie, puis me cabrait, lui offrant ma croupe… je remontais ma jupe, et tirait sur la ficelle de mon string, lui dévoilant mon œillet…

-          Tu peux me prendre par là… ça ne risque rien côté bébés…

Je balançais doucement mes fesses, dans une position lascive… il s’approcha hésitant… puis, mouilla deux de ses doigts et les enfonça doucement dans mon anus… je tressautais, tandis qu’il me doigtait le cul…

-          Putain ce que t’es étroite… ça va être bon !

Il joua un peu avec mon muscle anal, puis retira ses doigts. Je le sentis ensuite se rapprocher de moi, je sentis sa verge frôle mes fesses… il la caressait contre le sillon de mes fesses… j’avais peur, en même temps je sentais mon anus palpiter d’envie, les images des vidéos me revenant en tête…

Il prit sa queue d’une main, et la position contre mon anus… il poussa doucement d‘abord, le muscle s’ouvrit, puis résista… il poussa un peu plus fort, le muscle s’ouvrit un peu plus, puis repoussa… à la troisième poussée je sentis son gland entrer en moi, passer mon anus… Je gardais mon cri de douleur entre les dents, une petite larme coulant de mes yeux, le cul en feu… Danny se poussait en moi, je sentais sa hampe me pénétrer millimètre par millimètre… puis il commença ses vas et viens, lentement d’abord, puis mon muscle se relâchant, de plus en plus vite… la douleur s’estompa doucement, tandis qu’un indicible sentiment de plaisir grandissait dans mes entrailles… Plus ça allait plus le plaisir grandissait… je commençais à gémir, mais de plaisir.

-          Oh c’est bon… c’est bon… je savais que ton cul serait un paradis… Mais l’angle est pas assez bon… les gars, descendez le cheval d’arçon au minimum…

Ils s’exécutèrent, et je pus poser mon ventre sur le cheval d’arçon, tandis qu’il pris mes fesses entre ses mains et me baisa encore plus profondément encore plus vite… j’avais envie d’hurler, de douleur et de plaisir, les deux mélangés… puis le plaisir remplaça la douleur… c’était tellement bon que j’éjaculais dans mon string, une nouvelle fois… De là où j’étais, je voyais ses deux copains qui se branlaient en nous regardant… je leur fis signe de s’approcher, chacun d’un côté du cheval d’arçon… je pris le sexe du premier dans ma bouche, branlant le second avec ma main…

-          Putain Danny, quelle salope ! Elle me suce pendant que tu la sodomise…
-          Han ! Je savais qu’elle serait bonne !

Je changeais, suçant le second, branlant le premier, plusieurs fois de suite… Soudain, celui que je branlais éjacula, la première giclée atterrissant sur ma joue… Je le pris vite en bouche, pour le boire… La seconde giclée et la suite vint sur ma langue, j’avalais le tout

-          Et en plus elle avale !
-          A mon tour ! A mon tour !

Laissant celui qui venait de jouir dans ma bouche, je pris le second, et sa bite franchit à peine mes lèvre qu’il éjacula au fonds de ma gorge… je bus avidement tout son sperme… soudain… je sentis la queue de Danny battre dans mon cul… quelle sensation divine ! Un jet de foutre tiède me remplit le rectum, tandis qu’il ahanait en se vidant les couilles en moi… c’était tellement bon que j’en jouis une seconde fois dans mon string…

Soudain la lumière s’alluma !

-          Mais qu’est ce qu’il se passe ici ???

Mrs Benson était là, furieuse ! Danny et ses copains se rhabillèrent, tout en fuyant… elle les bouscula hors de la pièce, et ils filèrent à toute allure, sans demander leur reste, me laissant pantelante, sur le cheval d’arçon, le sperme de Danny dégoulinant par mon petit trou un peu béant…

Je n’eus même pas la force de répliquer… Nous n’étions plus que nous deux… Elle vint vers moi, et donna une claque sur mes fesses.

-          Aline ! Petite salope ! Moi qui voulais me garder le déflorage de ton cul, pour moi !

Je sentis ensuite ses mains caresser mes fesses, mes hanches, puis revenir vers mon string… qu’elle enleva elle-même, le faisant glisser le long de mes jambes… je soulevais difficilement un pied puis l’autre, j’étais un peu sonné… Mon string était maculé de mes deux éjaculations… elle me le fourra dans la bouche…

-          Suce-le !

Je suçais mon string, pendant qu’elle repassa derrière moi… je la vis descendre sa jupe, son slip, et vis son sexe raide qui pointait vers moi… elle se rapprocha et je sentis son gland venir se positionner contre mon anus…

-          Ah tu aimes une bite dans ton cul ? Tu vas être servie !

Et elle me pénétra en une fois… le sperme de Danny et la dilatation de mon anus rendirent la chose plus facile et moins douloureuse… mais ce mélange de douleur/plaisir, et le fait de me sentir à nouveau remplis par un membre dur et tiède là ou le sexe de Danny avait laissé un grand vide en se retirant, toutes ces sensations me firent jouir une nouvelle fois, mon sperme s’écoulant le long du cheval d’arçon… Elle mit ses mains sur mes hanches, me tenant fermement, et commença ses vas-et-viens… lent d’abord, puis de plus en plus rapide, de plus en plus fort… elle me possédait totalement, et son sexe, plus grand et plus gros que celui de Danny me remplissait totalement… j’aimais ça, et si je n’arrivais plus à jouir, les sensations de plaisir remplissaient tout mon corps, toute ma tête… heureusement que j’avais mon string en bouche, sinon j’aurais hurlé de plaisir ! Elle continuait à me limer le cul, puis, ahanant, râlant de plaisir, éjacula en moi, son sperme se mélangeant à celui de Danny…
Elle garda sa bite en moi, ses mains remontèrent vers ma poitrine, mon visage, reprenant son souffle…

-          Tu peux t’amuser comme tu veux, et avec qui tu veux… mais n’oublie jamais que tu m’appartiens Aline, tu es à moi, je suis ta Maîtresse !

A cause du string dans ma bouche, je ne pouvais lui répondre, un peu de salive coulait à la commissure de mes lèvres. Je hochais de la tête, marquant mon assentiment. Elle se retira, je sentis le sperme déborder et couler le long de mes fesses.

Je devinais plus que je ne vis ma Maîtresse qui se rhabillait, puis de dirigeait vers la sortie de la réserve. Avant de sortir elle se tourna vers moi

-          Et n’oublie pas de ranger tout ce désordre avant de regagner ta chambre !

Et elle sortit. Je restais sans bouger, à demi couché sur le cheval d’arçon, l’anus palpitant… bon c’était pas très juste, j’étais victime dans cette affaire… mais voir ma Maîtresse jalouse à mon propos, cela me remplissait de joie… et à propos de remplissage… quel moment de plaisir ! J’avais le ventre encore tout tournicoté, les jambes qui flageolaient, la tête pleine d’étoile… Il me fallut plusieurs minutes pour me remettre… Je me relevais doucement, remis le cheval d’arçon à sa place. Puis je frottais les tâches de sperme sur le cheval d’arçon et le sol. Enfin, je balayais le talc sous les paniers à ballon, ne voulant pas me casser plus la tête… Enfin, je regagnais ma chambre, me déshabillais et plongeais sur mon lit, nu, où je m’endormis profondément…

Je m’éveillais un peu avant l’heure. Décidément, je prenais l’habitude de me lever tôt ! Assise sur mon lit, je me remémorais les événements de la veille. Je ne sais ce qui se passait, mais depuis que ma Maîtresse m’avait transformé en fille, je vivais enfin. Des gens me regardaient, me désiraient, me touchaient… j’avais connus les joies de l’amour… honnêtement, je n’avais qu’une envie, c’est d’avoir une bonne rasade de sperme chaud en bouche… rien que d’y penser, mon ventre se contractait, mon petit sexe se cabrait, et ma langue passait sur mes lèvres. Sperme = plaisir, c’était bien vrai… Aujourd’hui l’assureur venait nous voir, et j’étais prête à lui sortir le grand jeu ! Surtout que maintenant je connaissais les joies du sexe anal, plus rien ne m’empêcherait de servir ma Maîtresse et ses intérêts…

Je pris le temps de me faire belle, bain, maquillage, vernis (et même sur les ongles des doigts de pieds). Je choisis un slip en dentelle rouge, avec des petits nœuds sur les côtés, et le soutien-gorge assorti, rouge, aussi avec des dentelles, et un petit nœud entre les bonnets. Je mis des bas noirs, très foncés, des bas élastiques. Puis remis ma robe, mon tablier, ma coiffe.

Je me rendis chez ma maîtresse, qui m’attendait dans la salle à manger. Elle n’avait pas mis sa robe de chambre cette fois, elle était en nuisette, une belle nuisette style satin, de couleur bleu nuit. Elle relisait les contrats d’assurance et prenait des notes. Je lui apportais son petit-déjeuner, déposais le plateau sur la table, puis directement, je passais sous la table. Je voulais lui montrer qu’elle était ma maîtresse, et en faire mon rituel du matin. Faisant semblant de rien, toujours lisant en grignotant un toast, elle décroisa et ouvrit grand les jambes.

Je m’approchais. Pas de bosses visibles, il y en a un qui devait encore dormir ! Je soulevais doucement le bas de la nuisette, découvrant le haut de ses cuisses et son sexe, lové entre ses jambes, au repos. Posant ma tête sur sa cuisse, je commençais à lécher le bout du sexe. Coup de langue après coup de langue, son gland apparut, tandis que son sexe prenait doucement vigueur… je mis sa tête en bouche, puis sa hampe, encore un peu molle… mais plus pour longtemps !

Le contact de ma bouche chaude et humide raffermit bien vite son mandrin… je la fis bander par ma bouche, la suçait en m’appliquant particulièrement, jusqu’à ce qu’elle explose dans ma bouche, la remplissant de son délicieux sperme. Puis je nettoyais bien son membre qui doucement se rendormait, avant de sortir de sous la table et de continuer à vaquer à mes occupations, comme si de rien n’était…

Je passais la matinée à la corvée lessive, puis à d’autres tâches ménagère. L’après-midi, je faisais du rangement et du classement dans le bureau de ma Maîtresse, lorsqu’elle entra, accompagnée de deux messieurs. Le premier, je le connaissais, c’était M. Striker. Il me fit une petite œillade en entrant. Je ne connaissais pas le second. Il était assez grand et fort enveloppé, avec une grosse barbe, on aurait dit le cliché du camionneur… mais je devinais qu’il s’agissait de l’assureur. Lui regarda assez longuement mes jambes gainées de noir.

L’assureur s’installa dans le canapé, M Striker pris un siège, de l’autre côté de la table basse, en face de l’assureur. Ce dernier parlait d’une voix assez grave.

-          Oui, d’accord, mais je ne comprends pas le but de cette entrevue. L’assurance n’interviendra pas, quoique vous me disiez. J’en suis désolé, je me doute que c’est important pour l’école, mais les règles…
-          Et si on prenait un café avant de discuter, cela vous dit ? fit M. Striker.
-          Ah, je ne dis pas non, répondit l’assureur, j’ai eu une matinée chargée, un petit café ne serait pas de refus.
-          Je m’en occupe, fis-je, en passant devant eux et en quittant la pièce.

Tandis que je me dirigeais vers la porte, je sentis les regards des deux hommes sur mes jambes et mon derrière. Je me rendis aux cuisines, où le café avait déjà été fait, mis tout ce qu’il fallait sur un grand plateau, et revint dans le bureau de Mrs. Benson. Je remarquais tout de suite qu’elle avait quitté la pièce, cette fois je ne savais sous quel prétexte. M. Striker tenait en main le contrat qu’elle avait annoté au matin, essayant en vain de discuter sur l’interprétation d’un article qui pouvait jouer en notre faveur. Mais l’assureur restait obstiné.

Je déposais le plateau sur la table, et passais devant M. Striker pour servir son café. Je me baissais en remplissant sa tasse, lui permettant d’admirer mon slip rouge. Puis je fis le tour de la table, et pris la même pose devant l’assureur. Bougeant mon popotin de gauche à droite, lascivement, je devinais les yeux de l’assureur s’ouvrir tout grand, son rythme cardiaque s’accélérer, je l’entends déglutir…

-          Vous allez voir, fit M. Striker, son café est… stimulant…
-          Aaaaaah ça, pour voir, je vois !

Je continuais sans aucune pudeur, sentant sa respiration sur le haut de mes cuisses… puis je me penchais un peu plus pour prendre le lait, lui donnant une vue encore meilleure sur mon arrière-train. Il déglutit encore, sa respiration s'accélérant. Je faisais mon petit effet !

-          Oui, je vois… mais… on peut toucher ?
-          Faites donc !

Je restais penchée devant lui, et il commença à me caresser l’arrière-train. Ses mains passèrent sur mon slip, puis sous le slip, ses grosses mains directement sur mes fesses… puis il quitta mon slip, et ses mains cherchèrent à monter vers ma poitrine… Pour l’aider, je m’assis sur lui, mon derrière juste sur son entrejambe, et je bougeais lascivement, caressant la bosse qui apparaissait dans son pantalon en toile avec mon cul en feu. Ses mains caressèrent ma poitrine, le soutien push up faisant effet…

-          Elle remue bien, mais elle n’a pas beaucoup de poitrine !
-          Elle a d’autres atouts, fit M. Striker en souriant.

Il s’approcha de nous, la braguette ouverte et son sexe sorti, à moitié bandé. Il se mit face à moi, et je plongeais sur cette verge offerte, léchant la hampe, le gland, jusqu’à ce qu’elle prenne vigueur, puis la mis en bouche et commença à le sucer…

-          Mmmm… elle est divine, quelle suceuse ! Allons Aline, montrez à notre invité vos talents !

Son sexe sortit de ma bouche, luisant de ma salive. Je me retournais, me mis à genoux par terre, entre les jambes de l’assureur, et commençais à déboutonner son pantalon, descendre sa braguette, sortir son mandrin de son caleçon… Il avait une queue assez moyenne de taille, mais d’une telle épaisseur ! Je la mis en bouche sans hésiter, allant et venant sur son membre de plus en plus dur dans ma bouche, tellement gros que je sentais la salive couler par la commissure de mes lèvres… son gros ventre me gênait un peu, mais j’essayais de lui faire passer un moment divin sans trop le gêner…

Pendant ce temps, M. Striker s’agenouillai derrière moi, et releva ma robe dévoilant mon slip rouge en dentelle. Il caressa mes fesses, les fit rebondir dans ses mains, tapota dessus, puis descendit doucement ma petite culotte, sans que je puisse réagir… j’étais tellement concentré sur l’épaisse bite de l’assureur, sur son plaisir, que je ne pensais plus au reste… M. Striker admira mes fesses qui se révélaient à lui, la culotte passa la mi-fesse… puis le trois quart des fesses… L’homme m’embrassa les fesses, sa langue passe d’une fesse à l’autre… il finit de baisser la petite culotte, qui finit en glissant le long de mes cuisses… mes petite boules, libérées, se laissèrent pendre, bien visible, ainsi que mon petit sexe bandé… C’est à l’hésitation de M. Striker que je réalisais ce qui venait de se passer…

-          Oh, ça alors ! Mais tu es… quelle surprise ! Mrs. Benson le sait ? Rhoooo petite coquine ! Et bien ça alors !

Je décidais de faire semblant de rien, continuant à sucer l’assureur qui ahanait dans le fauteuil, trop occupé à son plaisir pour faire attention à la découverte de M. Striker… Ce dernier restait fort étonné, et ne bougeait plus, essayant de trouver un sens à tout ça. Il fallait que je fasse quelque chose avant qu’il ne se refroidisse. J’arrêtais de sucer l’assureur, je le branlais doucement, en plus ainsi il ne viendrait pas trop vite, et en profiter pour relever un peu plus mes fesses, les faire tournoyer devant M. Striker. Comme il hésitait encore, je frottais son membre qui commençait doucement à débander avec mon derrière, le faisant aller et venir contre mon sillon… la chaleur de ma peau, la vue lascive de mon derrière qui balançait doucement, de son pénis qui glissait le long de mon sillon lui redonna vigueur.

-          Oh après tout, ma femme ne veut pas que j’utilise ce trou là…Moi je suis pour les nouvelles expériences !

Il mit ses mains sur mes hanches, et fit lui-même glisser son sexe le long de mon sillon, puis il écarta mes fesses, et frotta son gland contre mon anus. Son pré-sperme qui mouillait mon petit trou remplissait mon ventre de fourmis… comme j’avais envie d’être fourré ! M. Striker combla mon vœu et mon trou. Son gland pénétra mon anus, puis sa hampe entra en moi, centimètre par centimètre… Je soupirais d’aise, puis put retourner à ma fellation. M. Striker me fourrait le cul avec vigueur, tandis que l’épaisse bite de l’assureur me remplissait à nouveau la bouche. Je le suçais avec autant de vigueur que la verge qui allait et venait dans mon cul…

-          Oh, ce qu’elle est bonne ! Je vais jouir…
-          Moi aussi… moi aussi…

M. Striker tira sa verge de mon cul, et se leva. Ancien connaisseur de film porno, je savais ce qu’il voulait. J'arrêtais donc de sucer l’assureur, dont la bite se cambrait dans ma bouche, et me reculait, toujours sur les genoux. Je regardais les deux hommes, la bouche grande ouverte. M. Striker se releva et se mit sur ma droite, se masturbant doucement, l’assureur vint sur ma gauche… L’assureur vint en premier, des jets de sperme s’envolant et venant atterrir dans ma bouche, puis sur mon visage. M. Striker approcha sa bite de ma bouche, et éjacula directement sur ma langue, puis sur ma joue… D’autres jets de sperme se succédèrent, j’en avais dans les cheveux, sur les joues, dans et sur la bouche… J’avalais et léchais ce que je pouvais du sperme sur mon visage, puis ils me présentèrent leur sexe pour que je les nettoie bien…

Puis ils se rhabillèrent tous les deux, prirent leur café, faisant comme si je n’existais plus. L’assureur prit le contrat d’assurance dans ses mains.

-          Bon on va réexaminer ce paragraphe alors. Je pense qu’il y a peut-être moyen de faire quelque chose pour vous. Mais il faudra que je revienne… faire des recherches profondes… approfondies, voulais-je dire…
-          Oui, oui, je comprends que vous deviez approfondir la chose. Vous êtes toujours le bienvenu, Mlle Aline vous accueillera toujours avec plaisir.

Je me levais, les saluais, et contente de moi me dirigeais vers ma chambre. Il fallait que je me douche, avant que des élèves ne puissent deviner au sperme qui me maculait ce qui s’était passé dans le bureau de la directrice. Elle me rattrapa devant la porte de ma chambre.

-          Tu ne préférerais pas un bain plutôt qu’une douche ?

Je lui souris. Elle me prit par la main, et m’accompagna dans sa salle de bain, là où tout avait commencé. Elle fit couler le bain pendant que je me déshabillai. C’est ensuite avec plaisir que j’entrais dans la grande baignoire, qui faisait tout le coin de la pièce. L’eau chaude me fit un bien fou ! J‘étais tellement bien que je ne vis pas que ma Maîtresse se déshabillait. Les yeux fermés, je me laissais aller lorsqu’un léger clapotis me fit sursauter. J’ouvris les yeux.

Elle était là devant moi, nue, ses seins généreux face à moi, son sexe dressé. Ce qu’elle était belle ! Elle terminait une tresse en souriant, puis se laissa glisser dans l’eau, en face de moi. Je sentis ses pieds glisser le long de mes jambes, ses jambes contre les miennes. Son sexe ne débandait pas, j’étais sûr qu’elle avait de nouveau tout vu ! Son sexe bandé que je voyais à travers l’eau translucide fit de nouveau palpiter mon bas ventre… elle était si belle, et sa verge m’excitait tellement ! Je lui souris et m’approchais d’elle. Je mis ma tête dans son cou et commença à embrasser son cou gracile, ses épaules, de nouveau son cou, le bas de ses oreilles…

Sa tête partit en arrière, sa respiration s’accélérait. Je sentais sa verge qui se balançait dans l’eau, tapotant mes fesses… je la voulais en moi, maintenant ! Je relevai un peu mon bassin, elle se positionna mieux, mes jambes purent enserrer sa taille, mon derrière flirtant avec son sexe bandé… sous l’eau, elle plaça son gland sous mon petit trou, et je n’eut plus qu’à me laisser glisser le long de cette verge tendue, de m’empaler sur elle… Rhaaaa quel bonheur ! La verge de ma maîtresse qui me pénétrait, qui s’enfonçait en moi… je m’empalais sur elle, mon cul avalant tout son sexe ! Elle râla de plaisir, sa verge serrée par mon chaud intérieur… nous restâmes un moment comme ça, puis elle mit ses mains sous mes fesses, et commença à me faire coulisser sur sa verge, agitant l’eau du bain…

Mon visage était au niveau de son cou, de ses seins… je plongeais dessus, les léchais, les embrassais, suçant ses tétons, et tant pis si j’avalais un peu d’eau en même temps… faut dire que les vas et viens devenaient de plus en plus rapide. Sa verge s’enfonçait en moi de plus en plus vite de plus en plus loin… Le clapotis de l’eau s’accéléra, de l’eau giclant sur le parquet, hors de la baignoire. Je jouis dans l’eau, contre son ventre, tout en lui suçotant le mamelon… Soudain elle cria, s’enfonçant dans mes tréfonds, et déversa sa sève chaude en moi… Je sentais ce nectar me remplir, et un peu de sperme s’échappa de mon petit trou pourtant encore rempli de sa verge, sinuant dans l’eau du bain… Elle reprenait son souffle, je sentis son sexe débander doucement… puis après quelque minutes sortir de moi, avec encore du sperme qui sortir de mon anus, semblant nager joyeusement dans l’eau du bain… Je me sentais encore très excité, et je sentais qu’elle l’était aussi.

Je plaçais donc mes mains sous son derrière, le relevant doucement. Pour me faciliter la tâche, elle releva son bassin, son sexe sortant de l’eau. Je le léchais, le pris dans ma bouche le suçait. La pose n’était pas facile pour elle, elle s’assit donc sur le rebord de la baignoire, les jambes écartées. Je léchais son sexe, puis choisis de descendre vers ses testicules, que je léchais, suçotais. Puis ma langue se promena entre ses testicules. Puis elle passait dessous. Ma langue s’insinua dans son sillon… j’embrassais ses fesses, léchai le sillon, puis ma langue tournoya sur son anus… elle se cambra, relevant les jambes. Ma langue tournoya plus fort, s’introduisit dans son petit trou.

Elle gémit de plaisir, et ma langue tournoya dans son petit trou, tournant, léchant, pénétrant… son sexe commençait à se redresser… contente de moi, je le suçais un peu, avant de retourner dans la baignoire, à quatre pattes, lui présentant ma croupe. Elle se mit derrière moi, sur ses genoux, écarta mes fesses et enfonça sa bite dans mon cul, jusqu’à la garde ! Ses mains sur mes hanches, elle me lima le cul, allant et venant, créant une tempête sur l’eau du bain, les clapotis de plus en plus fort, de plus en plus d’eau giclant hors de la baignoire. L’eau tiédissait doucement, pas notre passion. Pour la seconde fois elle jouis en moi, tandis que j’avais éjaculé deux ou trois fois dans le bain…

Nous étions essoufflé, mon petit trou était béant, pleins de petits poissons blancs de sperme nageaient dans l’eau… Nous nous sourîmes puis éclatèrent de rire. Mes jambes flageolaient et elle dû m’aider à me lever. Nous dûmes prendre une douche, pour être tout à fait propre, puis j’allais souper au réfectoire, avant de retourner dans ma chambre. J’eus une nouvelle et passionnante vidéo éducative, ou des filles comme moi servaient des groupes, se faisaient prendre par beaucoup de personne, puis eu quelques épisodes de ma série préférée. Je m’endormis ensuite, repus de sexe et le sourire aux lèvres…


mardi 15 septembre 2015

Soubrette Sissy Boy 02

De BrusselX

Chapitre 02

Le lendemain, le réveil sonna à 6h00. Je n’étais pas habitué à me lever si tôt, et il me fallut un peu de temps pour réaliser où j’étais, et me remémorer la journée d’hier. Ma main passa sur mon pubis glabre… que c’était doux ! Soudain je me souvins que ma Maîtresse attendait son petit-déjeuner pour 7h00 !

Je me levais donc précipitamment, et filais sous la douche. Après une douche rapide, je lissais mes cheveux, comme me l’avait appris ma Maîtresse. Peu habitué, cela me pris plus de temps que je l’avais escompté… Ceci fait, n’ayant pas encore reçu les nouveaux vêtements, je remis ceux de la veille, le string noir, les bas, le soutien-gorge (qui me fit perdre aussi un peu de temps), la robe de soubrette, le petit tablier et la coiffe ! Ouf ! 6h50 et j’étais prêt ! J’essayais les chaussures à talon, mais c’était trop difficile, surtout si j’avais un plateau à porter. Je changeais donc pour les ballerines. Puis je me dirigeais vers le monte plat, ou attendait déjà le déjeuner de Mrs Benson. Un plateau avec une cafetière fumante, une tasse, un verre de jus d’orange, une assiette avec deux toasts et de la confiture.

A 7h00 précise, je toquais à la porte (du pied, n’y arrivant pas avec la main à cause du plateau) de la chambre de Mrs. Benson.

-          Entrez !

J’entrais et me dirigeais vers son lit. Ses cheveux étaient relâchés, et étaient plus long que ce que j’avais pensé. Elle portait une nuisette rose, transparente, qui me permettait de voir ses gros seins, les auréoles marquées, ses tétons… J’essayais de ne pas fixer mon regard sur eux, de rester concentré pour ne pas renverser le plateau… et je dois dire que je m’y prenais mieux que je l’aurais pensé… Le problème se présenta au moment où je voulais déposer le plateau sur le lit… une bosse déformait les couvertures. Erection matinale, sans doute… Mrs Benson sourit.

-          Dépose le plateau là Aline, sur la table basse.

Je m’exécutais. Pour déposer le plateau sur la table basse, je devais lui tourner le dos et me pencher… ce qui fit un peu remonter ma jupe, dévoilant le bas de mes fesses. Je sentis sa main se poser sur mes fesses, et les caresser doucement…

-          Ce string te va vraiment bien…

Son pouce suivit la ficelle de coton, le long de ma raie… je frémis, et faillit renverser le plateau ! Heureusement, je le posais, vite, renversant juste un peu de jus d’orange…

-          Bien Aline, belle adresse… approche !

De sa main, elle tapota le lit, près d’elle. Je m’y assois, essayant de ne fixer ni sa poitrine, ni la bosse qui déforme les couvertures blanches du lit.

-          J’aime ce que tu deviens Aline, ça me fait plaisir d’avoir un peu de compagnie, aussi.

Sa main caressa ma joue, et elle poussa ma tête vers sa poitrine généreuse. Je sentis contre ma joue la douce soie de la nuisette, et son sein, tiède. Un téton dodu se frotta à mon oreille. J’entendais son cœur, dont le battement s’accélérait. Mes yeux étaient faces à la bosse, et j’étais sûr qu’elle l’avait fait exprès. Sa main caressait mes cheveux, puis elle approcha ses lèvres de mon oreille (pas celle contre le téton, l’autre !)

-          Je ne pourrai jamais manger comme ça… il faudrait faire disparaître cette bosse…

Elle poussa ma tête, qui quitta le sein moelleux, mon corps basculant légèrement en avant, mon visage se rapprochant de la bosse… Alors que je n’en étais plus qu’à quelques centimètres, elle tira sur la couverture… dévoilant son sexe, bandé, raide, 18 centimètres de chaire dure, dépassant de sa jolie nuisette rose. Le fait d’avoir fait glisser la couverture fit balancer la verge, qui effleura mon nez… Je n’avais pas eu bien le temps de la voir hier, et là je la trouvais belle. Le gland plus foncé, déjà mouillé, la hampe, une grosse veine saillant tout le long, ses petits testicules, sans un poil… comme son pubis d’ailleurs… je commençai par embrasser son pubis, ma main se posant doucement sur la hampe tiède… je léchais et couvrais son pubis de baisers, tandis que je commençais à la branler doucement… puis je fis le tour, et commença à déposer des baiser sur ses testicules… tout en continuant à la branler, je les léchais, puis ma langue remonta le long de sa hampe, tournoya sur son gland, en ramassa la perle mouillée… avant de l’engloutir… Le gland entra dans ma bouche, puis la hampe… serrant les lèvres, je montais et descendais le long de cette verge, ma langue léchant ce qu’elle pouvait, m’appliquant à donner du plaisir à ma maîtresse…

Comme je voulais essayer de l’enfoncer plus loin dans ma bouche, sans faire attention, je me mis à quatre pattes sur le lit, ainsi je pouvais l’enfoncer plus loin dans ma bouche… Je ne savais pas encore l’avaler tout à fait, mais de la moitié hier, j’arrivais aujourd’hui à mettre les trois quart de sa hampe dans ma bouche… son gland et sa hampe remplissait ma bouche, et je bandais dur en la suçant… Ma croupe lui étant offerte, je sentis sa main se poser sur ma fesse… qu’elle caressa… puis elle joua avec la corde du string, tirant dessus, ce qui faisait se frotter le triangle de tissu sur mon sexe, le caressant… puis elle fit l’inverse, prenant le tissu plus bas, et tirant, pour que la ligne de textile me caresse le sillon des fesses… Sa main suivit le tissu, me caressant le sillon, avant de caresser doucement mon petit trou… cela m’électrisa, je jouis instantanément dans mon string, et la suçait avec plus de passion… je l’entendis soupirer d’aise, tandis son gros sexe commença à se cabrer dans ma bouche… J’eus un mouvement de recul, mais sa main quitta ma fesse pour caler ma tête et elle enfonça son gland un peu plus profond dans ma bouche… je sentis le premier jet s’écraser dans le fonds de ma bouche, suivit d’un deuxième… elle éjaculait abondamment, pour ne pas tousser il fallait que j’avale au fur et à mesure ! Le sperme s’écoulait dans ma gorge, fort et salé, mais je trouvais le goût moins désagréable qu’hier… Lorsque je sentis qu’elle n’éjaculait plus, je léchais la hampe, le gland dans ma bouche, jusqu’à ce qu’elle le retire, reprenant son souffle.

-          Aline, la vitesse avec laquelle tu apprends est sidérante ! Tout cela m’a ouvert l’appétit, j’ai faim ! Passe-moi le plateau, puis va manger au réfectoire avec les autres. N’oublie pas le programme de la journée : d’abord une heure de marche avec des chaussures à talon, puis le nettoyage intégral de la chambre. En fin de journée encore une heure de marche avec les talons, puis un bain peau-douce. Et frotte ta bouche, tu as encore un peu de sperme à la commissure de tes lèvres !

J’obéis à ma maîtresse. Je retournais dans ma chambre, et mis les chaussures à talon. Des escarpins ouverts avec un talon de 5 centimètres pour commencer. Je marchais dans ma chambre et dans l’appartement de Mrs Benson pendant 1 heure avec ces chaussures… Je me tordis bien souvent les chevilles, et fut si content de les enlever… mais ce que je les trouvais belles ces chaussures, bien plus belles que les ballerines.

Le reste de la journée se passa en nettoyage, rangement de l’appartement de Mrs. Benson. Le soir, je remis les chaussures et les tint pendant un peu moins d’une heure. J’avais trop mal au pied. Je fus heureux de découvrir qu’on avait livré les robes de soubrette (toutes les mêmes) mais surtout un assortiment de sous-vêtements féminins plus affriolent les uns que les autres ! Ma Maîtresse m’ayant demandé de la rejoindre en petite tenue dans la salle de bain à 17h30, je choisis des bacs blancs, avec des jarretelles assorties, un string blanc, le soutien assorti… et c’est dans cette tenue que je me présentais à elle, à l’heure dite…

-          Et bien, joli choix Aline ! Tu as du goût… approche !

Je m’approchais. Au passage, elle effleura mes fesses d’une caresse sensuelle.

-          Tu as encore une chose à apprendre pour compléter ta transformation. Le maquillage. Viens près de moi, je vais t’apprendre…

Et elle m’apprit à mettre du vernis à ongle, à me poudrer, à utiliser le mascara, le liner, le rouge à lèvre…

-          N’oublie jamais Aline, pour le maquillage, c’est trouver le bon équilibre. Trop, c’est pute ou maquerelle. Pas assez, c’est fillette qui n’a pas de goût. Par contre le bon mélange, c’est… Magnifique !

C’est ainsi que je me trouvais. Les yeux légèrement cerné de noir, les joues poudrées, un verni rouge foncé avec le rouge à lèvre assorti, avec mes sous-vêtements en dentelles blancs… c’était magnifique !

-          Bon, écoute. Après-demain, nous avons M. Striker qui vient nous visiter. C’est l’inspecteur du Conseil d’Administration de l’école, et si je veux retrouver de l’argent pour racheter le matériel que tu as cassé, il faut qu’il me soutienne et convoque le conseil. Je veux que pour après-demain tu saches marcher avec les chaussures à talon. Et que tu te fasses jolie. Le courant n’est jamais bien passé entre lui et moi, mais si en te voyant et en te reluquant tu le mets d’humeur joyeuse, peut être les choses se passeront mieux…
-          D’accord Maîtresse, je serai irrésistible pour lui.
-          Bien, va manger maintenant, puis viens me retrouver. J’ai un autre exercice pour toi.
-

J’obéis, et descendit pour aller vers le réfectoire. En chemin, je me retrouvais avec un groupe d’étudiants qui se rendait au même endroit. J’allais entrer dans le réfectoire lorsque je me sentis happée sur le côté. Contre le mur se tenait Danny, le ‘playboy’ de l’école. Capitaine de l’équipe de fleuret, garçon de bonne famille, le teint toujours halé, une constitution de sportif, la coiffure noire toujours impeccable, l’assurance du gars à qui tout réussit… Même sa voix était chaude et grave, alors que la mienne n’avait jamais vraiment mué, j’avais une voix ‘unisexe’, tout le monde hésitait à m’appeler monsieur ou madame au téléphone, et souvent c’était le madame qui l’emportait… bref Danny avait tout, c’était le genre de gars que j’enviais et haïssais lorsque j’étais moi-même garçon. Il m’avait pris par le bras, et je me retrouvais entre lui et les deux autres garçons qui traînaient toujours avec lui. Ils avaient tous entre 17 et 19 ans, ils étaient en dernière année. C’étaient les « grands » ceux qui en imposaient aux autres…

-          Alors ma jolie, on a pas été présenté…

Lorsque j’étais Alain, il se moquait toujours de moi. Et pas gentiment. J’étais prêt à lui répondre vertement, lorsque je croisais son regard. D’habitude j’y lisais le mépris, la moquerie. Là j’y voyais de la curiosité, du désir… un désir mâle qui me faisait monter le rouge aux joues… Il souriait, et je sentis sa main passer sous ma jupe, caressant ma fesse droite…

-          Je m’appelle Danny et…
-          TOUS LES ETUDIANTS AU REFECTOIRE !

Le surveillant venait de surgir. Le sourire ne quitta pas les lèvres de Danny. Il se pencha vers mon oreille et me susurra

-          On se reverra ma belle…

Puis il déposa un baiser dans mon cou avant de partir et d’entrer dans le réfectoire. Je soufflais, puis rentrais à mon tour. Tandis que je me déplaçais vers les plateaux, puis vers ma place, je sentais des regards sur mon arrière train… cela me faisait toujours rougir…

Mon dîner pris, je remontais vers l’appartement de Mrs. Benson. Lorsque j’entrais, je ne la trouvais pas dans le salon. Ni dans la salle à manger, apparemment, elle avait fini son souper, les restes de son repas, assiettes, verres, etc. étaient à nouveau dans le monte-plat, prêt à être descendu à la cuisine. Entendant du bruit qui venait de ma chambre, je m’y rendis. Elle était là, finissant d’installer un écran sur le petit bureau de ma chambre.

-          Bien, te revoilà Aline. Tu as aussi besoin de te distraire, alors regarde ce que je t’ai installé. Un écran, relié à mon ordinateur. Ne cherche pas de clavier, ni de bouton on/off, il n’y en a pas… Je commande tout depuis mon PC. Je choisis quel programme tu regardes, je choisis quand il commence, et quand il se termine.
-          Compris, merci Maîtresse !
-          Ah, une dernière chose, tend tes mains s’il te plaît…

Je m’exécutais et tendis mes mains vers elle…

Schlap ! Schlap !

-          Aïe !

Je reçus un coup de badine sur chaque main, et pas des petits coups !

-          C’est pour bien te rappeler que quoi que je décide de te passer, tu n’as pas le droit de te masturber. Jamais sans mon autorisation, compris ? Pense à ces coups si l’envie t’en vient, je serai sans pitié si je te vois te donner du plaisir sans mon ordre !
-          D’accord Maîtresse, c’est bien compris…
-          Bon installe-toi sur la chaise, face à l’écran, je vais te lancer le premier programme éducatif.

Je m’installais et attendit. L’écran était noir. Je regardais le dessus de mes mains, rougis par les coups de badine, lorsque l’écran s’alluma. Des lettres blanches tournoyèrent sur l’écran, le titre du ‘programme éducatif’ sans doute… « Sissy’s training »… Puis vient l’image… une jolie fille, de dos, qui se trémousse avec un minishort… elle me montre du porno ??? La fille se trémousse, puis enlève lascivement le short, dévoilant ses fesses rondes, un string couleur crème masquant son œillet… elle avance vers un sofa, y monte, trémousse de la croupe devant l’écran… puis fait doucement glisser son string… dévoilant sa raie, son œillet… puis deux petites boules, toutes rasées, et un pénis de petite taille, comme le mien ! Elle met ses mains sur ses fesses, puis les écartent, dévoilant son anus, qui palpite… je bande déjà comme un fou… mes mains vont instinctivement vers mon sexe, mais au dernier moment je me retiens. Je me rappelle des ordres de ma maîtresse… Des images défilent maintenant rapidement, toutes des jolies femmes, en sous-vêtements affriolants… toutes avec des petites ou moyennes verges… Pendant toute la projection, des mots écrits en rose foncé fluo sont projeté à l’écran… « Sissy » (effeminé) « Whore » (pute) « Slut » (fille facile, aimant le sexe) « Pleasure » (plaisir), ce dernier coïncident avec des images de verges bandées, tendues… puis les images défilent de nouveau rapidement, on y voit ces filles comme moi s’agenouillant, bouche ouverte, semblant implorer quelque chose… les mots « Sissy », « Whore », « Slut » revenant en boucle, puis de nouveau un sexe tendu avec le mot « Pleasure »… ce sexe s’enfonce dans la bouche d’une des filles… la musique s’est arrêtée, on entent un soupir de plaisir… puis la musique reprend et les images reprennent leur succession rapide, des images de fellations, de langue qui lèchent des grosses verges, de bouches ramonées par des grosses bites, des filles qui se mordent les lèvres de plaisir, d’envie… les mots projetés à l’écran sont « mouth » (bouche), « fucking » (baiser), « cum » (sperme)… ils s’enchaînent avec les mots « Sissy », « Whore », « Slut », un groupe puis l’autre, sur des images de plus en plus excitante, ces femmes ayant l’air de prendre un tel plaisir à sucer ces bites… Ensuite l’écran montre une grosse verge qui sort précipitamment de la bouche d’une blonde… elle ouvre grand la bouche, et le gars éjacule sur sa langue, puis sur son visage… Maintenant ce sont les mots « cum » « mouth » « pleasure » qui s’enchaînent aux mots « Sissy », « Whore », « Slut », pendant que défilent des images de bouches remplies de sperme, le tout avalé avec un plaisir frappant, de sperme qui glisse sur des joues, des lèvres, lèvres pourléchées par des langues gourmandes…

Le film fait une pause, j’ai une envie folle de me toucher… mais je ne peux pas… s’il y aurait un sexe tendu, là, devant moi, je le sucerais immédiatement… Soudain le film reprend sur des images de filles comme moi, toujours en sous-vêtements affriolants, qui se trémoussent, se touchent… les mots « Sissy », « Whore », « Slut », reviennent en boucle, tandis que s’enchaînent les gros plans sur leurs croupes, qu’elles dévoilent toutes fièrement, tous ces anus ouvert en premier plan prêt à recevoir… une grosse bite bandée ! C’est ce qui apparaît à l’écran en gros plan, son gland semblant tendu vers moi… puis il s’approche d’un de ces culs offert… avant de s’y enfoncer lentement, la musique s’est arrêtée et on entend un souffle ou un râle de plaisir… lorsqu’il est entré entièrement dans cul, il commence à le ramoner de plus en plus rapidement… la musique revient et les images défilent de nouveau très vite… toute des images de sodomie, des sexe beaux, raides, dur, qui s’enfoncent dans des anus ouverts, accueillant… Les mots « ass » (cul), « fucking », « pleasure » s’enchaînent au refrain « Sissy », « Whore », « Slut »… La musique est entrecoupée de sons de couples qui copulent, de râles de plaisir… puis de nouveau la musique s’arrête… nouveau gros plan sur une bite qui sort d’un anus dilaté, puis se cabre, et éjacule le sperme sur l’anus ouvert, la blanche semence atterrissant sur le petit trou, glissant le long des fesses… la musique recommence et les images se succèdent de plus en plus vite, montrant des anus débordant de sperme, des verges qui éjaculent leur semence sur des fesses, des dos, des visages… mon cœur bat la chamade, mon sexe se cabre tout seul… puis éjacule dans le string blanc, tandis que le film se termine sur une grosse bite bandée, dure, si appétissante… enfin l’écran s’éteint, signe qu’il est temps de dormir.

Je me déshabillais, mon cœur battant encore la chamade, enlevant mon tablier, ma coiffe, ma robe de soubrette. J’enlevais ensuite mon soutien, mes jarretelles, mes bas, et enfin mon string. Le tissu du triangle, avec de jolis motifs en dentelle au-dessus, était maculé de mon sperme… j’allais le jeter dans le bac à linge sale, mais retint mon geste au dernier moment… Les mots « sperme » « plaisir » tournaient en boucle dans ma tête. J’ouvris le string, le reniflais… puis commençais à lécher avec application le tissu, pour récolter tout mon sperme, qui me parut meilleur que la veille… je ne vis pas que par la porte entrebâillé, ma Maîtresse avait assisté à toute la scène, un sourire amusé aux lèvres…

Le lendemain matin, je me levais à l’heure, m’habillais rapidement. Je choisis un slip boxer bordeaux, avec le soutien assorti. C’était très joli sur moi, mais je me rendis compte au cours de la journée que je n’aimais pas tellement la sensation de mes fesses emprisonnées dans un slip. Le string laissait mes fesses à l’air libre, et j’avais l’impression de préférer cela ! J’apportais le déjeuner de Mrs. Benson, qui n’était plus dans son lit mais déjà installée à table, lisant son journal. Elle portait une robe de chambre en soie rouge et noire. Je posais le plateau devant elle, puis attendit à côté d’elle, tandis qu’elle commençait à déjeuner, ne sachant trop quoi faire, comme un nigaud.

-          Aline, tu ne sais pas quoi faire ? Allez, sur tes genoux !

J’obéis, et mis directement sur mes genoux. Elle me caressa la tête, tendrement, puis m’indiqua d’un geste de passer sous la table. Ce que je fis. A quatre pattes, sous la table, j’avais une sur ses jambes, qu’elle venait de décroiser, couverte de sa robe de chambre, des mules rouge à ses pieds. Elle fit glisser les mules et me présenta son pied. Je l’embrassais avec tendresse, tout en le massant avec mes mains. Je fis de même pour le second. Puis elle écarta complètement les jambes. La robe de chambre me dévoila une partie de ses mollets, ses cuisses… et son sexe maintenant bandé qui formait une bosse au niveau de la ceinture de la robe de chambre… Je l’entendis poser sa tasse de café, puis sa main apparut. Elle défit d’un geste gracile le cordon de la robe de chambre, qui s’ouvrit tout à fait. Sa verge était face à moi, raide, dur, surmonté de son gland déjà un peu mouillé d’excitation… Les images de la veille me revinrent en tête…

A quatre pattes, j’avançais sous la table, me mettant entre ses jambes, m’approchant de sa bite dressée… je ne le faisais pas par devoir, ni par obligation, mais là j’en avais très envie… Ses deux testicules glabres reposaient sur le tissu de la robe de chambre, sur la chaise. Je les léchais, puis les gobais avec douceur, l’une puis l’autre. Je l’entendis cogner quelque chose sur la table, elle ne s’attendait pas à ça…

Après avoir sucer en douceur ses testicules, ma langue remonta le long de sa hampe, redescendit, puis remonta encore... jusqu’au gland, que je léchais tout autour, puis au-dessus, recueillant sa perle de pré-sperme, un petit fil translucide reliant ma bouche à son gland… ma tête plongea sur lui, je le sentit entrer dans ma bouche, racler mon palais, puis la hampe… je suçais le gland, ma langue léchait la hampe dans ma bouche, avant que ma tête commence ses aller et retour le long de cette chair tiède et dure… j’accélérais le mouvement, puis ralentissais, puis accélérais encore, mes lèvres tantôt serrant, tantôt plus lâche… elle avait arrêté de manger, et j’entendais sa respiration s’accélérer… pour le final, je m’efforçais d’en prendre le plus possible en bouche, et enfin, victorieux, je pus enfoncer son gland au plus profond de ma cavité buccale, prenant entièrement ses 18 centimètres de chaire en bouche, au prix de quelques larmes au coins des yeux et d’un sentiment nauséeux que je réussis à refouler…

Cela la fit venir, je sentis son sexe se cabrer dans ma bouche, et ne fit rien pour éviter la chose… je plaçais juste son sexe un peu moins profond dans ma bouche, pour pouvoir sentir sa semence tiède se répandre sur ma langue, avant de l’avaler avec contentement… je bus tout ce que son sexe put m’offrir de sperme laiteux… Je gardais son sexe en bouche, il coulait encore un peu, jusqu’à ce qu’il débande…

-          Aaaaaaah… Aaaaah… Aline… j’aurais dû commencer par la vidéo éducative… aaaah… comme tu t’es améliorée ! C’est pour me mettre en forme de grand matin ça ! Allez, zou, va déjeuner maintenant !

J’avais pris un pied pas possible, et avais réussis à ne pas éjaculer dans mon slip, même si ça avait été proche… j’étais rayonnante et fière de moi. Et la vidéo avait raison, sperme = plaisir…

Après le petit déjeuner, je me réentrainais avec les escarpins et leur 5 centimètres de talon. Ce n’était vraiment pas facile, mais je me débrouillais déjà mieux que la veille. Si je voulais être prête pour le lendemain, il fallait que je fasse encore mieux ! Je décidais donc de les garder toute la journée. Je fis le ménage avec, et aida ma Maîtresse à classer le courrier, et les factures. Comme elle était de bonne humeur, elle me laissa la sucer encore à midi, sous son bureau. Je me mis comme le matin, à quatre patte sous le bureau, et lui léchais les jambes, les cuisses… son sexe se redressa sous sa jupe, que je relevais doucement… Son slip blanc était tout tendu par une bosse de chaire ! Je dégageais son sexe et la suçais avec délectation. Je bus tout son jus, son nectar, avant de retourner à mes travaux.

Au souper, Danny passa deux fois près de mois, à chaque fois s'arrangeant pour me reluquer ou pour passer sa main sur mes fesses. Le soir, elle me repassa une vidéo éducative, du même style que la première. Les mêmes mots, le même style de film mais des images différentes, encore plus sensuelles, érotiques. Ces images, ces mots me marquaient, et se mélangeaient dans ma tête avec les images de moi suçant Mrs. Benson. Je bandais comme un fou, mais réussit à ne pas me toucher. J’allais dormir et fit des rêves érotiques, au point d’en éjaculer pendant mon sommeil dans mes draps !

Le lendemain, je me levais un peu plus tôt pour prendre un bain « peau douce », me laver les cheveux, les lisser, me maquiller de façon à être attirante, sans faire pute, puis je choisi des bas résilles noirs, des jarretelles, string et soutient assorti. Le tout en noir avec des dentelles. Je saurais faire en sorte que M. Striker les remarque ! Je mis aussi mes escarpins à talon, avec lesquels je me débrouillais bien maintenant.

Je passais ensuite ma robe, tablier et coiffe, et me précipitais chez ma Maîtresse, lui montrer comment je m’étais apprêtée, guettant son approbation. Mais elle n’était pas là. Elle aussi s’était levée plus tôt, et elle avait déjà déjeuné. Je mis donc les restes de son petit-déjeuner sur le plateau, et le plateau sur le monte-charge avant d’aller déjeuner. Elle travaillait déjà dans son bureau, sans doute pour préparer sa réunion avec M. Striker.

Je vaquais donc à mes tâches ménagères, lorsque le téléphone de service sonna. Ma Maîtresse me demandait d’apporter un café pour M. Striker. Je descendis donc aux cuisines, pris le nécessaire, servait un café, et apportais le plateau. Arrivé près des abords du bureau, j’entendais que cela chauffait. Des éclats de voix passaient à travers la porte pourtant fermée.

-          Mais enfin Striker, vous savez que j’ai besoin de ces machines !
-          Désolé Mrs. Benson, mais ce n’est pas de notre faute si vous les avez cassées ! Et les assurances n’interviendront pas, ou vraiment peu, vu la nature de l’accident. En plus ce type que vous avez viré était insolvable, on ne pourrait même pas le poursuivre en justice… surtout qu’il a disparu dans la nature…
-          Mais avec ces machines, notre école deviendrait la deuxième meilleure du pays !
-          Non ! Je ne vais pas me couvrir de ridicule en réunissant le Conseil d’Administration pour redemander des fonds… Il faut des arguments plus convaincants, trouver d’autres sources de revenus…

C’est à ce moment que je toquais sur la porte. Le silence se fit dans le bureau, puis Mrs. Benson dit un « Entrez ! » d’un timbre de voix marquant comme elle était tendue… J’entrais dans le bureau, où la tension était palpable. Dès que j’entrais je vis Mrs. Benson qui regardait par la fenêtre, et sentis les yeux de M. Striker, qui était assis dans le canapé de la partie ‘salon’ du bureau de Mrs. Benson, se poser sur moi, puis sur mes jambes. Il resta un instant bouche bée, avant de se tourner vers Mrs. Benson.

-          Vous avez engagé du nouveau personnel ?
-          Elle travaille pour moi, je la paye sur mes fonds personnels. Et comme elle travaille aussi pour l’internat, elle est logée et nourrie par les fonds de l’internat. Aline, tu peux poser le plateau sur la table.

Je m’approchais donc, mes chaussures à talon me faisant dandiner du derrière, dandinement que j’accentuais un peu. Je sentais le regard de M. Striker qui montait de mes chaussures, glissais sur mes bas résilles, et s’arrêtaient sur la robe courte, qui se soulevait au gré de ma marche, dévoilant la fin des bas et le début des jarretelles. Je pus voir un début de bosse se former au niveau de l’entrejambe de M. Striker. La situation me tournait un peu la tête, m’excitait. Voir un homme bander sur moi me faisait moi-même bander !

Mrs. Benson faisait sembler de se désintéresser de la situation, semblant perdue dans ses pensées en regardant par la fenêtre, dos à nous… mais je devinais qu’elle ne perdait rien de la scène, via le reflet dans le carreau. Ma Maîtresse était en difficulté, il fallait que je l’aide. Il fallait que je sorte le grand jeu. Je passais devant M. Striker, et me penchais pour déposer le plateau, ma robe courte remonta, et il eut une vue gros plan sur mes jarretelles et sur une partie du tissu noir du string qui sinuait entre mes fesses. Je l’entendis déglutir. Je me redressais, me mettant droite à côté du canapé. Soudain le téléphone sur le bureau de Mrs. Benson sonna. Elle décrocha, fit quelques « Mmm » et finit par un « j’arrive ». Elle raccrocha, et se tournant vers M. Striker

-          J’arrive, j’en ai pour 5 minutes, une urgence à l’entrée.

Elle sortit précipitamment. Était-ce une coïncidence, était-ce calculé ? En tout cas je me retrouvais seule avec M. Striker, dont la bosse à l’entrejambe avait un peu augmentée.

-          Il vous faut autre chose M. Striker ?
-          Hum… heu, oui, du lait s’il vous plaît !

Je repassais devant lui, et me penchais un peu plus pour attraper le lait, puis le servir. Il en vit un peu plus de mes fesses. Je ne suis pas sûr, mais il me sembla sentir une main les frôler… Je me redressais, me remis à côté du canapé. Il était rouge dans son visage.

-          Encore autre chose ? Minaudais-je
-          Hum, hum, heu… du sucre ? S’il vous plaît ?

Je voulus repasser devant lui, mais (et croyez-moi je ne l’ai vraiment pas fait exprès) mon talon se pris dans le bord épais du tapis et je basculais et tombais en avant, j’essayais de me rattraper et tombais sur mes genoux, l’avant de mon corps en plein sur M. Striker. Mon bras sur son entrejambe.

Au début, je ne voulais que me montrer, le faire craquer à ma vue. Mais ma Maîtresse avait vraiment besoin de cet argent. Et au point où les choses en étaient… je caressais donc la bosse visible en minaudant un « Mais qu’avons-nous là M. Striker » ? Sa réaction ne se fit pas attendre…

-          Tu veux voir ce que j’ai là, salope ? Tu me chauffes depuis tantôt, tu la veux, hein ?

Il écarta mes mains, défit le bouton de son pantalon, ouvrit sa bragette… la bosse apparut de plus belle par sa braguette ouverte, une bosse bleu ciel, au couleur de son caleçon…

-          Laissez-moi vous aider avec ça, servir est mon métier…

Mes mains ouvrirent plus grand son pantalon tandis que ma tête se pencha vers son entrejambe… ma langue lécha la bosse, le tissu du caleçon se mouillant légèrement avec ma salive… et pas qe ma salive ! Mes mains caressèrent son ventre, descendirent vers son caleçon… et le tirèrent pour dégager son sexe bandé… Il était plus court, mais plus épais que celui de Mrs. Benson… plus poilus aussi. En voyant cette verge, les images des vidéos me revinrent en tête. Je me baissais, et commençais à lui lécher la hampe, puis le gland. La respiration de M. Striker s’accélérait.

Il sentait plus fort que celui de Mrs. Benson, mais cela ne me repoussa pas. Au contraire, je trouvais cette odeur plus mâle, plus virile… ma langue tournoya sur son gland, l’attira vers ma bouche… je gobais le gland, puis la hampe… La chaude moiteur de ma bouche le fit lâche un râlement de plaisir… Ma tête commença à monter et descendre le long de sa bite, et je me rendis vite compte que j’aimais faire ça… il se poussa un peu pour me permettre de me mettre à quatre pattes sur le canapé, afin de pouvoir mieux le sucer.

Je pus prendre toute sa verge en bouge, jusqu’à ce que mon front touche sa cuisse, car elle était bien plus courte que celle de ma Maîtresse. Mais elle était bien plus grosse, et cette grosseur qui me remplissait la bouche me faisait bander comme un fou ! Je le suçais, montant, descendant, tout en sentant sa main caresser mes cheveux, puis mon dos… sa main arriva à mes fesses… il me caressa les fesses, avec passion, puis me donna une petite claque. Puis il recommença à me les caresser pendant que je le suçais… il alternait petite claque et caresses sur les fesses, et j’aimais ça… soudain, sa main suivit le tissu noir du string, avant de le mettre de côté.

J’eus peur qu’il découvre mes attributs masculins, et m’arrêtais de le sucer pour dire quelque chose… Mais son autre main poussa ma tête contre son sexe. Il poussait fermement puis relevait, imprimant avec sa main le mouvement que ma tête faisait le long de sa bite, qui allait et venait de plus en plus rapidement dans ma bouche… son autre main caressa mon sillon, puis mon œillet… j’avais peur, mais en même temps cela me faisait frissonner de plaisir ! Son doigt caressais mon anus, le flattait… avant de s’introduire dedans… j’eus une décharge d’adrénaline quand je sentais ce doigt entrer dans mon cul… Je voulus une nouvelle fois dire quelque chose, mais il m’en empêcha, faisant aller et venir ma tête le long de sa bite tout en me doigtant le cul… j’étais entièrement dominé… et j’adorais ça ! Je ne tardais pas à éjaculer dans mon string noir… et peu après, il sortit son doigt de mon petit trou, et calant sa bite au fonds de ma bouche, appuyant ses deux mains sur ma tête, il éjacula tout son foutre chaud dans ma gorge… son sperme était plus fort de goût et plus abondant que celui de ma Maîtresse, mais j’arrivais à tout avaler sans tousser ! Maintenant ma tête sur son sexe qui se cabrait encore dans ma bouche, il ahanait, reprenant son souffle, quand une voix retentit dans la pièce…

-          Et bien c’est du beau ! C’est comme ça que vous traitez mon personnel, gros pervers !

M. Striker rougit de son cou à la racine de ses cheveux !

-          Heu… Mrs. Benson… ce n’est pas ce que vous croyez… enfin si… mais… on peut s’arranger…

Elle le regarda droit dans les yeux

-          S’arranger ? Gare à vous si je perds ma soubrette, qui m’est si utile ! Réunissez-moi le Conseil d’administration et je pourrai peut être oublier l’incident ! Et heureusement pour vous que je n’ai pas envie d’appeler votre femme !
-          Heu… oui… d’accord… mais et les assurances.
-          Je m’en charge des assurances, je vais leur téléphoner demain. Et relâchez ma soubrette, voulez-vous ?

Il tenait toujours ma tête sur son sexe. Il avait débandé dans ma bouche, et je m’amusais à donner de petit coup de langues sur le bout du gland qui se recalottait petit à petit…

-          Hum, oui, pardon.

Il me relâcha. Je remis mon string bien en place et me redressais, à côté du canapé, tandis que lui se rhabillait bien plus rapidement qu’il ne s’était déshabillé !

-          Aline, M. Striker n’a plus besoin du café ni de tes… services, tu peux rapporter le plateau en cuisine…

Le sarcasme ne plut pas à M. Striker. Il fallait que j’aide encore ma maîtresse, la situation ayant déjà tourné à notre avantage.

-          Hum, puis-je faire une suggestion Maît… hum… Mrs. Benson ?
-          Oui, Aline, parle.
-          Vous pourriez organiser un rendez-vous ici avec l’assureur et M. Striker. Si l’assureur est aussi gentil que M. Striker, je suis sûr que vous pourriez trouver un arrangement. Je referai un bon café et…
-          Bonne idée ! fit M. Striker, l’œil sur mes fesses.
-          Pourquoi pas… fit Mrs. Benson pensive.

A la lueur qui brillait dans son œil, je suis sûr qu’elle y avait déjà pensé. Je suis même sûr qu’elle avait été témoin de tout ce qui s’était passé ici, je le voyais à ses joues rosies par l’excitation.

-          Et bien, je vais téléphoner immédiatement.

Pendant qu’elle téléphonait, M. Striker s’approcha de moi, et me caressa sans vergogne le fessier.

-          Demain, c’est possible ?

M. Striker hocha rapidement de la tête, le rendez-vous fut pris. La main de M. Striker quitta mes fesses, et il se dirigea vers la porte. En sortant, il se tourna vers Mrs. Benson.

-          Votre soubrette est vraiment talentueuse… si son… café… convainc l’assureur de payer, non seulement je convoque la réunion du Conseil d’administration, mais en plus je vous soutiens à 100%.

Il lui serra la main et sortit. Elle se retourna vers moi, l’air sévère !

-          Et alors Aline, on s’amuse sans mon autorisation ? On fait sa petite salope ? Enlève ton string, puis mets-toi à genoux !

Je le fis glisser le long de mes jambes, en sortit les pieds, puis le pris dans ma main et me mis à genoux. Elle n’eut rien à dire juste un signe de tête… je déroulais le string noir, blanchi et mouillé à l’intérieur par mon sperme… je le léchais, enfin pour ce qui n’était pas absorbé par le tissu… Ma Maîtresse s’approcha de moi pendant que je léchais l’intérieur de mon string et me caressa la tête.

-          Tu as bien fait Aline, je suis fière de toi. Et ton idée pour l’assureur est lumineuse ! Je savais que tu m’aiderais !

Elle repassa devant moi et soudain attira mon visage contre son entrejambe, donnant des coups de bassin pour frotter la bosse qui déformait son tailleur contre mon visage…

-          Et te voir le sucer, pendant qu’il te doigtait le cul, que c’était excitant ! Tellement excitant ! Regarde !

Elle recula mon visage de la bosse qui déformait entièrement son tailleur et me remit une boule de tissu qu’elle avait discrètement gardé caché dans sa main depuis qu’elle était revenue dans le bureau. Je compris tout de suite que c’était son string à elle, maculé de son sperme. Sans qu’elle ne dise ou ne fasse rien, je laissais tomber mon string et commença à lécher le sien. Sperme = plaisir raisonnait dans ma tête…

-          Et si tu prenais du tout frais ?

Elle remonta indécemment la jupe de son tailleur, dévoilant ses bas beiges, ses jarretelles couleur chair et son sexe tendu. Je m’en approchais. Il sentait déjà le sperme, vu qu’elle était venue dans sa culotte… je le léchais donc, nettoyant le sperme séché sur le gland, sur la hampe, avant de l’engloutir… Excitée, elle prit ma tête entre ses mains, et commença à me baiser la bouche… son gros sexe entrait et sortait à toute vitesse, et je positionnais mes lèvres de façon à ce qu’elle ait un maximum de plaisir… elle ne tarda pas à éjaculer une seconde fois, directement dans ma gorge… j’avais encore son string en main, et me sentant venir du fait d’être ainsi dominé, utilisé par ma maîtresse pour son plaisir, j’éjaculais dans son string, afin de ne pas à avoir à lécher une nouvelle fois le parquet…