Le lendemain matin, je
m’éveillais un peu avant 6h00, avant le réveil. C’était devenu une habitude. Je
n’aurais jamais cru cela possible avant ! Après une douche, je m’occupais de
mes cheveux, de mon maquillage. Puis j’enfilais un slip boxer, des bas, le
soutien, la robe, le tablier et la coiffe. Et j’allais porter le plateau
déjeuné à ma Maîtresse, qui lisait son journal dans la salle à manger. Comme
chaque matin, je déposais le plateau devant elle. Elle me gratifia d’un
sourire, puis replongea dans la lecture du journal. Moi, je plongeais sous la
table, impatiente de retrouver mon rituel du matin.
Elle portait un pyjama rose en
satin, très seyant. Je devinais son sexe, très visible, déformant le satin, le
long de sa cuisse. Je m’approchais de lui, le léchant par-dessus le tissu… Sa
main passa sous la table, me caressant gentiment les cheveux. Puis elle passa à
son entre-jambe, et sorti son sexe du pyjama. Il était à demi bandé, je
l’enfournais bien vite dans ma bouche, où après peu de temps il retrouva toute
sa dureté. Je la suçais du mieux que je pus, et dans un soupir de satisfaction,
elle vint dans ma bouche, son nectar tout chaud descendant dans ma gorge… que
j’aimais cette sensation !
Tandis que je me redressais, elle
me tendit un paquet.
-
Tiens Aline, j’ai un cadeau pour toi.
Je la remerciais, et pris le
paquet. Je l’ouvris, c’était une boîte à chaussure. A l’intérieur, de superbes
escarpins, noirs, vernis,… avec un talon de 10 cm !
-
Tu devras t’entraîner au début, mais je suis sûre que
tu aimeras.
-
Oh, merci Maîtresse, merci beaucoup ! Je vais les
essayer tout de suite !
Je me débarrassais de mes
escarpins avec les talons plus petits, et passais les nouveaux. Pour la
pointure c’était parfait ! Par contre pour marcher… pas évident du tout ! Je me
promis de les mettre tous les jours un petit peu, jusqu’à ce que je marche
normalement avec. Je clopinais jusqu’à ma chambre, sous le regard amusé de ma
maîtresse, où je rechangeais de chaussures.
Je passais la matinée à faire le
ménage, et l’après-midi je travaillais au bureau de ma maîtresse, classant des
papiers tandis qu’elle s’occupait de la comptabilité de l’école.
Au milieu de l’après-midi,
quelqu’un frappa à la porte. Elle leva la tête, et dit « Entrez ! » d’une voix
forte. La porte s’ouvrit et M. Striker entra.
-
M. Striker ? Je ne vous attendais pas aujourd’hui…
-
Bonjour Mrs. Benson, non, je sais, nous ne devions pas
nous voir, mais je voulais en personne venir vous apporter la bonne nouvelle…
l’assureur accepte de payer ! J’ai téléphoné aux membres du Conseil
d’administration, nous nous réunirons ici, après-demain.
-
Ici ? Ce… ce n’est pas habituel… d’habitude, on se
réunit ailleurs…
-
Je sais, je sais, mais ici ce sera mieux. Pour parler
de l’école, des nouveaux fonds à récolter… et nous pourrions leur présenter
votre excellente soubrette !
-
Mais… mais… vous rendez-vous compte ! Ces membres
honorables de notre ville ! Vous voulez qu’ils crient au scandale !
-
Ah, ah, ah… honorable ? Mrs. Benson, on voit bien que
vous ne sortez pas souvent de votre école. Ces gens sont riches, très riches.
Et dépravés. Très dépravés. Comment croyez-vous que s’amusent ces gens de la
haute ? Orgie, esclave sexuel, et j’en passe. Le champagne, l’argent, les putes
et d’autres substances que je ne citerais même pas devant vous s’échangent à
flot lors des fancy fair de Mrs. Knowling ! Vous croyiez vraiment qu’il
s’agissait de soirée mondaine et de bingo de charité ??? Ah, ah, ah, je n’en
crois pas mes oreilles ! Vous ne le saviez pas ??? C’est trop drôle ça !
-
Mrs. Knowling ?! Je n’aurais jamais cru…
-
Allons, pas de naïveté mal placé. Ces gens sont riches
et dépravés. Nous avons un moyen d’en profiter… pour l’école bien sûr !
Mrs. Benson fronça les sourcils.
-
Pas question ! Mon école n’est pas un… un lupanar !
Un silence pesant s’installa. Je
suivais discrètement la conversation, vu qu’on parlait – entre autre chose – de
moi. Et la dépravation des notables de la ville n’étais pas un si grand secret
que ça. Les parties fines de M. le Maire, les prostituées arrosées de champagne
et de coke, les élèves s’en gaussaient depuis longtemps. Et j’avais entendu des
rumeurs bien plus salaces que celles-là ! Mais maintenant, je comprenais
pourquoi Mrs. Benson ne sortait jamais, et ne se mélangeait pas à ces fêtes.
Elle voulait garder secret ce qu’elle avait entre les jambes… ayant peur de
m’exciter en pensant à son sexe, si dur, si beau, je finis de classer les
derniers papiers.
Mon classement étant fini, je me
levais pour ranger mon classeur dans l’armoire ad hoc. Puis j’allais sortir de
la pièce et les laisser discuter lorsque M. Striker m’attrapa par le bras et
m’attira à lui.
-
Votre école n’est pas un lupanar, mais vous avez aussi
vos secrets, Mrs. Benson !
-
Que voulez-vous dire ? Et lâchez ma soubrette, s’il vous
plaît !
-
Parlons-en de votre soubrette…
Avant que je ne puisse faire quoi
que ce soit, sa main passa sous ma jupe… Il caressa mon slip boxer, à
l’entrejambe… ce qui fit gonfler évidemment mon petit sexe… Son autre main
soulevait le bas de ma robe, pour que Mrs. Benson puisse voir ce qu’il faisait…
soudain, d’un geste brusque qui nous surpris toutes les deux, il baissa mon
slip, qui s’enroula sur mes cuisses… On pouvait voir la lisière de mes bas
noirs élastiques, le slip boxer tire-bouchonner, mes petites boules glabres et
mon petit sexe, pointé vers la main de M. Striker, attendant une autre caresse…
Mrs. Benson et moi écarquillâmes les yeux en même temps. J’avais oublié qu’il
avait vu mon secret, lorsque l’assureur était venu…
-
C’est assez étrange, non ? Moi ça m’a étonné la
première fois… mais je suppose que vous le saviez, n’est-ce pas ?
-
Je… Je…
-
Vous me devez une explication Mrs. Benson ! Et je ne
quitterai pas le bureau avant de savoir le fin mot de l’histoire !
Il s’assit sur la chaise, face au
bureau de Mrs. Benson. Livide, elle se laissa tomber dans son fauteuil…
-
Mais… je…
-
Je veux toute l’histoire !
En parlant, il ouvrit sa
braguette, et sortit son membre bandé. Je ne pouvais détourner mon regard,
attiré par ce pieu de chair pointé vers moi… Fermement, il me fit
m’agenouiller, et amena ma tête vers son sexe… il n’en fallut pas plus pour que
je commence à le lécher, et, attiré par son odeur mâle, virile, pour que je
l’engouffre en bouche… et commence à le sucer…
-
Parce que vous avouerez… mmmmm… même si ce n’est pas un
lupanar…. mmmm… il ou elle est très volontaire… mmmmmm… et très douée…. pour ce
genre de chose…. aaaaah…..
Mrs. Benson regarda un peu ma
tête qui allait et venait sur ce sexe bandé, puis hocha la tête. A quoi bon
mentir maintenant ?
-
Vous vous souvenez d’Alain, l’homme à tout faire ?
Celui qui faisait gaffe sur gaffe et qui a cassé ce matériel informatique… En
fait tout a commencé par une discipline que je voulais lui donner, ensuite ça
c’est enchaîné…
Et tandis que je le suçais, elle
lui raconta la transformation, comment j’étais obéissante, comment elle m’a
appris pour les vêtements, les cheveux, le rasage, le maquillage… comment elle
avait trouvé les vidéos éducatives sur internet, le conditionnement, mais
comment aussi j’étais transformée, radieuse, efficace, et heureuse. Cette
réussite lui avait donné envie d’essayer de l’appâter lui, pour qu’il soit plus
conciliant, grâce à mes charmes. Puis comment tout s’était enchaîné avec
l’assureur… Elle n’omit que son secret et nos petits rituels. Sinon elle lui
raconta tout. A la fin de son récit, il enfonça son sexe dans ma bouche et
éjacula, son sperme chaud me remplissant la bouche, avant que je ne l’avale.
Puis il regarda Mrs. Benson dans les yeux…
-
Vous rendez-vous compte de ce que vous avez fait ???
-
… … … *soupir* … Je sais c’est mal. Très mal. Vous
allez avertir les autorités je suppose…
-
Mais pas du tout !!!
Il me repoussa gentiment et
rangea son sexe dans son pantalon, refermant vite la braguette, puis se leva.
-
Ce que vous avez fait est extraordinaire ! Enfin,
rendez-vous compte ! Un raté, un moins que rien – il se tourna vers moi –
désolé Aline, mais bon, tu avoueras, ce n’était pas fameux avant. Et maintenant
regardez ! Une jolie fille obéissante, disciplinée, docile. Heureuse et
épanouie. Et une bombe sexuelle ! Même moi, qui pourtant suis hétéro, elle
m’attire. Pour tout dire, en venant ici, j’avais envie de mon sexe dans sa
bouche. Et son petit cul est divin. Ce que vous avez fait, c’est un miracle !
-
Mais… mais…
-
Mais oui, regardez-là. Elle est fantastique. Et c’est
grâce à vous ! Vous rendez-vous compte du potentiel que cela peut avoir ?
Offrir une seconde chance à des loosers, qui en tant que garçon ne valent rien.
Qui n’ont aucun avenir en tant qu’homme… mais en tant que femme… vous les
transformez en bombe sexuelle, et en faites du personnel de maison obéissant et
soumis, pour gens riches et dépravés… bien sûr vous ne donneriez cette
‘formation éducative’ qu’au sein de l’école, un à la fois uniquement, et très discrètement,
et ce pour une clientèle triée sur le volet !
-
Mais c’est dégoûtant ! C’est une forme d’esclavage !
-
Bien sûr pas question de forcer ces loosers à suivre
votre ‘formation’. Il faut des volontaires. Ceux qui veulent une seconde
chance. Regardez Aline. A-t-elle l’air malheureuse ? Esclave ?
-
Mais et l’éthique ?
-
Avez-vous pensé à l’éthique en transformant Alain en
Aline ?
Mrs. Benson reçut cet argument
comme on reçoit un uppercut en plein visage. Je ne savais trop que faire,
comment me mettre.
-
Je suis sûr que le conseil d’administration comprendra
le potentiel. Avec les fonds que nous récolterons, vous pourrez équiper cette
école comme vous le voulez, et elle deviendra vite la première école du pays !
Et pensez à combien de loosers vous pourriez donner une seconde chance ! Je
dois y aller, je vous laisse jusqu’à la réunion du conseil d’administration
pour y réfléchir !
Il me tapota gentiment les
fesses, puis sortit. Je regardais ma maîtresse qui semblait pensive. Elle resta
ainsi perdue dans ses pensées quelques minutes, puis ses yeux se posèrent sur
moi. Elle se leva de son fauteuil, et s’assit sur le coin de son bureau. Elle
releva sa jupe, baissa sa culotte, et m’exhiba son sexe, tout bandé. J’accourus
aussitôt, sans qu’elle ne dise rien, et commença à le lui lécher. Ses
testicules d’abord, sa hampe, son gland ensuite. Puis je le mis en bouche, et
le suçais avec délectation…
-
Tu as vraiment l’air d’aimer ça. Tu n’es pas
malheureuse, hein Aline ?
Je fis non de la tête, continuant
à aller venir le long de son sexe dur, qui me remplissait la bouche. Puis elle
me poussa, je tombais à la renverse.
-
Si tu es heureuse, dévoile ta croupe, et offre-là à ta
maîtresse !
Elle avait pris un ton rude. Sans
doute voulait-elle voir si je lui obéissais vraiment, même quand elle était
rude, agressive ? Mais mon unique souhait était de contenter ma maîtresse ! Je
me penchais donc sur le bureau, relevais ma robe, et lui offrit ma croupe. Mon
slip étant toujours tire-bouchonné à mi-cuisse, elle avait une vue splendide sur
mes fesses. Fesses que j’écartais de mes mains pour lui offrir mon petit trou.
Elle approcha son sexe, mouillé de ma salive, et le frotta contre mon anus. Il
palpitait d’envie, d’être rempli par elle. Elle pressa son gland contre mon
anus, et l’y enfonça, puis la hampe… elle me prit sauvagement, durement, mais
que j’aimais être dominé ! Bien sûr c’était un tout petit peu douloureux au
début, mais bien vite le plaisir remplaça la douleur. J’éjaculais même sur le
sol alors qu’elle vint en moi, déversant son foutre chaud dans mon rectum. Elle
sortit ensuite son sexe, et me caressa doucement les fesses…
-
Oui, tu aimes vraiment contenter ta maîtresse, hein, ça
te rend heureuse… je pourrais donner cette chance à d’autres, chance que la
nature ne m’a pas laissée à moi. Considérée comme un monstre parce que j’ai un
corps de femme, mais un appareil génital d’homme. Ce serait une belle revanche
sur la nature. Transformer des bons à rien en bonnes en tout…
Elle me donna une claque sur les
fesses, sa décision prise.
-
Bien Aline, tu lécheras le sperme sur le sol, comme
d’habitude, puis tu iras te laver. Et ne sois pas en retard au souper !
Elle se rhabilla et quitta la
pièce, me laissant pantelante sur le bureau, du sperme s’écoulant doucement par
mon anus. Je souriais béatement et avais des papillons dans le ventre… quel
pied !
Le lendemain matin, après avoir
servi le petit déjeuné à ma Maîtresse, et lui montrer que je savais marcher
avec mes escarpins aux talons de 10
cm , et avoir goûter à son nectar matinal, je me dirigeais
vers le réfectoire pour mon petit déjeuner. Après l’avoir pris, je quittais le
réfectoire pour retourner à mes occupations, quand une main se saisit de mon
bras et me tira à l’écart, dans le renfoncement entre le mur et la double porte
du réfectoire… Danny ! Je l’avais complètement oublié celui-là ! Il m’embrassa
à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne. Hésitante, je lui rendis son
baiser, et laissa sa langue entrer dans ma bouche, pour se mélanger à la
mienne…
-
Aline… je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi…
putain, ce que tu m’excites…
Il prit ma main, et la posa sur
son jeans, sur son entrejambe. Je sentis la bosse formée par son sexe en
érection…
-
Tu sens ? Voilà ce que tu me fais ! Il faut que je te
baise encore, sinon je vais exploser !
Sa vulgarité et son assurance
commençaient à me courir sur le haricot. Je me décollais de lui et cherchais le
surveillant des yeux, pour l’appeler au secours… et je vis qu’il était à
l’autre bout du réfectoire, occupé par les deux acolytes de Danny qui
retenaient son attention. Danny avait tout prévu…
-
Je te veux maintenant, ici !
Il me tira à nouveau dans le
renfoncement, plus fortement… il n’allait quand même pas me violer ici, dans le
couloir ??? Je voulus me dégager, mais il était plus fort que moi, et me
maintenait contre lui. Il m’embrassa à pleine bouche, et sa main passa sous ma
robe, caressa mes fesses, par-dessus mon slip en dentelle noire, qui couvrait
toutes mes fesses, étant transparent derrière et avec de jolies dentelles sur
l’avant… Sa main caressa, puis passa sous le slip, palpa mes fesses, puis mes
hanches, avant de passer sur l’avant… Catastrophe ! Et j’étais bloquée je ne
savais pas l’empêcher ! Sa main se posa sur mon entrejambe, cherchant une fente
humide… mais ne rencontra qu’un petit zizi qui devenait raide…
-
QUOI ??? MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CE BORDEL ???
Il eut un mouvement de recul,
sortant prestement sa main de mon slip. Il était devenu tout rouge dans son
visage… Je ne pus que bredouiller un « désolé ! »…
Puis je vis le reste comme au
ralentit : son poing fermé projeté vers mon visage, qui rencontre ma joue… Un
choc, une douleur, ma tête part en arrière, puis mon corps… déséquilibré par
les 10 cm
de talon, je tombe en arrière… ma tête cogne le mur… puis le noir total…
Une forte odeur d’ammoniac et
d’urine me fit ouvrir les yeux… Ma tête me tournait un peu, mais ça allait. Je
reprenais petit à petit mes esprits. Mais où étais-je ? Je connaissais ces
carrelages blancs, ce tuyau devant moi où mes mains étaient attachées…
attachées ? Soudain tout me revint en mémoire ! Danny, sa main dans mon slip,
son coup de poing… et maintenant, sa vengeance ?
J’entendis un bruit dans mon dos,
mais je n’arrivais pas à me retourner… puis, quelque chose de chaud et de dur
contre mon anus… qui le pénètre doucement… puis la hampe… mmmm que j’aimais
cette sensation d’avoir le cul rempli par une bite ! Cela me fit reprendre
totalement mes esprits... Où étais-je ? Dans les toilettes du rez-de-chaussée
de l’école. Plus exactement dans un urinoir des toilettes du rez-de-chaussée.
Je les connaissais bien, je les ai utilisés souvent dans mon ancienne vie…
J’étais plus ou moins assis dans l’urinoir, face au mur, mes mains attachées au
tuyau. Mes pieds semblaient aussi attachés car je ne pouvais donner de coup de
pied, ni les bouger au-delà d’un certain mouvement. Je sentis le gars qui me
sodomisait éjaculer dans mon cul dans un râle de plaisir. Je voulus lui parler,
mais ma bouche était comme collée… un sparadrap ! Ils avaient collé un
sparadrap sur ma bouche ! Le sexe se retirait de mon cul, laissant un vide en
moi… j’entendis le bruit d’une porte qui se ferme…
Après quelques instants, la porte
se rouvre… je sens une présence derrière moi, j’entends quelques bruits… puis
un nouveau gland se présente devant mon petit trou… avant de le pénétrer… han,
il est plus brutal que l’autre ! Tandis qu’il me ramone, je me fais la
réflexion que je ne sens pas le froid de l’urinoir contre mes fesses ou le haut
de mes cuisses, sauf lorsque le gars qui me ramone me fait bouger un peu plus
violemment sur l’urinoir… donc je dois avoir encore mes bas et ma petite
culotte… sans doute ont-ils coupé ou déchirer l’arrière de mon slip
transparent, au niveau de mon sillon… Un râle, du sperme chaud qui se déverse
dans mon rectum, la verge qui se retire de mon cul… Le bruit de la porte. De
nouveau le bruit de la porte, une autre bite qui se présente à mon cul, qui me
ramone… et ainsi de suite… après une dizaines de gars, le sperme s’écoule de
mon cul tout remplis, coulant dans l’urinoir, sur le sol… Un des gars s’est
retiré juste avant de venir, pour pouvoir éjaculer sur mes cheveux, sur mon
cou…
Je suis humiliée et dominée. En
même temps j’ai un peu honte, mais en même temps la situation m’excite au point
que je suis déjà venue trois ou quatre fois, éjaculant dans mon slip, le
maculant de sperme… Je passais certainement plusieurs heures sur cet urinoir,
me faisant sodomiser pendant tout ce temps, éjaculant un nombre incalculable de
fois, jusqu’à ne plus pouvoir éjaculer, perdant le compte des bites qui me
bourrèrent le cul, qui éjaculèrent en moi ou sur moi… J’étais dans un état
quasi orgasmique permanent, lorsque des voix se firent entendre dans le
couloir, des bruits de course, puis la porte qui s’ouvre violemment.
-
Mais enfin, que se passe-t-il ici ?
C’était le surveillant ! Sans
doute avait-il été alerté par les va-et-vient entre les classes et les
toilettes, ou a-t-il surpris une conversation entre des élèves… toujours est-il
qu’il est là. Je le sens mâter mon cul… les orgasmes à répétition m’ayant fait
saliver, baver, je sens le sparadrap plus lâche, qui se décolle… je peux
marmonner un « au secours » plus ou moins compréhensible…
-
Mademoiselle Aline, que vous ont-ils fait !
Et il vient à mon secours,
enlevant (sans douceur) d’un coup le sparadrap qui est collé sur ma bouche,
puis détachant mes mains. Je ne tiens plus sur mes jambes, et retombe les
fesses sur l’urinoir… ce qui fait jaillir un petit jet de sperme de mon anus
légèrement béant… Le surveillant en devient rouge dans son visage, de honte ou
d’excitation ?, puis il m’aide à me relever. Je puis sur son épaule, et me
tenant par la taille, il m’amène à l’infirmerie. La pièce n’est pas grande, un
lit, une armoire à pharmacie fermée à clé, une table et une chaise… Le surveillant
m’aide à retirer ma robe, maculée d’urine, de sperme, et sentant les
désodorisants pour urinoir… puis il me laisse tomber sur le lit, dans un
grincement. Je tombe sur le ventre. Les jambes pendantes à moitié hors du lit.
Je sens encore son regard sur ma croupe, ma petite culotte noire, déchirée au
niveau de l’anus, mes fesses maculées de sperme… Je sens son regard, je sens
qu’il a envie lui aussi. Il n’est pas très beau le surveillant, il n’a pas un
bon caractère non plus. Mais il est seul, tout le temps seul. J’ai pitié de
lui. Je veux lui faire un cadeau. Alors, dans un dernier effort, je plie mes
jambes sous moi, pour me retrouver accroupi sur le lit, lui offrant ma croupe,
écartant légèrement mes fesses…
Il a compris, je le sens venir
vers moi… quelque bruit, de braguette ouverte ou de pantalon baissé, je ne sais
trop, je suis dans un état semi comateux. Puis sa pine qu’il frotte contre mes
fesses, le long de mon sillon, puis contre mon anus… Il le me pénètre
doucement, me remplissant centimètre par centimètre. Je suis étonné, je ne
l’imaginais pas capable d’une telle douceur. Puis il va et vient en moi, me
ramonant le cul, lui aussi, mais tout en me caressant les fesses, les cuisses,
avec une douceur qui dénote avec la vigueur de ses coups de reins en moi. Le
lit grince de plus en plus fort, au fur et à mesure que ses coups de boutoirs
s’amplifient. Je sens un orgasme monter, je suis au paradis, mais je ne suis
plus capable d’éjaculer… Et lorsqu’il vient en moi, mélangeant son sperme à
celui des dizaines d’élèves qui m’étaient montés dessus, je m’évanouis, un
sourire béat aux lèvres…
Je m’éveillais dans mon lit, nue.
Ma Maîtresse se tenait près de moi. Elle me caressait gentiment les cheveux.
-
Aaaaah tu es éveillée, tu te sens comment ?
-
Un peu mal à la tête, mais ça va.
-
Tu as une fameuse bosse à la tête, heureusement qu’il
n’y a pas eu de commotion ! Je me suis permise de te laver, ici, et j’ai mis de
la crème sur la bosse, pour apaiser la douleur. J’en ai mis aussi un peu sur
ton anus. Il doit être brûlant…
Je rougis.
-
Ce n’est pas ma faute, c’est…
-
Danny, je sais. J’ai interrogé des étudiants et ai pu
comprendre qu’il était derrière tout ça. Je l’ai convoqué dans mon bureau, et
il m’a tout avoué. On ne me résiste pas si facilement…
Je souris.
-
Tu lui as fichu une sacrée frousse, quand il a senti
ton pénis ! Mais il ne dira rien. C’est son silence sinon c’est le renvoi
immédiat. Après ce qu’il a fait ! Et interdiction de t’approcher. Il n’a pas
vraiment compris qui tu étais avant, mais il sait que tu es sous ma protection.
Et que s’il te touche encore, il est dehors ! Et le surveillant ? C’est lui qui
m’a prévenu que…
-
Il a été très gentil, il m’a secouru.
Elle hocha la tête.
-
Je me suis occupé de tes vêtements aussi… ta robe était
fichue, je l’ai jetée… pour ton slip… ce n’était plus qu’un tissu imbibé de
sperme… surtout vers l’avant… la torture n’a pas semblée si horrible que ça !
Elle sourit malicieusement, et je
rougis encore plus.
-
Je suis peut être venu une fois… ou deux…
Elle hocha encore la tête et
sourit, pas dupe.
-
Une fois ou deux, c’est ça… je crois qu’on va arrêter
les ‘programmes éducatifs’ ! Tu es suffisamment ouverte comme ça… d’esprit,
bien sûr ! Allez, repose-toi, maintenant, tu en as besoin !
Je dormis tout mon saoul, et le
lendemain j’eus droit à une journée de congé. Je restais en nuisette toute la
journée, dormant beaucoup, flânant dans ma chambre, regardant mes séries
favorites. Je me sentais bien vite en pleine forme, et mon rituel avec ma
Maîtresse me manquait déjà beaucoup…
Le lendemain était un grand jour,
celui du conseil d’administration. Après un bon bain peau douce, avoir fait mes
cheveux, je choisis un maquillage un peu plus accentué, et choisis un petit
string rose, juste un petit triangle de tissus dans lequel tenait mon sexe et
mes petites boules, le reste du slip étant constitué des ficelles, sur les
hanches et dans le sillon… le soutient aussi était réduit. Je mis des bas
résilles blancs, avec jarretelle assortie, ma robe de soubrette, tablier et
coiffe, et mis les chaussures à talon 10 cm . J’étais craquante et provocante à
souhait !
Ma Maîtresse devait déjà être à
son bureau, comme à chaque fois avant les réunions difficiles, car elle n’était
déjà plus dans son appartement. Je vaquais donc à mes tâches ménagères, mais
j’avoue que j’étais toute excitée et que j’avais difficile à me concentrer…
Comment allaient-ils me trouver ? Aurais-je droit à une bonne rasade de sexe ?
Comment cela allait changer mon travail ici ? Ma Maîtresse sera-t-elle contente
de moi ? Que j’avais hâte que cette réunion arrive !
Je dus attendre jusqu’aux
environs de 14h, lorsque le téléphone de service sonna. Au son de la sonnerie,
une boule se forma dans mon estomac… j’étais à la fois inquiète et excitée
maintenant ! Je répondis, puis raccrocha et me dirigeai vers le bureau de Mrs.
Benson.
J’entrais dans le bureau, et vis
que les fauteuils et la table basse du petit salon avaient été poussés dans un
coin, et qu’une table du réfectoire avait pris leur place. Mrs. Benson et M.
Striker étaient assis aux extrémités de la table, quatre autres personnes se
tenaient de chaque côté de la table. Il y avait trois hommes, tous avaient la
cinquantaine passée, et une femme, qui devait avoir une bonne quarantaine
d’année. Ils étaient tous habillés chics, avec des vêtements de marque. Une des
hommes étaient le maire de la ville, les autres devaient être des notables
important, cela se voyait tant à leur mise qu’à leur maintien.
-
Ainsi donc, voilà cette fameuse Mademoiselle Aline !
Le maire me dévisageait de la
tête aux pieds. Il avait une bonne cinquantaine, des cheveux gris, le teint
très halé. Comme M. Striker, il portait un costume, pantalon et veston, une
chemise ouverte sur une grosse chaîne en or… une grosse montre – certainement
une Rolex – et une grosse chevalière en or complétaient la mise
ostentatoirement luxueuse de notre Maire, fort connu pour son goût pour le
luxe.
-
Elle a l’air, vraiment jolie. Approchez, mon enfant.
Le second monsieur était plus
vieux, peut-être même devait-il avoir la soixantaine. Ses cheveux étaient
blancs, et il avait une grande barbe blanche. Le troisième semblait plus jeune,
malgré ses cheveux noirs tirant sur le gris, sa moustache et ses lunettes. Tous
deux étaient très bien habillés, avec cravate pour l’un, nœud papillon pour
l’autre. Ils portaient aussi des chevalières en or, mais c’était moins
ostentatoire que chez notre maire.
Je m’approchais plus près d’eux.
Le monsieur à la barbe continuait à mer regarder tandis qu’une main effleura
mes fesses… M. Striker, sans doute.
-
A la regarder, on a même difficile à croire à
l’histoire de Striker !
La femme me regardait aussi. Elle
avait un tailleur Channel, ses cheveux bruns mi-longs encadrant son visage,
terminant en pointe parfaite. Elle était assez agréable à regarder, mais ses
yeux étaient durs. On sentait que tout était calculé chez elle…
Je sentis soudain des mains sur
ma taille, et me voilà portée sur la table ! C’était M. Striker… je défilais
donc sur la table, comme sur un podium de mode, mes talons 10 cm me faisant me déhancher
du bassin, leurs regards sur mes jambes gainées de blanc, sur le bas de mes
fesses où devait se voir la ficelle rose passant entre mes jambes et montant le
long de mon sillon. Me sentir admirer m’excitait à un point ! Je sentais mon
petit sexe se redresser dans ma culotte !
-
Incroyable, elle a même la démarche ! Avec ces talons !
-
Et quelle jolie paire de fesses… et si elle levait sa
robe ?
Je levais ma robe vers le
Monsieur à la barbe, qui venait de parler. Il put voir la fin de mes bas, les
jarretelles assorties, le triangle rose du string, bosselé par mon sexe en
érection, je tournais sur moi-même, il admirait mes fesses, tandis que les
autres admiraient l’avant… et vice et versa, au fur et à mesure que je tournais
lentement sur moi-même. Je vis avec satisfaction le résultat que je provoquais
chez ces messieurs, dont les pantalons se déformaient par de jolies bosses…
-
Qu’elle enlève sa robe maintenant !
Je relâchais ma robe, puis
sensuellement, défit le tablier… ensuite j’ouvris la fermeture éclair et fit
glisser doucement la robe le long de mon corps. Quelqu’un la fit vite
disparaître de dessus la table, comme pour le tablier. Je marchais le long de
cette table, en sous-vêtement, sentant tous les regards sur moi, sur mes
jambes, mes fesses, mon string, mon sexe… que cela m’excitait ! Mon sexe
bandait de plus en plus, sa tête sortant doucement du triangle du string… Je
pris des poses lascives, mes mains caressant mes jambes, ma poitrine, un doigt
parcourant mes lèvres, avant que je le mordille coquinement…
Le maire s’était levé, et avait
sorti son sexe, qu’il branlait doucement en me regardant. Je me mis à quatre
pattes sur la table, et marchais ainsi jusqu’à lui. Il sourit et s’approcha de
la table, debout, son sexe juste à la hauteur de ma bouche… Je le léchais avec
application, puis l’enfournais dans ma bouche… je me rendis compte à quel point
j’aimais avoir un sexe bandé et dur dans ma bouche, à quel point j’avais envie
de sentir son jus chaud couler dans ma gorge… ma Maîtresse ne m’avait pas
transformée en femme, mais en sissy avide de sperme et de sexe ! La grâce et la
beauté féminine mélangées à la gourmandise sexuelle masculine, le mélange
parfait !
Tandis que je suçais le sexe du
maire, je sentais des mains qui me caressaient les jambes, les cuisses, les
fesses… à un moment, quelqu’un joua avec la ficelle de mon string, avant de
l’écarter sur mes fesses… ils devaient avoir une vue magnifique sur mon anus
palpitant ! Un doigt vint le caresser, avant de s’y enfoncer… Un, puis deux doigts
entrèrent en moi… jouant, tournoyant, écartant mon anus… le maire me baisait
littéralement la bouche, ma langue suivant difficilement ses mouvements… puis
dans un râle de plaisir il éjacula son sperme tout chaud dans ma gorge…
j’avalais le tout…
Il avait à peine sortit son sexe
de ma bouche que je me sentis tirée en arrière, puis retournée. J’étais dos sur
la table, mes fesses au bord. Le vieux monsieur à la barbe me releva les
jambes, approchant son gros membres raides de mon cul, dans lequel il s’introduisit
sans soucis… sentir mon rectum à nouveau rempli par un gros membre tiède et
palpitant, quel plaisir ! La femme, avec l’aide de M. Striker, monta sur la
table. Elle mit ses jambes de chaque côté de ma tête, et je pus voir en dessous
de son tailleur. Elle avait des bas beiges élastiques classiques, qui
s’arrêtaient à mi cuisse, et un slip couleur beige.
Elle fit glisser sa petite
culotte le long de ses jambes, jusqu’à le faire tomber sur mon visage ! Je
l’enlevais, constant qu’elle s’accroupissait. Je vis son sexe s’approcher de
moi… Un triangle de poils sur son pubis, parfaitement entretenus, un clitoris
assez gonflé, deux lèvres légèrement baveuse, sans doute suite au spectacle que
j’offrais… Elle s’accroupit jusqu’à ce que son sexe soit à quelque centimètre
de mon visage. Je levais un peu ma tête, ma langue passa le long de son sexe,
avant de tournoyer sur son clitoris… je refis passer ma langue le long de ses
grandes lèvres, jusqu’où je savais aller, avant de remonter jusqu‘à son clito,
que je léchais avec application, avant de redescendre, et ainsi de suite… à
chaque passage, ma langue se fit plus lourde, s’insinuant plus entre ses
lèvres… jusqu’au moment où elle s’écartèrent, et je pus la pénétrer de ma
langue, entrant dans son puits chaud et humide, tournoyant lapant… elle devait
apprécier, car elle plaqua de ses mains ma tête contre son sexe, tandis que son
bassin accompagnait mes mouvements de langue…
Pendant ce temps, la barbu
s’activa dans mon cul, allant et venant de plus en plus vite, jusqu’à éjaculer
son sperme tout chaud en moi… Il se retira, et le moustachu vint prendre sa
place. Il me pénétra, poussant un peu de sperme en dehors de mon anus en le
pénétrant, avant de commencer à me limer le cul… Je léchais toujours le sexe de
la dame, qui devenait de plus en plus mouillé, son bassin allant de plus en
plus vite… je pense qu’elle eut un orgasme, et après un moment elle se retira,
me laissant respirer, le bas de mon visage tout mouillé de ma salive et de ma
mouille… Elle s’assit alors sur mon ventre, et se penchant, lécha tout mon
visage… avant de se retourner, me donnant une vue sur son cul. Elle vit le
pénis qui entrait et sortait en moi, et vit mon petit sexe, qui tressautait à
chaque coup de boutoir… Elle se pencha et le mit en bouche…
C’était une première pour moi !
Quelle sensation ! Mon sexe était tellement petit, qu’elle pouvait le mettre
avec mes boules dans sa bouche ! Puis elle relâcha mes petites boules, et
continua à sucer mon petit zizi. Excité par tout ça, je plongeais sur son cul,
que j’embrassais, léchais, ma langue suivant son sillon, tournoyant sur son
anus… j’étais tellement excitée que je jouis très vite dans sa bouche…
-
Déjà ? Dommage, petit et rapide… *soupir* sa langue et
son cul ont l’air bien meilleur que sa bite. M. le Maire, je vois que vous avez
repris vigueur… là, il me faut quelque chose de gros et de dur en moi !
Tandis qu’elle quitta la table,
le moustachu éjacula en moi… Il se retira, du sperme coulant de mon cul le long
de mes fesses, puis sur la table… Je me redressais un peu. Mrs. Benson n’avait
pas bougé de sa chaise, et regardais toute la scène avec un mélange de joie,
d’envie, de perversité, que je ne savais définir. Mais elle ne participait pas,
et je savais pourquoi. La dame était à quatre patte au sol, accoudée à une
chaise, le maire la prenant en levrette… son sexe entrait en sortait de sa
chatte à une de ces vitesses… mais la dame semblait apprécier… M. Striker était
assis sur une chaise à l’écart, lui aussi semblait spectateur. Il branlait
doucement son sexe sortit de son pantalon.
Je descendis de la table, et
m’agenouilla entre ses jambes, prenant son sexe en bouche… je le suçais
avidement, avant qu’il me fasse signe de me lever… il me retourna, mon dos
contre son ventre, et ses mains sur mes hanches m’attirèrent à lui… il était
toujours assis sur la chaise, et il guida mes fesses vers son sexe bandé… il
ajusta son gland sous mes fesses, puis me fit asseoir, lentement, son gland,
puis sa hampe se frayant un chemin en moi… ses mains glissèrent sous mes
fesses, et il me fit coulisser le long de sa verge… Je sentais ce sexe fiché en
moi, tout en voyant le maire qui prenait la dame en levrette… et les deux
autres messieurs qui vinrent vers nous, reprenant doucement vigueur… ils se
placèrent un à ma gauche et l’autre à ma droite, leur sexe à hauteur de ma
bouche… je suçais simultanément l’un et l’autre, cinq minutes chacun, tout en
me sentant coulisser le long de la verge de M. Striker, qui donnait le rythme…
Je vis le maire s’agripper aux
hanches de la dame, et venir en elle. Lorsqu’il se retira je vis un peu de
sperme couler hors de la vulve de la dame. Qui vint vers nous. Elle
s’agenouilla entre les jambes de M. Striker, et au fur et à mesure que je
coulissais sur lui, elle léchait le morceau de hampe qui apparaissait, et
lorsqu’il me redescendait complètement, mon cul avalant toute sa hampe, c’est
le pourtour de mon anus qu’elle léchait… Je sentis les deux messieurs près à
éjaculer… j’attendais déjà impatiemment qu’ils se vident dans ma bouche… La
dame se recula, ils purent s’approcher et je pus mettre leurs deux glands dans
ma bouche au moment où ils éjaculaient… quelle rasade de sperme ! Il remplit
toute ma bouche avant que je ne l’avale ! Tout ce sperme chaud et épais que je
buvais, et la bite de M. Striker qui me pistonnait doucement me fit encore
venir, maculant le triangle rose du string de mon sperme. M. Striker se cala
bien au fond de mon rectum, et m’envoya une de ces giclées ! J’aurais presque
cru qu’elle allait directement dans mon estomac !
M. Striker me lâcha, et le maire
s’approcha. Lui aussi avait repris vigueur, et semblait vouloir goûter à mon
cul… Je me penchais donc sur la table et lui offrit ma croupe, que je dandinais
nonchalamment pour l’appeler à venir me monter ! Tandis qu’il s’enfonçait en
moi, je vis la dame sucer les deux vieux messieurs, pour qu’ils reprennent
vigueur… Ensuite, elle vint s’asseoir sur la table, à côté de moi, me
maintenant les bras pendant qu’ils me prenaient tous à tour de rôle, le maire,
puis les deux vieux monsieur, puis M. Striker… chacun à leur tour… Ces bites de
tailles et d’épaisseurs qui entraient en moi, me pistonnaient le cul pendant
cinq minutes, puis se retiraient, me laissant un vide criant dans les
entrailles, avant qu’une autre ne me remplisse pour cinq minutes, et ainsi de
suite… c’était vraiment très bon
Je crois que je jouis une ou deux
fois dans le string rose, avant que le Maire ne soit prêt à venir… mais à mon
grand désappointement, il ne jouit pas en moi… sentant les signes de son
éjaculation, il fit un signe de tête vers la dame… qui se coucha dos sur la
table, jambe écartée, et avec ses doigts elle écarta les lèvres intimes de son
sexe, l’ouvrant impudiquement…
Je vis le sexe du maire se placer
au-dessus et éjaculer vers ce sexe ouvert, de grosses giclées blanches
s’écrasant dans et autour de son ouverture moite… déjà remplie précédemment par
le sperme du maire. Les trois autres continuaient à me prendre chacun à leur
tour, lorsque le barbu se retira, et vin lui aussi gicler sur le sexe ouvert et
offert de la dame. M. Striker et le moustachu me sodomisait toujours à tour de
rôle, et le moustachu craqua le premier… il alla lui aussi éjaculer sur le sexe
de la dame… M. Striker continuait à me prendre, le sourire aux lèvres…
-
Quelle résistance mon cher ! Vous avez encore gagné !
-
Et regardez-le, il n’a pas la victoire modeste !
Après quelque minute, il se
retira de mon cul, et alla éjaculer lui aussi sur le sexe offert de la dame…
Son pubis, ses grandes lèvres et son vagin lui-même étaient maculés et remplis
de sperme… Un des messieurs, la main sur ma nuque, me guida vers elle…
-
C’est l’heure du goûter ma chère !
Et il plaça ma tête juste
au-dessus du sexe toujours écarté et offert de la dame. Tout ce sperme… je
commençais par lécher le sperme sur la table, puis ma langue remonta le long
des fesses de la dame. J’arrivais à son sexe. Je léchais d’abord ses lèvres
intimes, ma langue ramassant le sperme qui les maculait, puis je lapais le sexe
sur son clito, sur son pubis. Je redescendis enfin, lorsque les abords furent
proprement nettoyés, vers son vagin, ouverture béante et rempli des spermes
mélangés de ces quatre messieurs… ma langue s’enfonça dans le sperme, que je
lapais, essayant d’en prendre le plus possible, je léchais, lapais, mais avais
du mal à tout prendre…
-
Attend, je vais t’aider !
Ils me refirent coucher sur la
table, dos contre table, et elle revint - avec l’aide de ces messieurs –
s’accroupir au-dessus de mon visage. Elle écarta encore ses lèvres intimes, et
le sperme s’écoula lentement hors de son vagin. J’ouvris la bouche, où il
coula… elle poussa un peu, faisant couler tout le sperme directement de son
vagin dans ma bouche !
-
Bravo ! Fantastique ! Quel spectacle érotique !
Le vieux barbu montra au
moustachu mon cul du doigt.
-
Son anus en palpite encore… il me faudra plus de viagra
pour calmer cette gourmande. Mais là, je n’en puis plus…
Ils aidèrent la dame à descendre
de la table. Elle lécha le sperme qui restait sur mes lèvres, et me roula un
patin. Puis ils se rhabillèrent, faisant encore une ou deux plaisanteries
grivoises. Ils congratulèrent Mrs. Benson et M. Striker sur leur excellent
travail, puis sortirent du bureau. Au passage, le barbu ma fit une gentille
caresse sur le visage, tandis que le maire se tournait vers M. Striker.
-
Striker, vous avez vraiment fait du bon travail et avez
de bonnes idées. Venez nous retrouver au Club ce soir. Vous nous reparlerez de
ce projet.
Les membres du conseil parti, M.
Striker se tourna vers Mrs. Benson. Il semblait intrigué.
-
Pourquoi ne participez-vous jamais à nos « petites
fêtes ». Vous ne sortez jamais de cet internat. Et ici, durant tout le temps,
vous n’avez pas bougé d’un pouce !
Il s’approchait d’elle, avec ce
regard qu’il avait juste avant de passer sa main sous ma robe… allait-il
essayer avec Mrs. Benson ? Je sentis qu’il avait envie de glisser sa main sur
ses gros seins et sous sa jupe. Mais le regard de ma Maîtresse l’en dissuada.
Ce regard avec lequel elle faisait se dégonfler même les pires voyous. Il resta
un peu hésitant, avant de hausser les épaules et de se détourner.
-
Je vous appellerai pour vous donner les détails des
nouveaux crédits et de notre nouveau « programme ».
Il partit, avec un dernier regard
vers moi, toujours couchée sur la table. Après son départ, ma maîtresse
attendit cinq bonnes minutes avant de se lever. Je ne compris pas pourquoi
aucune bosse ne déformait sa jupe… Elle vint à moi et grimpa sur la table, ses
genoux de chaque côté de mon ventre… elle releva sa jupe… Son sexe était bien
là gonflé de désir. Il était bloqué par une culotte qui montait haut et très
serrée, une culotte « ventre plat ».
-
J’étais obligée, sinon mon érection aurait été trop
visible. Je ne veux pas qu’ils sachent…
Je l’écoutais, tout en ne pouvant
détourner mon regard de sa culotte. Jamais elle n’avait eu une telle érection…
son gland tout gonflé et tout rouge essayait de dépasser de la culotte, et le
pré-sperme en luisait au bout…
-
Ce que c’était excitant Aline… je n’en peux plus,
libère moi !
Je souris, et me redressant un
peu allais vers son entrejambe. Je léchais son gland tout mouillé et tout
rouge, puis le gobais doucement, tout en descendant lentement son slip très
très serrant. Tellement serrant que le motif du bord du slip s’était légèrement
imprimé sur la peau de sa hampe… il faut dire qu’elle bandait dur ! Au fur et à
mesure que je descendais le slip, j’avalais dans ma bouche le morceau de hampe
qui apparaissait. Lentement, doucement, centimètre par centimètre.
J’eus soudain une inspiration… je
voulais l’avaler façon ‘gorge profonde’, je détendis ma mâchoire, et enfonçais
son sexe de plus en plus loin dans ma gorge… tout au fond… une larme perla au
coin de mes yeux, mon menton caressa doucement ses testicules… enfin mon front
toucha son pubis impeccablement rasé… Elle poussa un soupir rauque, et soudain
éjacula directement dans ma gorge, une quantité de foutre plus important que
d’habitude ! Elle qui d’habitude tenait longtemps, le spectacle que j’avais
offert et ça la firent venir instantanément… je ne m’y attendais pas et me
saisis, ma glotte travailla et j’eus l’impression d’étouffer ! Elle comprit et
retira son membre de ma bouche, tandis que je toussais en retombant sur la
table…
Pour s’excuser, elle se coucha
lentement sur moi, et m’embrassa, avec passion. Nos langues se mêlèrent, nos
salives également…
-
Oh, ce que tu goûtes le sperme ! Me dit-elle une lueur
excitée dans les yeux…
Elle frottait son sexe à
demi-débandé contre le mien, puis lentement, libéra ses seins de son chemiser
et du soutient ample qui les couvraient aussi… Je suçais ses tétons offerts,
pointés comme jamais, je passais de l’un à l’autre, les pinçant de mes lèvres,
les léchant, les suçant… je sentais son sexe reprendre vigueur contre le mien,
et repliais un peu mes jambes, pour lui offrir mon petit trou encore un peu
béant et poisseux de sperme… Elle m’embrassa à nouveau, nos langues se
retrouvèrent, tout en guidant d’une main son sexe vers mon anus.
Elle me pénétra tout en
m’embrassant… Autant cet après-midi j’avais été baisée avec désir, passion,
luxure, érotisme, autant ici j’avais l’impression d’être aimée avec tendresse,
douceur… elle allait et venait doucement en moi, lentement, tendrement, tandis
que me lèvres passaient des siennes à ses tétons… Nous éjaculâmes ensemble,
bien que de mon côté ce ne fut qu’un fin filet de liquide transparent, mais je
sentis qu’elle me remplissait elle aussi de foutre tiède… Elle resta en moi
jusqu’à ce que son sexe débande, et soit poussée dehors par mon anus palpitant
et le sperme qui en débordait. Elle me caressa doucement le visage, les
cheveux, avant de se relever.
-
Tiens, mets ma culotte, je ne voudrais pas que tu
laisses une traînée de sperme entre ici et l’appartement !
Je rougis et obéis, pendant
qu’elle réajusta sa jupe et pris le téléphone, pour demander que le surveillant
lui envoie des élèves pour enlever la table « de réunion » et remettre son
salon en place.
Je retournais à ma chambre, où je
me lavais soigneusement, avant de m’écrouler sur le lit, épuisée. Je n’allais
même pas souper, dormant comme une bienheureuse jusqu’au lendemain…
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