Chapitre 03
Après toutes ces émotions, ma
Maîtresse me donna l’après-midi. Je pus me reposer, et elle me passa même via
l’écran quelques épisodes de ma série préférée. Puis l’avant-soirée se termina
par l’habituel programme éducatif. Toujours le même principe, sauf que ce
film-là avait moins de scène de fellation, et beaucoup plus de sodomies. Je me
rappelai le doigt de M. Striker dans mon anus… Au début l’insertion m’avait
fait un peu mal, mais la sensation n’était pas désagréable du tout… je me
demandais même ce qui m’avait fait éjaculer : le fait d’être dominé ou d’avoir
le cul doigté ? Ou les deux ? Et mon esprit fantasma, je me demandais quelle
sensation ça faisait une bite chaude qui éjacule dans le cul ?
L’heure du souper me ramena à la
réalité, et je descendis vers le réfectoire. Tandis que je mangeais, le
surveillant du réfectoire vint me voir.
-
Mlle Aline, Mrs. Benson me demande de vous transmettre
ce message. Le professeur de gymnastique s’est plaint parce que des élèves ont
renversé la vasque de talc dans la remise de la salle de sport. Il a ramassé le
plus gros, mais il demande que la remise soit balayée. Comme le service
d’entretien ne repassera que demain soir, elle demande si vous auriez
l’obligeance de vous en occuper ?
Son ton condescendant m’énervait
un peu, surtout qu’en parlant, il tentait de zyeuter dans mon décolleté.
-
Pas de souci, je m’en occupe immédiatement.
Je laissais mon souper là et partis.
Je sentis son regard sur mon cul. J’accentuais un peu le dandinement, rien que
pour le faire baver, le vieux vicieux ! Je traversais le couloir, passais
devant le bureau fermé de ma Maîtresse, et pris le couloir menant à l’aile
‘école’ du bâtiment. Je traversais le couloir principal, et tout au bout
arrivais aux vestiaires. Il n’y avait personne à cette heure-ci tout était
calme et sombre. J’actionnais les interrupteurs, la lumière se fit dans les
vestiaires et la salle de gym attenante. Je traversais la salle de gym pour
aller jusqu’à la remise. Mes talons faisaient un bruit agréable à entendre
contre le parquet de cette salle. J’entrais dans la remise, où il faisait assez
sombre. La vasque devait être au milieu de la pièce près du cheval d’arçon. J’allumais
la lumière et m’y rendit.
-
Bon y’en a pas tant que ça… où se trouve le balais ?
Soudain, la lumière s’éteignit !
Je sursautais, dans la semi-pénombre de la pièce.
-
Y’a… Y’a quelqu’un ?
Je sentais une présence, et vis
une ombre venir vers moi. Je reculais… et me cognais à quelqu’un !
-
Salut, beauté ! Après 17h, ils ne pouvaient envoyer que
toi pour nettoyer. J’en étais sûr… et nous voilà en tête à tête…
Danny me souriait. Il m’énervait
par sa suffisance, mais en même temps son aura virile me faisait frissonner. Je
voulus m’enfuir, mais ses deux copains étaient là, entre moi et la porte… et
puis de toute façon, je n’aurais jamais pu courir avec des talons de 5 cm !
Il se rapprocha de moi, je
reculais et butais sur le cheval d’arçon. Il plongea sans hésiter sur ma
bouche, collant ses lèvres aux miennes… le contact de ses lèvres contre les
miennes m’électrisa… lorsque je sentis sa langue contre mes lèvres, je me
repris et gardais mes lèvres fermées… il caressait mes fesses de ses deux
mains…
-
Tu es encore en string… putain, ce que tu m’excites…
Ses doigts jouaient avec la
ficelle du string… puis doucement, je les sentis faire le tour de ma taille…
s’il touchait l’avant de mon string il comprendrait que je ne suis pas une
fille ! Il comprendrait tout, et ma Maîtresse serait en difficulté !
Catastrophe ! Il fallait agir et vite !
Il m’embrassa encore… je chassais
ses mains… sa langue vint de nouveau lécher mes lèvres… je devais jouer le tout
pour le tout, la semi-pénombre m’aiderait ! Doucement, j’ouvrais mes lèvres… sa
langue passa dans ma bouche, je sentis son contentement… nos langues se
joignirent, se caressèrent, dansant ensemble dans ma bouche…
-
Et bien voilà ! Tu comprends vite ! Maintenant enlève
ta robe, et écarte les cuisses, si je te prends pas maintenant, je vais éclater
! Vous deux, montez la garde à la porte…
Catastrophe, catastrophe ! Je
devais agir, et vite ! Je le repoussais et me mis à genoux… je défis le bouton
de son jeans, et descendit le jeans et le caleçon, sa bite était raide, droite
vers moi… Elle était plus petite que celles de ma Maîtresse, mais bien
proportionnée… je trouvais même le gland élégant… je commençais donc tout de
suite à le lécher, puis à sucer son membre dur avec ma bouche qui devenait de
plus en plus experte…
-
Aaaaaaah… mmmmm… oui, tu es une gourmande, hein, je le
savais… mmmmm… oh tu es experte en plus… ouiiiii… mmmm… non, non, pas si vite
ma belle… pas si vite… je ne veux pas juter dans ta bouche, ce sera pour une
autre fois, gourmande, je veux te prendre !
Catastroooophe ! Et je n’étais
pas de taille à lutter contre lui ! Et toujours impossible de m'encourir! Il ne
me restait qu’une solution, une dernière option, qui pouvait marcher, toujours
grâce à cette pénombre… je le repoussais doucement, essayant de prendre un air
coquin…
-
Non Danny, non. Je suis encore vierge, et ne veut pas
perdre ma virginité comme ça, ici, à la va vite dans cette salle puante. Je veux
la préserver… et je ne veux pas tomber enceinte, je ne prends pas la pilule…
Par contre…
Je me retournais, ventre contre
le cheval d’arçon, remarquant ainsi que ses deux copains regardaient la scène
avec envie, puis me cabrait, lui offrant ma croupe… je remontais ma jupe, et
tirait sur la ficelle de mon string, lui dévoilant mon œillet…
-
Tu peux me prendre par là… ça ne risque rien côté
bébés…
Je balançais doucement mes
fesses, dans une position lascive… il s’approcha hésitant… puis, mouilla deux
de ses doigts et les enfonça doucement dans mon anus… je tressautais, tandis
qu’il me doigtait le cul…
-
Putain ce que t’es étroite… ça va être bon !
Il joua un peu avec mon muscle
anal, puis retira ses doigts. Je le sentis ensuite se rapprocher de moi, je
sentis sa verge frôle mes fesses… il la caressait contre le sillon de mes
fesses… j’avais peur, en même temps je sentais mon anus palpiter d’envie, les
images des vidéos me revenant en tête…
Il prit sa queue d’une main, et
la position contre mon anus… il poussa doucement d‘abord, le muscle s’ouvrit,
puis résista… il poussa un peu plus fort, le muscle s’ouvrit un peu plus, puis
repoussa… à la troisième poussée je sentis son gland entrer en moi, passer mon
anus… Je gardais mon cri de douleur entre les dents, une petite larme coulant
de mes yeux, le cul en feu… Danny se poussait en moi, je sentais sa hampe me
pénétrer millimètre par millimètre… puis il commença ses vas et viens,
lentement d’abord, puis mon muscle se relâchant, de plus en plus vite… la
douleur s’estompa doucement, tandis qu’un indicible sentiment de plaisir
grandissait dans mes entrailles… Plus ça allait plus le plaisir grandissait… je
commençais à gémir, mais de plaisir.
-
Oh c’est bon… c’est bon… je savais que ton cul serait
un paradis… Mais l’angle est pas assez bon… les gars, descendez le cheval
d’arçon au minimum…
Ils s’exécutèrent, et je pus poser
mon ventre sur le cheval d’arçon, tandis qu’il pris mes fesses entre ses mains
et me baisa encore plus profondément encore plus vite… j’avais envie d’hurler,
de douleur et de plaisir, les deux mélangés… puis le plaisir remplaça la
douleur… c’était tellement bon que j’éjaculais dans mon string, une nouvelle
fois… De là où j’étais, je voyais ses deux copains qui se branlaient en nous
regardant… je leur fis signe de s’approcher, chacun d’un côté du cheval
d’arçon… je pris le sexe du premier dans ma bouche, branlant le second avec ma
main…
-
Putain Danny, quelle salope ! Elle me suce pendant que
tu la sodomise…
-
Han ! Je savais qu’elle serait bonne !
Je changeais, suçant le second,
branlant le premier, plusieurs fois de suite… Soudain, celui que je branlais
éjacula, la première giclée atterrissant sur ma joue… Je le pris vite en
bouche, pour le boire… La seconde giclée et la suite vint sur ma langue,
j’avalais le tout
-
Et en plus elle avale !
-
A mon tour ! A mon tour !
Laissant celui qui venait de
jouir dans ma bouche, je pris le second, et sa bite franchit à peine mes lèvre
qu’il éjacula au fonds de ma gorge… je bus avidement tout son sperme… soudain…
je sentis la queue de Danny battre dans mon cul… quelle sensation divine ! Un
jet de foutre tiède me remplit le rectum, tandis qu’il ahanait en se vidant les
couilles en moi… c’était tellement bon que j’en jouis une seconde fois dans mon
string…
Soudain la lumière s’alluma !
-
Mais qu’est ce qu’il se passe ici ???
Mrs Benson était là, furieuse !
Danny et ses copains se rhabillèrent, tout en fuyant… elle les bouscula hors de
la pièce, et ils filèrent à toute allure, sans demander leur reste, me laissant
pantelante, sur le cheval d’arçon, le sperme de Danny dégoulinant par mon petit
trou un peu béant…
Je n’eus même pas la force de
répliquer… Nous n’étions plus que nous deux… Elle vint vers moi, et donna une
claque sur mes fesses.
-
Aline ! Petite salope ! Moi qui voulais me garder le
déflorage de ton cul, pour moi !
Je sentis ensuite ses mains
caresser mes fesses, mes hanches, puis revenir vers mon string… qu’elle enleva
elle-même, le faisant glisser le long de mes jambes… je soulevais difficilement
un pied puis l’autre, j’étais un peu sonné… Mon string était maculé de mes deux
éjaculations… elle me le fourra dans la bouche…
-
Suce-le !
Je suçais mon string, pendant
qu’elle repassa derrière moi… je la vis descendre sa jupe, son slip, et vis son
sexe raide qui pointait vers moi… elle se rapprocha et je sentis son gland
venir se positionner contre mon anus…
-
Ah tu aimes une bite dans ton cul ? Tu vas être servie
!
Et elle me pénétra en une fois…
le sperme de Danny et la dilatation de mon anus rendirent la chose plus facile
et moins douloureuse… mais ce mélange de douleur/plaisir, et le fait de me
sentir à nouveau remplis par un membre dur et tiède là ou le sexe de Danny
avait laissé un grand vide en se retirant, toutes ces sensations me firent
jouir une nouvelle fois, mon sperme s’écoulant le long du cheval d’arçon… Elle
mit ses mains sur mes hanches, me tenant fermement, et commença ses
vas-et-viens… lent d’abord, puis de plus en plus rapide, de plus en plus fort…
elle me possédait totalement, et son sexe, plus grand et plus gros que celui de
Danny me remplissait totalement… j’aimais ça, et si je n’arrivais plus à jouir,
les sensations de plaisir remplissaient tout mon corps, toute ma tête…
heureusement que j’avais mon string en bouche, sinon j’aurais hurlé de plaisir
! Elle continuait à me limer le cul, puis, ahanant, râlant de plaisir, éjacula
en moi, son sperme se mélangeant à celui de Danny…
Elle garda sa bite en moi, ses mains remontèrent vers ma poitrine, mon visage, reprenant son souffle…
Elle garda sa bite en moi, ses mains remontèrent vers ma poitrine, mon visage, reprenant son souffle…
-
Tu peux t’amuser comme tu veux, et avec qui tu veux…
mais n’oublie jamais que tu m’appartiens Aline, tu es à moi, je suis ta Maîtresse
!
A cause du string dans ma bouche,
je ne pouvais lui répondre, un peu de salive coulait à la commissure de mes
lèvres. Je hochais de la tête, marquant mon assentiment. Elle se retira, je
sentis le sperme déborder et couler le long de mes fesses.
Je devinais plus que je ne vis ma
Maîtresse qui se rhabillait, puis de dirigeait vers la sortie de la réserve.
Avant de sortir elle se tourna vers moi
-
Et n’oublie pas de ranger tout ce désordre avant de
regagner ta chambre !
Et elle sortit. Je restais sans
bouger, à demi couché sur le cheval d’arçon, l’anus palpitant… bon c’était pas
très juste, j’étais victime dans cette affaire… mais voir ma Maîtresse jalouse
à mon propos, cela me remplissait de joie… et à propos de remplissage… quel
moment de plaisir ! J’avais le ventre encore tout tournicoté, les jambes qui
flageolaient, la tête pleine d’étoile… Il me fallut plusieurs minutes pour me
remettre… Je me relevais doucement, remis le cheval d’arçon à sa place. Puis je
frottais les tâches de sperme sur le cheval d’arçon et le sol. Enfin, je
balayais le talc sous les paniers à ballon, ne voulant pas me casser plus la
tête… Enfin, je regagnais ma chambre, me déshabillais et plongeais sur mon lit,
nu, où je m’endormis profondément…
Je m’éveillais un peu avant l’heure.
Décidément, je prenais l’habitude de me lever tôt ! Assise sur mon lit, je me
remémorais les événements de la veille. Je ne sais ce qui se passait, mais
depuis que ma Maîtresse m’avait transformé en fille, je vivais enfin. Des gens
me regardaient, me désiraient, me touchaient… j’avais connus les joies de
l’amour… honnêtement, je n’avais qu’une envie, c’est d’avoir une bonne rasade
de sperme chaud en bouche… rien que d’y penser, mon ventre se contractait, mon
petit sexe se cabrait, et ma langue passait sur mes lèvres. Sperme = plaisir,
c’était bien vrai… Aujourd’hui l’assureur venait nous voir, et j’étais prête à
lui sortir le grand jeu ! Surtout que maintenant je connaissais les joies du
sexe anal, plus rien ne m’empêcherait de servir ma Maîtresse et ses intérêts…
Je pris le temps de me faire
belle, bain, maquillage, vernis (et même sur les ongles des doigts de pieds).
Je choisis un slip en dentelle rouge, avec des petits nœuds sur les côtés, et
le soutien-gorge assorti, rouge, aussi avec des dentelles, et un petit nœud
entre les bonnets. Je mis des bas noirs, très foncés, des bas élastiques. Puis
remis ma robe, mon tablier, ma coiffe.
Je me rendis chez ma maîtresse,
qui m’attendait dans la salle à manger. Elle n’avait pas mis sa robe de chambre
cette fois, elle était en nuisette, une belle nuisette style satin, de couleur
bleu nuit. Elle relisait les contrats d’assurance et prenait des notes. Je lui
apportais son petit-déjeuner, déposais le plateau sur la table, puis
directement, je passais sous la table. Je voulais lui montrer qu’elle était ma
maîtresse, et en faire mon rituel du matin. Faisant semblant de rien, toujours
lisant en grignotant un toast, elle décroisa et ouvrit grand les jambes.
Je m’approchais. Pas de bosses
visibles, il y en a un qui devait encore dormir ! Je soulevais doucement le bas
de la nuisette, découvrant le haut de ses cuisses et son sexe, lové entre ses
jambes, au repos. Posant ma tête sur sa cuisse, je commençais à lécher le bout
du sexe. Coup de langue après coup de langue, son gland apparut, tandis que son
sexe prenait doucement vigueur… je mis sa tête en bouche, puis sa hampe, encore
un peu molle… mais plus pour longtemps !
Le contact de ma bouche chaude et
humide raffermit bien vite son mandrin… je la fis bander par ma bouche, la
suçait en m’appliquant particulièrement, jusqu’à ce qu’elle explose dans ma
bouche, la remplissant de son délicieux sperme. Puis je nettoyais bien son
membre qui doucement se rendormait, avant de sortir de sous la table et de
continuer à vaquer à mes occupations, comme si de rien n’était…
Je passais la matinée à la corvée
lessive, puis à d’autres tâches ménagère. L’après-midi, je faisais du rangement
et du classement dans le bureau de ma Maîtresse, lorsqu’elle entra, accompagnée
de deux messieurs. Le premier, je le connaissais, c’était M. Striker. Il me fit
une petite œillade en entrant. Je ne connaissais pas le second. Il était assez
grand et fort enveloppé, avec une grosse barbe, on aurait dit le cliché du
camionneur… mais je devinais qu’il s’agissait de l’assureur. Lui regarda assez
longuement mes jambes gainées de noir.
L’assureur s’installa dans le
canapé, M Striker pris un siège, de l’autre côté de la table basse, en face de
l’assureur. Ce dernier parlait d’une voix assez grave.
-
Oui, d’accord, mais je ne comprends pas le but de cette
entrevue. L’assurance n’interviendra pas, quoique vous me disiez. J’en suis
désolé, je me doute que c’est important pour l’école, mais les règles…
-
Et si on prenait un café avant de discuter, cela vous
dit ? fit M. Striker.
-
Ah, je ne dis pas non, répondit l’assureur, j’ai eu une
matinée chargée, un petit café ne serait pas de refus.
-
Je m’en occupe, fis-je, en passant devant eux et en
quittant la pièce.
Tandis que je me dirigeais vers
la porte, je sentis les regards des deux hommes sur mes jambes et mon derrière.
Je me rendis aux cuisines, où le café avait déjà été fait, mis tout ce qu’il
fallait sur un grand plateau, et revint dans le bureau de Mrs. Benson. Je
remarquais tout de suite qu’elle avait quitté la pièce, cette fois je ne savais
sous quel prétexte. M. Striker tenait en main le contrat qu’elle avait annoté
au matin, essayant en vain de discuter sur l’interprétation d’un article qui
pouvait jouer en notre faveur. Mais l’assureur restait obstiné.
Je déposais le plateau sur la
table, et passais devant M. Striker pour servir son café. Je me baissais en
remplissant sa tasse, lui permettant d’admirer mon slip rouge. Puis je fis le
tour de la table, et pris la même pose devant l’assureur. Bougeant mon popotin
de gauche à droite, lascivement, je devinais les yeux de l’assureur s’ouvrir
tout grand, son rythme cardiaque s’accélérer, je l’entends déglutir…
-
Vous allez voir, fit M. Striker, son café est…
stimulant…
-
Aaaaaah ça, pour voir, je vois !
Je continuais sans aucune pudeur,
sentant sa respiration sur le haut de mes cuisses… puis je me penchais un peu
plus pour prendre le lait, lui donnant une vue encore meilleure sur mon
arrière-train. Il déglutit encore, sa respiration s'accélérant. Je faisais mon
petit effet !
-
Oui, je vois… mais… on peut toucher ?
-
Faites donc !
Je restais penchée devant lui, et
il commença à me caresser l’arrière-train. Ses mains passèrent sur mon slip,
puis sous le slip, ses grosses mains directement sur mes fesses… puis il quitta
mon slip, et ses mains cherchèrent à monter vers ma poitrine… Pour l’aider, je
m’assis sur lui, mon derrière juste sur son entrejambe, et je bougeais
lascivement, caressant la bosse qui apparaissait dans son pantalon en toile
avec mon cul en feu. Ses mains caressèrent ma poitrine, le soutien push up
faisant effet…
-
Elle remue bien, mais elle n’a pas beaucoup de poitrine
!
-
Elle a d’autres atouts, fit M. Striker en souriant.
Il s’approcha de nous, la
braguette ouverte et son sexe sorti, à moitié bandé. Il se mit face à moi, et
je plongeais sur cette verge offerte, léchant la hampe, le gland, jusqu’à ce
qu’elle prenne vigueur, puis la mis en bouche et commença à le sucer…
-
Mmmm… elle est divine, quelle suceuse ! Allons Aline,
montrez à notre invité vos talents !
Son sexe sortit de ma bouche,
luisant de ma salive. Je me retournais, me mis à genoux par terre, entre les
jambes de l’assureur, et commençais à déboutonner son pantalon, descendre sa
braguette, sortir son mandrin de son caleçon… Il avait une queue assez moyenne de
taille, mais d’une telle épaisseur ! Je la mis en bouche sans hésiter, allant
et venant sur son membre de plus en plus dur dans ma bouche, tellement gros que
je sentais la salive couler par la commissure de mes lèvres… son gros ventre me
gênait un peu, mais j’essayais de lui faire passer un moment divin sans trop le
gêner…
Pendant ce temps, M. Striker
s’agenouillai derrière moi, et releva ma robe dévoilant mon slip rouge en
dentelle. Il caressa mes fesses, les fit rebondir dans ses mains, tapota
dessus, puis descendit doucement ma petite culotte, sans que je puisse réagir…
j’étais tellement concentré sur l’épaisse bite de l’assureur, sur son plaisir,
que je ne pensais plus au reste… M. Striker admira mes fesses qui se révélaient
à lui, la culotte passa la mi-fesse… puis le trois quart des fesses… L’homme
m’embrassa les fesses, sa langue passe d’une fesse à l’autre… il finit de
baisser la petite culotte, qui finit en glissant le long de mes cuisses… mes
petite boules, libérées, se laissèrent pendre, bien visible, ainsi que mon
petit sexe bandé… C’est à l’hésitation de M. Striker que je réalisais ce qui
venait de se passer…
-
Oh, ça alors ! Mais tu es… quelle surprise ! Mrs.
Benson le sait ? Rhoooo petite coquine ! Et bien ça alors !
Je décidais de faire semblant de
rien, continuant à sucer l’assureur qui ahanait dans le fauteuil, trop occupé à
son plaisir pour faire attention à la découverte de M. Striker… Ce dernier
restait fort étonné, et ne bougeait plus, essayant de trouver un sens à tout
ça. Il fallait que je fasse quelque chose avant qu’il ne se refroidisse.
J’arrêtais de sucer l’assureur, je le branlais doucement, en plus ainsi il ne
viendrait pas trop vite, et en profiter pour relever un peu plus mes fesses,
les faire tournoyer devant M. Striker. Comme il hésitait encore, je frottais
son membre qui commençait doucement à débander avec mon derrière, le faisant
aller et venir contre mon sillon… la chaleur de ma peau, la vue lascive de mon
derrière qui balançait doucement, de son pénis qui glissait le long de mon
sillon lui redonna vigueur.
-
Oh après tout, ma femme ne veut pas que j’utilise ce
trou là…Moi je suis pour les nouvelles expériences !
Il mit ses mains sur mes hanches,
et fit lui-même glisser son sexe le long de mon sillon, puis il écarta mes fesses,
et frotta son gland contre mon anus. Son pré-sperme qui mouillait mon petit
trou remplissait mon ventre de fourmis… comme j’avais envie d’être fourré ! M.
Striker combla mon vœu et mon trou. Son gland pénétra mon anus, puis sa hampe
entra en moi, centimètre par centimètre… Je soupirais d’aise, puis put
retourner à ma fellation. M. Striker me fourrait le cul avec vigueur, tandis
que l’épaisse bite de l’assureur me remplissait à nouveau la bouche. Je le
suçais avec autant de vigueur que la verge qui allait et venait dans mon cul…
-
Oh, ce qu’elle est bonne ! Je vais jouir…
-
Moi aussi… moi aussi…
M. Striker tira sa verge de mon
cul, et se leva. Ancien connaisseur de film porno, je savais ce qu’il voulait.
J'arrêtais donc de sucer l’assureur, dont la bite se cambrait dans ma bouche,
et me reculait, toujours sur les genoux. Je regardais les deux hommes, la
bouche grande ouverte. M. Striker se releva et se mit sur ma droite, se
masturbant doucement, l’assureur vint sur ma gauche… L’assureur vint en
premier, des jets de sperme s’envolant et venant atterrir dans ma bouche, puis
sur mon visage. M. Striker approcha sa bite de ma bouche, et éjacula
directement sur ma langue, puis sur ma joue… D’autres jets de sperme se
succédèrent, j’en avais dans les cheveux, sur les joues, dans et sur la bouche…
J’avalais et léchais ce que je pouvais du sperme sur mon visage, puis ils me
présentèrent leur sexe pour que je les nettoie bien…
Puis ils se rhabillèrent tous les
deux, prirent leur café, faisant comme si je n’existais plus. L’assureur prit
le contrat d’assurance dans ses mains.
-
Bon on va réexaminer ce paragraphe alors. Je pense
qu’il y a peut-être moyen de faire quelque chose pour vous. Mais il faudra que
je revienne… faire des recherches profondes… approfondies, voulais-je dire…
-
Oui, oui, je comprends que vous deviez approfondir la
chose. Vous êtes toujours le bienvenu, Mlle Aline vous accueillera toujours
avec plaisir.
Je me levais, les saluais, et
contente de moi me dirigeais vers ma chambre. Il fallait que je me douche,
avant que des élèves ne puissent deviner au sperme qui me maculait ce qui
s’était passé dans le bureau de la directrice. Elle me rattrapa devant la porte
de ma chambre.
-
Tu ne préférerais pas un bain plutôt qu’une douche ?
Je lui souris. Elle me prit par
la main, et m’accompagna dans sa salle de bain, là où tout avait commencé. Elle
fit couler le bain pendant que je me déshabillai. C’est ensuite avec plaisir
que j’entrais dans la grande baignoire, qui faisait tout le coin de la pièce.
L’eau chaude me fit un bien fou ! J‘étais tellement bien que je ne vis pas que
ma Maîtresse se déshabillait. Les yeux fermés, je me laissais aller lorsqu’un
léger clapotis me fit sursauter. J’ouvris les yeux.
Elle était là devant moi, nue,
ses seins généreux face à moi, son sexe dressé. Ce qu’elle était belle ! Elle
terminait une tresse en souriant, puis se laissa glisser dans l’eau, en face de
moi. Je sentis ses pieds glisser le long de mes jambes, ses jambes contre les
miennes. Son sexe ne débandait pas, j’étais sûr qu’elle avait de nouveau tout
vu ! Son sexe bandé que je voyais à travers l’eau translucide fit de nouveau
palpiter mon bas ventre… elle était si belle, et sa verge m’excitait tellement
! Je lui souris et m’approchais d’elle. Je mis ma tête dans son cou et commença
à embrasser son cou gracile, ses épaules, de nouveau son cou, le bas de ses
oreilles…
Sa tête partit en arrière, sa
respiration s’accélérait. Je sentais sa verge qui se balançait dans l’eau,
tapotant mes fesses… je la voulais en moi, maintenant ! Je relevai un peu mon
bassin, elle se positionna mieux, mes jambes purent enserrer sa taille, mon
derrière flirtant avec son sexe bandé… sous l’eau, elle plaça son gland sous
mon petit trou, et je n’eut plus qu’à me laisser glisser le long de cette verge
tendue, de m’empaler sur elle… Rhaaaa quel bonheur ! La verge de ma maîtresse
qui me pénétrait, qui s’enfonçait en moi… je m’empalais sur elle, mon cul
avalant tout son sexe ! Elle râla de plaisir, sa verge serrée par mon chaud
intérieur… nous restâmes un moment comme ça, puis elle mit ses mains sous mes
fesses, et commença à me faire coulisser sur sa verge, agitant l’eau du bain…
Mon visage était au niveau de son
cou, de ses seins… je plongeais dessus, les léchais, les embrassais, suçant ses
tétons, et tant pis si j’avalais un peu d’eau en même temps… faut dire que les
vas et viens devenaient de plus en plus rapide. Sa verge s’enfonçait en moi de
plus en plus vite de plus en plus loin… Le clapotis de l’eau s’accéléra, de
l’eau giclant sur le parquet, hors de la baignoire. Je jouis dans l’eau, contre
son ventre, tout en lui suçotant le mamelon… Soudain elle cria, s’enfonçant
dans mes tréfonds, et déversa sa sève chaude en moi… Je sentais ce nectar me
remplir, et un peu de sperme s’échappa de mon petit trou pourtant encore rempli
de sa verge, sinuant dans l’eau du bain… Elle reprenait son souffle, je sentis
son sexe débander doucement… puis après quelque minutes sortir de moi, avec
encore du sperme qui sortir de mon anus, semblant nager joyeusement dans l’eau du
bain… Je me sentais encore très excité, et je sentais qu’elle l’était aussi.
Je plaçais donc mes mains sous
son derrière, le relevant doucement. Pour me faciliter la tâche, elle releva
son bassin, son sexe sortant de l’eau. Je le léchais, le pris dans ma bouche le
suçait. La pose n’était pas facile pour elle, elle s’assit donc sur le rebord
de la baignoire, les jambes écartées. Je léchais son sexe, puis choisis de
descendre vers ses testicules, que je léchais, suçotais. Puis ma langue se
promena entre ses testicules. Puis elle passait dessous. Ma langue s’insinua
dans son sillon… j’embrassais ses fesses, léchai le sillon, puis ma langue
tournoya sur son anus… elle se cambra, relevant les jambes. Ma langue tournoya
plus fort, s’introduisit dans son petit trou.
Elle gémit de plaisir, et ma
langue tournoya dans son petit trou, tournant, léchant, pénétrant… son sexe
commençait à se redresser… contente de moi, je le suçais un peu, avant de
retourner dans la baignoire, à quatre pattes, lui présentant ma croupe. Elle se
mit derrière moi, sur ses genoux, écarta mes fesses et enfonça sa bite dans mon
cul, jusqu’à la garde ! Ses mains sur mes hanches, elle me lima le cul, allant
et venant, créant une tempête sur l’eau du bain, les clapotis de plus en plus
fort, de plus en plus d’eau giclant hors de la baignoire. L’eau tiédissait
doucement, pas notre passion. Pour la seconde fois elle jouis en moi, tandis
que j’avais éjaculé deux ou trois fois dans le bain…
Nous étions essoufflé, mon petit
trou était béant, pleins de petits poissons blancs de sperme nageaient dans
l’eau… Nous nous sourîmes puis éclatèrent de rire. Mes jambes flageolaient et
elle dû m’aider à me lever. Nous dûmes prendre une douche, pour être tout à
fait propre, puis j’allais souper au réfectoire, avant de retourner dans ma
chambre. J’eus une nouvelle et passionnante vidéo éducative, ou des filles
comme moi servaient des groupes, se faisaient prendre par beaucoup de personne,
puis eu quelques épisodes de ma série préférée. Je m’endormis ensuite, repus de
sexe et le sourire aux lèvres…
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